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moyen-orient

Pendant plus de 50 ans, l’Israélienne Leïla Jabbarine, juive convertie à l’islam, a caché son secret à sa famille musulmane : sa naissance dans le camp d’Auschwitz.

Lorsque j’étais enfant, je ne me sentais bien, puissante, capable qu’en portant le pantalon. C'était durant ces années ténèbres où la femme était une esclave, un piètre statut, un torchon où il restait permis, légitime de rabaisser, de malmener, d’en disposer puis de s’en défaire comme d’un sale et vil objet.

Yossi Beilin a été l’un des artisans de la négociation de ce qui devait s’appeler les accords d’Oslo. Il fut ministre des gouvernements Rabin puis Barak et a mené les pourparlers de la dernière chance à Taba, en janvier 2001, alors qu’avait éclaté la seconde Intifada et que les Israéliens s’apprêtaient à aller aux urnes et à renverser le gouvernement dirigé par les travaillistes.

Alors que les négociations ont repris, hier, en Turquie, sur le très controversé programme nucléaire iranien, Israël se prépare à toute éventualité. Si l'hypothèse d'une attaque préventive n'est pas exclue, les Israéliens assurent cependant que, pour l'heure, l'option militaire serait leur dernier recours.

Le député du Ihoud Leoumi est un chaud partisan de « l’option jordanienne », qui considère que la partie orientale d’Eretz Israël, qui faisait jadis partie du projet de Foyer National juif, devrait devenir l’Etat palestinien à la place de la Judée-Samarie, puisque peuplée à trois-quarts d’Arabes palestiniens.

Ils sont environ 20 000 Juifs dans la République islamique, un pays qui affiche des positions officiellement antisionistes et négationnistes.

En apparence, les représentants des grandes puissances ont synchronisé leurs positions, et même Israël a apporté sa bénédiction à l’objectif annoncé de cette réunion : permettre à Téhéran de mettre en œuvre un programme nucléaire civil, à condition de le faire dans une transparence absolue, de s’abstenir de tout enrichissement de l’uranium au-delà de 3.5%, et de désaffecter l’installation souterraine de Fodow (Fordo) près de Qom.

A ceux qui me croit fou, qu’ils cessent immédiatement. Ce que j’écris ici est prouvé et traçable.Avec l’avènement de la fête juive de Pâque (Pessah en hébreu), cette semaine, nous assistons à une tentative de vol, par l’Autorité palestinienne, de cette fête juive. A présent, voilà que les palestiniens réclament que le récit de Pessah est le sien !

Les relations entre les Etats-Unis et Israël sont loin de s’arranger autour du dossier de l’atome iranien. Le Commandement Central des armées américaines vient de terminer une vaste simulation de conflit avec la Perse, dont les conclusions sont terriblement négatives en vue d’une opération militaire contre le régime des ayatollahs.

La Haute représentante de l’Union européenne chargée des Affaires étrangères et de la Sécurité a été critique hier pour avoir comparé l’assassinat de trois enfants et d’un rabbin lors d’un attentat perpétré par un tireur isolé, en France, à la situation régnant dans la bande de Gaza.

Israël mène des raids secrets en Iran à la recherche d'informations sur le développement des armes nucléaires ces dernières années, affirme l'hebdomadaire britannique Sunday Times.

Des Israéliens ont lancé une initiative de paix et d'amour à l'adresse des Iraniens, sur Facebook, qui a reçu un accueil plus qu'enthousiaste. Moins d'une semaine après le lancement de son initiative sur Facebook, Ronny Edry et son épouse Tamar n'en reviennent toujours pas.

Les forces syriennes ont posé des mines antipersonnelles le long des frontières du Liban et de la Turquie. Ces mines visent sans nul doute les révolutionnaires qui tentent d’échapper à la Boucherie Assad (Père et Fils depuis 1972).

Les chiffres sont assez accablants puisque 60 pays sont soumis à la censure du web. Pis, 120 internautes sont emprisonnés de par le monde pour avoir émis une opinion controversée sur le Toile. Parmi les pays pointés du doigt, douze connaissent une censure particulièrement violente, sans grande surprise, il s’agit de l’Arabie Saoudite, du Bahreïn, du Bélarus, de la Birmanie, de la Chine, de la Corée du Nord, de Cuba, de l’Iran, de l’Ouzbékistan, de la Syrie, du Turkménistan et du Vietnam.

Ceux qui aiment l'état Juif sont offusqués par l'organisation par des groupes occidentaux de la "Semaine de l'Apartheid" liée à Israël, mais ne sont pas d'accord entre eux sur la meilleure riposte à cette fête de la haine.

"Le débat aujourd'hui porte moins sur l'option militaire en elle-même que sur ce qui se passera ensuite." Cette phrase d'un ancien stratège de l'armée israélienne illustre en partie l'état d'esprit qui entoure, en Israël, la perspective d'une frappe militaire contre l'Iran.

Nous, femmes arabes impliquées dans les luttes pour la démocratie, la dignité et l'égalité, nous, actrices au premier plan des changements exceptionnels que connaît le monde arabe, tenons à rappeler à l'opinion publique que les femmes sont en droit de bénéficier au même titre que les hommes du souffle de liberté et de dignité qui gagne cette région du monde.

En première ligne pendant les soulèvements de l'an dernier dans le monde arabe, les femmes craignent aujourd'hui pour leurs droits avec la montée des islamistes, vainqueurs des élections en Tunisie et en Egypte et en pleine progression en Libye.

On parle beaucoup de la Syrie. Sur le mode du constat. On compte les cadavres. On déplore les morts. On traite comme un événement de portée internationale l’exfiltration de deux journalistes pris sous le feu de l’armée de Bachar al Assad et on passe par pertes et profits la mort de deux autres journalistes, l’un Français, l’autre Américain. On montre des corps d’enfants mutilés.

Le président américain reçoit à Washington Benyamin Netanyahou pour le convaincre de renoncer à des frappes sur la République islamique.

Le 19 mars, cela fera un an, jour pour jour, que des escadrilles d’avions français, puis, dans un deuxième temps, anglais, américains, arabes, auront sauvé Benghazi d’une destruction annoncée.

Le 7 Juillet 1981, j’étais l’un des huit pilotes de chasse israéliens qui a bombardé le réacteur nucléaire irakien d’Osirak. Alors que nous étions assis dans la salle de briefing pour écouter le chef d’état-major, Rafael Eitan, avant le démarrage des moteurs de nos avions », je me suis souvenu d’une conversation, datant d’une semaine auparavant, quand il nous avait invité à exprimer nos inquiétudes au sujet de notre mission.

La question est source d'un intense débat à Washington. Selon des responsables de la défense américaine et des analystes militaires proches du Pentagone, cités par le New York Times, "une attaque israélienne visant à retarder la mise en oeuvre du programme nucléaire iranien est une opération gigantesque et hautement complexe". Cette opération serait en effet d'une toute autre ampleur que les frappes "chirurgicales" menées par Israël contre le réacteur nucléaire en Syrie en 2007 et celui d'Osirak en Irak en 1981.

Obama veut croire aux sanctions et à la diplomatie tandis que pour Netanyahou le président américain ne comprend rien au Moyen-Orient et met l’existence même d’Israël en danger.

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