Share |

moyen-orient

Les nouvelles diatribes du président Ahmadinejad samedi pourraient accélérer les préparatifs d’un raid israélien massif sur les sites nucléaires iraniens.

Lors de son discours à la Conférence d’Herzliya, le major-général Aviv Kochavi, chef des services d’intelligence militaire, a discuté de la question iranienne : « L’Iran a assez d’uranium enrichi pour construire quatre bombes nucléaires « , a t-il dit. A propos d’une autre menace directe : « nos ennemis ont 200.000 roquettes et missiles pouvant toucher la région Dan (ndlr : la région de Tel-Aviv, la plus peuplée du pays). »

Khamenei (khaf/mem/noun/yod) connote l'embuscade en hébreu. Sa valeur numérique 120 donne un équivalent "kessil", ou cinglé. Le "cinglé embusqué" dans son programme nucléaire (1) vient de déclarer que "les menaces des Etats-Unis les desservaient, car toute guerre serait 10 fois supérieure à leurs intérêts… ", ajoutant sans désemparer qu'"il soutiendrait et aiderait tout groupe ou nation qui confrontera et combattra le régime sioniste, un cancer dans la région".

Les décès provoqués par le gouvernement, dans la période 1900-1987, s'élèvent à 212 millions de personnes, tandis que les décès de la guerre n'atteignent que 34 millions. En d'autres termes, le nombre des victimes de leur propre gouvernement (ce qu'il appelle démocide) était en fait plus de six fois plus élevé que celui des tués dans les guerres du siècle

J’ai remarqué une multiplication de la production, par des Palestiniens, de saynètes figurant des atrocités commises par l’armée israélienne contre des civils. Témoin l’événement mis en scène dans le village d’Al-Dirat, et dévoilé par la Ména, où un photographe de l’Agence France Presse a voulu faire croire que des militaires hébreux avaient intentionnellement roulé sur les jambes d’un ouvrier palestinien à l’aide d’un tracteur.

Ces derniers événements démontrent, ce que nous savions déjà, à savoir que la junte islamiste au pouvoir à Téhéran n’entretient pas de projet suicidaire. Ses membres connaissent mieux que quiconque la réalité des rapports de force, à la fois économiques et militaires, et ils s’abstiennent de tout acte téméraire.

Aujourd’hui, plusieurs journaux marocains (et blogs) l’affirment: « selon certaines sources israéliennes et arabes de palestine, il se fait de plus en plus probable que Benjamin Netanyahu soit le premier officiel israélien à être invité au Mahgreb… Plus précisément au Maroc.

"Il y a de fortes chances que les systèmes informatiques iraniens, l'électricité dans le bureau d'un député indonésien et le gilet pare-balles d'un soldat saoudien viennent d'Israël", affirme le Haaretz dans une grande enquête publiée aujourd'hui.

« Symbole de l’occident et de la libération de la femme », nombre de lecteurs sont outrés et voient en cela l’intégrisme manifeste qui ressort de ce printemps arabe. Aujourd’hui Barbie donne la voix à deux discours. Certains affirment qu’elle représente le féminisme, et d’autres qu’elle nie toutes les valeurs de la femme.

En février dernier, tout le monde y croyait. Le Printemps arabe avait eu raison des dictatures du passé. Un formidable élan démocratique soufflait sur les pays musulmans. Un an plus tard, Ardavan Amir-Aslani rectifie. Ce n’est pas à “plus de démocratie, plus de droits de l’homme et plus de laïcité” que ces soulèvements ont abouti, mais bien “au mouvement inverse”.

Né en 1805 au Maroc, Yaakov Abuhatseira, «Abir Yaakov» pour les juifs du Maroc, grand-père du Baba Salé inhumé à Nétivot, était en route vers Jérusalem quand il décéda vers 1880 dans la petite ville de Damanhour à une soixantaine de kilomètres au sud-est d’Alexandrie. Il est l’objet d’une grande vénération pour sa connaissance de la Torah et de la Kabbale. Juifs égyptiens et juifs marocains venaient chaque année sur sa tombe à la date anniversaire de sa mort au début du mois de janvier pour la «Hiloula» traditionnelle.

