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S’il est vrai que l’Internet véhicule le meilleur et le pire, qu’on peut y consulter la mémoire universelle, tout autant que les élucubrations d’individus ; qu’il favorise les liens sociaux, tout comme les dérives de « loups solitaires » ; qu’il se nourrit des précieuses libertés d’expression et d’opinion, principes fondamentaux des Droits de l’homme, il n’en demeure pas moins que certaines de ses manifestations devraient être encadrées, sinon bridées et interdites

Ils ont entre 20 et 30 ans et vont rendre hommage à la mémoire de leurs aïeuls qui, au péril de leur vie, ont sauvé celles de Juifs en danger pendant la Seconde Guerre Mondiale. Cette semaine, sous l'égide de la Fondation France Israël, des descendants de Justes parmi les Nations se rendent en Israël.

Dimanche prochain, le corps électoral français va se prononcer sur l’avenir de la France puisque l’élection présidentielle est la plus déterminante dans le système institutionnel français. Et pourtant, à ma connaissance, aucune réunion d’information ni aucun débat contradictoire n’ont éclairé jusqu’à présent les membres de la communauté juive.

Lorsque j’étais enfant, je ne me sentais bien, puissante, capable qu’en portant le pantalon. C'était durant ces années ténèbres où la femme était une esclave, un piètre statut, un torchon où il restait permis, légitime de rabaisser, de malmener, d’en disposer puis de s’en défaire comme d’un sale et vil objet.

"L'Holocauste a été le plus sombre période de l'histoire juive", a déclaré Gantz. "N'oublions pas que nos ennemis voulaient éradiquer le peuple juif bien avant la création de l'Etat d'Israël, tout comme ils le font maintenant."

Or voici qu’un écrivain européen, l’un des plus grands et des plus éminents puisqu’il s’agit du Prix Nobel de littérature Günter Grass, ne trouve rien de mieux à faire que de publier un « poème » où il explique qu’il n’y a qu’une menace sérieuse qui pèse sur nos têtes et qu’elle vient, cette menace, d’un tout petit pays, l’un des plus petits du monde, l’un des plus vulnérables aussi et, soit dit en passant, une démocratie : l’État d’Israël.

Il faut savoir que le Maroc compte aujourd’hui, selon l’estimation la plus optimiste, quelque cinq mille citoyens juifs concentrés dans les grandes villes, notamment à Casablanca, contre près de 350 000 avant l’avènement de l’état d’Israël en 1948.

Yossi Beilin a été l’un des artisans de la négociation de ce qui devait s’appeler les accords d’Oslo. Il fut ministre des gouvernements Rabin puis Barak et a mené les pourparlers de la dernière chance à Taba, en janvier 2001, alors qu’avait éclaté la seconde Intifada et que les Israéliens s’apprêtaient à aller aux urnes et à renverser le gouvernement dirigé par les travaillistes.

Selon des sources concordantes, l’aéroport Menara de la ville ocre est depuis le 8 Avril la destination de plusieurs groupes de marocains juifs venus de tous les coins du monde, et particulièrement de la France. Par ailleurs, quelques uns viennent de l’état de Palestine occupée (appelé communément Israël) mais avec des passeports étrangers…

Alors que les négociations ont repris, hier, en Turquie, sur le très controversé programme nucléaire iranien, Israël se prépare à toute éventualité. Si l'hypothèse d'une attaque préventive n'est pas exclue, les Israéliens assurent cependant que, pour l'heure, l'option militaire serait leur dernier recours.

Le député du Ihoud Leoumi est un chaud partisan de « l’option jordanienne », qui considère que la partie orientale d’Eretz Israël, qui faisait jadis partie du projet de Foyer National juif, devrait devenir l’Etat palestinien à la place de la Judée-Samarie, puisque peuplée à trois-quarts d’Arabes palestiniens.

Ils sont environ 20 000 Juifs dans la République islamique, un pays qui affiche des positions officiellement antisionistes et négationnistes.

C’est dans une lettre longue de neuf pages que Mel Gibson fait l’objet des pires allégations. L’auteur ? Le scénariste Joe Eszterhas, (Basic InstinctFlashdance). Les deux hommes travaillaient ensemble sur le projet de biopic de Judah Maccabée, figure de l'histoire juive, que l’acteur-réalisateur Mel Gibson voulait réaliser depuis un moment.

