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moyen-orient

Dans mon métier, j’évoque fréquemment la Perse. Et rarement en des termes élogieux, actualité internationale oblige. Alors il y a un mois, me rendant compte que je disposais de jours de congé non utilisés, je n’ai pas mis longtemps à décider d’aller voir l’envers du décor de cette "république" islamique tant décriée.

Courant 2012, plusieurs vidéos de l´aile militaire du Hamas, Izz Al-Din Al-Qassam, ont été mises en ligne sur YouTube, d’environ une demi-heure chacune, sur la fabrication de bombes et l’utilisation de différentes armes.

Le Secrétaire d’Etat américain, John Kerry, déploie ces jours une intense activité diplomatique pour tenter de ramener Palestiniens et Israéliens à la table de négociation. Mais le ministre américain, en dépit de toute sa bonne volonté, n’est pas parvenu à rendre l’optimisme à ses interlocuteurs

Dans le quotidien indépendant égyptien Al-Watan, le chroniqueur Khalid Muntasir fait l´éloge des réalisations des juifs en science et en technologie ainsi que de leur contribution à l´humanité. Il écrit que les magnats juifs du hi-tech, notamment les fondateurs de Google et Facebook, ont fait beaucoup plus pour améliorer la qualité de vie de l´humanité que les leaders d´Al-Qaeda, des Talibans ou même les savants musulmans

Avant sa première élection, le président américain Barack Obama avait critiqué ces cartes qui anticipaient un monde sans Israël, les qualifiant de menaces pour la sécurité d’Israël.

Le 1er ministre ottoman est un admirateur du Hamas, qu’il considère comme une organisation sœur de son parti de la Justice et du Développement Moyenâgeux

Interdit en Égypte, le film raconte la vie de membres de la communauté juive égyptienne dans la première partie du XXe siècle. Il devait être projeté dans trois cinémas ce mercredi.

Il y a près de 10 ans, Steven Averbach, un officier de police israélien né au New Jersey, a réalisé qu’un passager de l’autobus dans lequel il se trouvait était un terroriste déguisé en juif orthodoxe. Il a alors pris une décision héroïque qui a sauvé des dizaines de vie, et changé pour toujours le cours de la sienne.

Il est illusoire de s’imaginer que l’Armée régulière abandonne ses positions sans en être délogée par la force ; plus encore lorsque l’on sait que Jamla ne se trouve pas dans le no man’s land placé sous la protection de l’ONU, mais à un kilomètre de celui-ci.

Les criquets passent à l'attaque. En Egypte, des essaims sont apparus dimanche dans la banlieue du Caire ainsi que dans le Sinaï, et pourraient désormais gagner Israël, Gaza ou la Jordanie.

Le Harlem Shake, la danse de trente secondes parodiée sur YouTube depuis le 2 février, a contaminé la Tunisie, l'Egypte et Israël, où le buzz passe moins facilement. 

Depuis quelques semaines, c’est Jabhat Al-Nosra, une organisation djihadiste considérée comme ­terroriste par les États-Unis et ­souhaitant faire du pays un État islamiste régi par la charia, qui tient le haut du pavé.

Khomeini avait rompu les relations diplomatiques avec l’Égypte pour protester contre l’accord de paix avec Israël ; plus tard, l’Iran n’a pas ménagé ses efforts pour renverser le régime Moubarak

Doha : Sa chute est vertigineuse, se voulant porte voix du printemps arabe, Al Jazeera ne lui a pas résisté.

Israël conserve un silence tactique à propos des incidents guerriers qui émaillent, ces derniers jours, ses relations avec la Syrie et le Liban. Ce choix légitime laisse libre cours à de nombreuses rumeurs émanant de fuites

Si vous voulez comprendre les musulmans, ai-je soutenu, vous avez besoin de comprendre le rôle de l'islam dans leur vie. Maintenant, cela semble évident.

Alors que Tunis, en grève générale, porte aujourd’hui en terre Chokri Belaid, l’opposant laïc à Ennahda assassiné le 6 février, la légende de l’islamisme modéré véhiculée par tous les faux experts médiatiques vole en éclats de sang.

C’est la première fois depuis la révolution islamique de 1979 qu’un président iranien se rend au Caire, Téhéran ayant rompu ses relations diplomatiques après la signature des accords de paix israélo-égyptiens.

Après que l'Iran a annoncé être parvenu à envoyer un singe dans l'espace, plusieurs médias ont émis des doutes quant à la réussite de la mission. Ils ont en effet remarqué que les différentes photos dévoilées ne montraient pas le même singe.

Quelle que puisse être l’aversion réciproque qui les anime, les hommes d’État véritables font passer l’intérêt de leur peuple avant leurs sentiments personnels. Et personne ne dénie à Obama et à Netanyahou la qualité d’homme d’État de premier plan.

On saisit ici qu’une attaque au gaz contre Israël engendrerait une contre-attaque qui n’aurait rien à voir, par son ampleur, avec les derniers conflits que nous avons connus.

La possibilité pour Israël d’employer un missile balistique Jericho III emportant une charge nucléaire pour déclencher une impulsion électromagnétique à haute altitude au-dessus de l’Iran et ainsi endommager les systèmes électroniques employés dans le cadre de son programme nucléaire expérimental.

À cette date anniversaire, deux questions restent en suspens : comment cet espoir de lutte, volonté révolutionnaire fondée sur l'aspiration à un ordre nouveau, peut se traduire dans des institutions et des politiques durablement à la hauteur ?

Un certain Reza Kahlili affirmait qu’une explosion majeure avait ravagé le site de Fodow, une montagne sous laquelle les Iraniens ont installé environ 2 700 centrifugeuses.

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