On pourrait se trouver beaucoup plus près d’une confrontation militaire avec l’Iran que le public ne se l’imagine. Cette situation de veille de guerre a été causée par le franchissement par les Perses de l’une des deux "lignes rouges" définies par le Secrétaire d’Etat américain à la Défense, Léon Panetta.

Il est des épisodes, un peu anecdotiques en apparence, qui valent autant que de lourdes et longues démonstrations complètes. Il en a été ainsi du voyage du président du Hamas palestinien, Ismaïl Haniyeh. En effet, celui-ci a accompli une tournée régionale dont toutes les étapes sont éminemment symboliques.

Les Israéliens et les ‘’Palestiniens’’ doivent se réunir à nouveau à Amman en Jordanie pour tenter de relancer les négociations directes en vue d’arriver à une « paix juste et durable » comme la communauté internationale l’exige par ses nombreuses résolutions. Une paix à deux états vivant en sécurité côte à côte.

Pour la quatrième fois en deux ans, un spécialiste iranien du nucléaire a été tué en Iran. L'ingénieur en chimie Mostafa Ahmadi Roshan, directeur adjoint pour les affaires commerciales de la centrale nucléaire de Natanz (centre), principal site d'enrichissement d'uranium du pays, a péri dans l'explosion d'une bombe magnétique placée par un motard sur sa voiture, alors qu'il circulait dans l'est de Téhéran.

Depuis septembre 2011, la tension entre Téhéran et Washington s'aggrave. Le dernier épisode en date est la menace iranienne du blocus du détroit d'Ormuz en cas de sanctions sur ses exportations énergétiques. Or la libre circulation des flux énergétiques a toujours constitué pour Washington un casus belli.

Alors que l’hiver syrien occulte la situation globale du Proche-Orient (on a à peine entendu parler de la peine de mort requise pour Moubarak), que se passe-t-il en coulisse ? Car si « ceux qui en parlent le plus en font le moins » est un proverbe bien connu de tous, le fait de ne pas parler semble au contraire démontrer que quelque chose de stratégique se déroule actuellement.

En ce début d’année, l’Occident passe la vitesse supérieure dans son différend avec l’Iran. Cela se traduit par plusieurs mesures concrètes, visant, à ce stade des choses, à indiquer à Téhéran que les Etats-Unis, l’Europe et Israël ne permettront pas aux ayatollahs de se doter de l’arme nucléaire, et qu’ils utiliseront la force, en dernier recours, pour les en empêcher.

Alors que j'étais le délégué canadien aux travaux interparlementaires des Nations Unies, j'ai traversé une expo marquant la Journée de Solidarité annuelle au Peuple palestinien. Le thème central de cette expo était ce qu'on appelle "la Naqba " ou "la catastrophe" subie par le peuple palestinien, du fait de la refondation de l'état d'Israël.

Il était une fois, une rencontre fortuite à Londres entre une jeune française de classe moyenne d’origine juive et un jeune riche et beau membre de la famille royale d’Arabie Saoudite. Ils vécurent heureux durant quelques années, eurent un enfant, mais la fin du conte de fée est loin d’être aussi magique que son commencement…

Ainsi donc la meute enturbannée à Téhéran n’avait reculé que pour mieux sauter, ravaler sa haine des femmes et la cracher aujourd’hui à la face du monde. Les tueurs déguisés en justiciers demandent de nouveau leur livre de chair, leur ration de mort et de sang.

21 mars 1828 :

La Russie annexe une partie du Plateau arménien (notamment régions d'Erevan et du Nakhitchévan).

1862 :

Troubles et massacres dans la région du Taurus. Insurrection dans la montagne de Zeïtoun. Celle-ci constitue depuis le début de l'occupation turque une région quasi autonome.

En Libye comme en Egypte et en Tunisie, les femmes se demandent quelles seront pour elles les conséquences du printemps arabe.
Depuis que les anciens dirigeants ont été chassés, nombreux sont ceux -particulièrement en Occident- qui redoutent que ce vide de pouvoir ne favorise l'arrivée de groupes islamistes dont les objectifs seraient contraires aux droits des femmes.

«Notre investissement dans Twitter réaffirme notre capacité à identifier les opportunités d'investissement dans les entreprises à forte croissance ayant un impact mondial», a déclaré le prince al-Walid, neveu du roi Abdallah d'Arabie saoudite.

Contenu Correspondant