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souvenirs

Pour une raison que je ne m’explique pas, j’ai toujours caressé le projet d’en recomposer une en mélangeant les deux langues qui font partie de ma culture, le Français et l’Arabe. 

On y voit sur le côté le fil du télégraphe. De longs plans au Kotel, le tombeau de Rabbi Shimon, le tombeau d’Absalon. La mosquée d’Omar qui n’avait pas encore de coupole dorée. Une procession des enfants des écoles juives de Jérusalem. L’école d’art Betzalel.

Les batailles de la vie ne sont pas gagnées par les plus forts, ni par les plus rapides, mais par ceux qui n’abandonnent jamais.

Peut-on bâtir un pont entre la génération des ordinateurs et celle des porte-plumes et encriers?  La réponse est positive, grâce au Buvard !!

Est-ce la disparition de ton regard qui me prend au dépourvu ? Un mois déjà sans le son de ta voix , privée de tes ‘’r’’redoubles et de tes qualificatifs  chaleureux en Arabe dialectal .

Qui d’entre vous n’a jamais galéré en cherchant le nom d’un poisson en français ou son équivalent en arabe, notamment quand il s’agit de l’expliquer à son invité étranger ?

Je déambulais sur les Champs Elysées, quand je l'ai aperçue dans la vitrine, mon sang n'a alors fait qu'un tour ...

Cette institution fut créée à Paris par dix-sept Français israélites parmi lesquels l’homme d’affaires Charles Netter, le poète Eugène Manuel, l’avocat Narcisse Leven, le rabbin Aristide Astruc et l’homme politique Adolphe Crémieux.

Les voyages que Guy de Maupassant (1850-1893) entreprend en Afrique vers la fin du 19e siècle lui inspirent une série de textes qui témoignent de ses efforts pour comprendre le monde colonial mais aussi de sa propre fascination pour l'Orient. 

 

Le Primus etait utilise par les familles Marocaines pour la cuisine avant l'arrivee du gaz de ville.

Elle se mit à rêver de pouvoir, de vouloir les dessiner et les caresser tant leur fraîcheur l'appelait. Mais aussi, elle se plut à imaginer ceux qui avaient interprété ces décors, tantôt géométriques, tantôt libres dans leurs courbes fleuries. Elle comprit plus tard que c'était l'essence même de l'Artisanat d'Art.

Un voyage virtuel dans les Années 50-60  : retrouvez les principaux événements et les musiques de cette epoque pleine d'insouciance apres lers affres de la guerre.

Lors de ma formation de parfumeur, je devais sentir des matières premières odorantes les yeux fermés. Une en particulier sentait le sang de façon incompréhensible  Non seulement j’’y voyais rouge mais la sensation que son odeur me procurait  était même violente. A ma grande surprise, il s’agissait de l’essence de cèdre de l’Atlas du Maroc. 

Avant sa mort, Albert avaient fait en la présence de Georges et de Joseph, le fils d'Henri, un accord avec ce dernier, qui disait, que si l’un d’eux devait mourir, le survivant serait responsable pour l’enfant de l’autre et devrait faire de son mieux pour le marier avec une fille sérieuse et de bonne famille.

Quand un incendie survenait dans le camp d'Auschwitz, les gardes nazis y puisaient de l'eau. C'était une citerne, un bassin de rétention. L'eau y était sale, glaciale aussi. Alfred Nakache l'a bien connue. Pendant près d'un an, au cœur de la Seconde guerre mondiale, il va y vivre des séances d'humiliation.

Vigon (né à Rabat le 13 juillet 1945), berbérophone (Souss), de son vrai nom Abdelghafour Mouhsine, est un chanteur marocain spécialisé dans le rhythm and blues, apparu dans le milieu des années soixante.

Dès 1920, la bourgeoisie et la classe moyenne française qui s’installent définitivement à Casablanca réclament une plage équipée, sûre et proche de la ville.

Hanoukka à Marrakech… c’est d’abord un hésitant début d’hiver qui asperge d’une pluie fraiche nos ruelles étroites du Mellah… c’est des écoliers emmitouflés dans leurs larges écharpes en laine bariolée, tricotées amoureusement par leurs mamans, qui pressaient le pas vers l’école

La seule Mahia que nous pouvions boire au Maroc vers les années 50 et 60 était faite "illegalement" par les juifs des mellahs.

Voir des séquences vidéo de Jérusalem est toujours spécial. Mais quand cela remonte à plus de 100 ans, cela vaut vraiment la peine.

Les traces d'une présence phénicienne (Tyriens) au Maroc et d'une présence juive dans le comptoir phénicien de Liksos (Larache) remonteraient au XIIe siècle avant J.-C.

Avant sa mort, Albert avait fait en la présence de Georges et de Joseph, le fils d'Henri, un accord avec ce dernier, qui disait, que si l’un d’eux devait mourir, le survivant serait responsable pour l’enfant de l’autre et devrait faire de son mieux pour le marier avec une fille sérieuse et de bonne famille.

Notre couchina (cuisine), n'en avait que le nom. C'était plutôt une sorte de débarras oublié par le temps, mais où des couches successives de poussière se sont installées comme base pour divers morceaux de vieux meubles, constituant à leur tour un soutien pour le tissage des araignées. 

Fondée en 1926, la revue L’Avenir Illustré a sondé onze années durant la vie de la communauté israélite au Maroc. Lumière sur le premier organe de presse juif du royaume.  

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