Un nombre important de Juifs de la ville sont déjà partis et ont immigré vers la Terre Promise. Désormais, tout celui qui part, le fait de son plein gré, contrairement aux fois précédentes, où il partait par nécessité, en raison d'un événement tragique, de dangers encourus ou de menaces diverses. La plupart des juifs de la communauté se sont inscrits à ce voyage et il ne restait plus qu'à coordonner l'heure de départ de chaque groupe de familles.
Si je soulève cette question aujourd’hui, c’est parce que je me suis trouvé dans une situation où je devais décider d’un comportement qui d’un côté était religieux mais de l’autre plus sympathique, plutôt accommodant.
Adolph Hitler avait si peur des Juifs qu’il a engagé toutes ses forces, a conçu la « Solution finale », pour exterminer le peuple juif. Mais l’histoire remonte plus loin. Il y a plus de 3000 ans, Pharaon avait si peur des « bergers hébreux » (1) qu’il les asservit avec la volonté de les supprimer.
Fondée en 1926, la revue L’Avenir Illustré a sondé onze années durant la vie de la communauté israélite au Maroc. Lumière sur le premier organe de presse juif du royaume.
Ce documentaire montre ceux et celles qui ont le courage de quitter la France avec des enfants en bas âge, ayant leur parents et familles ici, pour aller vivre dans un pays en guerre!
Les filles de Tonton Simon, le frère de ma mère, étaient belles. Mes sœurs aussi. Mais les plus belles étaient, sans conteste, les filles de Tata Simi, la sœur de ma mère. Solange, qui ressemblait à Elizabeth Taylor, Suzanne, Jacqueline, Viviane, Stella.
L’annonce faite jeudi par la Cour pénale internationale de l’émission de mandats d’arrêt internationaux contre le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu et l’ancien ministre de la Défense Yoav Gallant montre que le système international est en train de s’effondrer.
Les SFIROTES sont au nombre de 10 : KETER-HOKHMA-BINA (monde de l’EMANATION) ; GUEBOURA-HESSED-TIFERET (monde de CREATION) HOD-NETSAH-YESSOD (monde de FORMATION) ; et MALKHOUT (monde de l’ACTION).
Comme on le sait, c’est David Ben Gourion, né en 1886 à Plonsk, en Pologne et mort en 1973 dans son kibboutz de Sde Boker, qui, le 14 mai 1948, à Tel Aviv, a proclamé l’indépendance de l’État d’Israël. Le « vieux lion » est, on ne le sait pas toujours, l’auteur d’un certain nombre de textes très éclairants sur la pensée sioniste de, l’un des pères fondateurs de l’État juif.
En ce mois de janvier 2020, je suis attablé dans un petit restaurant sans prétention à bavarder avec le propriétaire, un amoureux du surf, et voici qu’un jeune homme m’aborde avec délicatesse car il m’a entendu parler de surf et voudrait m’interviewer. Tout ce qui touche ce sport de roi m’enchante, j’accepte donc avec plaisir.
Paul Fenton est professeur d'hébreu et d'études juives au Département d'Études arabes et hébraïques de l'Université Paris-Sorbonne. Son domaine de recherche couvre l'interaction des cultures juive et islamique, en particulier dans les domaines du mysticisme, de la philosophie et de la musique.
Tous les ans, les Américains célèbrent, autour d'une dinde, cette tradition instaurée depuis 1789 dont les origines remonteraient aux pèlerins fondateurs de la colonie de Plymouth. Que commémore-t-elle ?
La victoire décisive du président Trump a surpris, d'autant plus que les sondages annonçaient une lutte serrée avec la candidate démocrate Kamala Harris. Avec un écart de 4 millions de voix dans le vote populaire, une majorité écrasante de 86 sièges au Sénat, et le contrôle total du Congrès, Trump domine désormais les branches exécutive, législative et judiciaire.
Ce jour-là, au 114 Boulevard de Montmartre, l’ascenseur était en panne, et Edmond Amran El Maleh m’attendait en haut de la rampe d’escalier. Il me parut alors si vieux et sage que je ne l’imaginais pas quittant son domicile et remontant tous ces étages.
Le 5 novembre, les Américains ont élu Donald Trump. Un résultat qui dénote avec le vote de la majorité des Juifs américains, largement en faveur de Kamala Harris. Depuis lors, une partie des Juifs de France se réjouissent de l’arrivée au pouvoir de Donald Trump, un politique qu’ils estiment en phase avec leurs intérêts et allié d’Israël et des Juifs.
Tout comme les Palestiniens autrefois installés dans l’actuel Israël, les Juifs ont eux aussi subi un exil forcé en Orient, rappellent Joël Kotek et Viviane Teitelbaum, respectivement président et secrétaire générale de l’Institut Jonathas.
La musique juive marocaine est ancienne et très diverse et c'est pour cette raison que JN1 est venue à la synagogue Benarroche à Casablanca, pour une soirée spéciale célébrant les sons du Maroc juif. Les artistes et la communauté de Casablanca se sont réunis pour célébrer un concert intime de musique judéo-andalouse, jazz fusion gnawa, pop marocain et chants traditionnels des femmes du Nord.
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