Conséquemment, lorsqu'il s'agit de l'Intifada des couteaux, dirigée contre la population d'Israël, des assassinats commis au cri d' "Allahou Akbar" (Dieu est grand), la présentation médiatique en amoindrit volontairement le choc, et inverse les responsabilités : ce ne sont plus les assassins fanatiques qui sont coupables de ces actes mais la domination, voire "l'occupation" israélienne de la Judée et de la Samarie, ou même l'existence d'Israël qui en sont responsables.
Les plus commentes