Je n’aime pas que l’on compare un homme à un cochon. On peut raconter ce que l’on veut, dire que ce n’est pas une injure mais un hommage, que la meilleure part de l’homme c’est le libre cochon qui sommeille en lui, les mots sont les mots, ils ont leur vie, leur histoire, et ce mot-ci a été cochonné, -justement, par trop de salopards
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