Et puis, il y a pire, tous ceux qui ne sont pas descendus dans la rue, tous ceux qui ont délié leurs langues en disant, dans les débats, dans les écoles, sur les réseaux sociaux : « Certes, c'est triste, mais ils n'auraient pas dû », ou « oui, mais ». Ces « oui-mais » sont des mots assassins.
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