Savait-on que Casablanca était le laboratoire de l'architecture expérimentale du 20e siècle ? Que le résident général du protectorat français (1912-1956) Lyautey, reproduisant le geste de Napoléon III, a lancé un programme à la Haussmann, ouvert à l'avant-garde de son époque ? Que les jeunes architectes casablancais en sont totalement fiers ? Que les Européens et les Marocains firent ensemble de Casablanca une perle, bien défraîchie aujourd'hui ?

Safi , une ville marocaine sur l'Atlantique, était au début du XXè siècle avec une population juive plus nombreuse que la musulmane. Mais il a fallu moins de dix ans, au début de l'indépendance, pour réduire les hébreux à des habitants qu'on peut compter, à présent, sur les doigts d'une seule main.

Sur le point d'intégrer l'armée israélienne, Joseph découvre qu'il n'est pas le fils biologique de ses parents. Il a été échangé à la naissance avec Yacine, l'enfant d'une famille palestinienne.

Jack Tramiel, le fondateur de Commodore international et PDG d'Atari, est mort ce dimanche à l'âge de 83 ans. Juif polonais déporté au camp de concentration d'Auschwitz, il avait émigré aux Etats-Unis en 1947.

Dans quelques jours, le monde juif devra s’apprêter à commémorer le centenaire d’une des pages les plus sombres de l’histoire du judaïsme en terre d’islam – le « tritel » ou le « pogrome de Fez », qui eut lieu du 17 au 19 avril 1912 (30 nissan 5672).

Kamal Hachkar, cinéaste franco-marocain berbère musulman n’est âgé que d’une dizaine d’années lorsqu’il apprend l’existence d’une communauté berbère juive au Maroc. Il découvre par la même occasion, que Tinghir, sa ville natale au Maroc, a abrité une importante communauté juive, une grande partie ayant quitté le Maroc pour s’exiler en Israël. Avec sa caméra, Kamal décide de partir sur les traces de ces juifs qui ont vécu à Tinghir pour savoir s’ils ont oublié leur terre natale.

Les statistiques raciales et religieuses ne sont pas un tabou aux Etats-Unis. Il est donc assez facile de définir pour qui penche le vote de telle communauté. Le vote juif est un excellent exemple, car il existe, à l'instar de toutes les autres composantes de la population américaine. Mais il réserve beaucoup de surprises et dément bien des idées reçues. A commencer par les raisons pour lesquelles les candidats lui accordent de l'importance, ici Mitt Romney.

La Maison Blanche a rejeté lundi l’idée de libérer Jonathan Pollard malgré l’envoi par le président israélien Shimon Peres d’une lettre à son homologue Barack Obama réclamant l’élargissement de cet espion juif américain, dont l’état de santé se serait récemment dégradé.

Brian Epstein est l’aîné d’une famille juive de Liverpool. Ses parents possèdent une chaîne de magasins d’équipements électriques. Instable, dépressif, Epstein peine à se trouver un équilibre. Sa scolarité est marquée par des renvois successifs et départs volontaires, son intérêt allant uniquement vers les disciplines artistiques.

Quand donc, les femmes et les hommes politiques, les commentateurs agréés, les politologues, et autres experts de la vie politique, quand donc reconnaitront-ils que l’invention d’un inconscient freudien a complètement modifié, que nous le voulions ou que l’ignorions, notre approche de tout discours ? Quand ce jour arrivera il leur faudra admettre que les électeurs n’écoutent plus seulement ce qu’ils sont sommés d’entendre. Ils entendent aussi, le plus souvent à leur insu, ce que les candidats auraient préféré garder pour eux.

En apparence, les représentants des grandes puissances ont synchronisé leurs positions, et même Israël a apporté sa bénédiction à l’objectif annoncé de cette réunion : permettre à Téhéran de mettre en œuvre un programme nucléaire civil, à condition de le faire dans une transparence absolue, de s’abstenir de tout enrichissement de l’uranium au-delà de 3.5%, et de désaffecter l’installation souterraine de Fodow (Fordo) près de Qom.

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