infos d Israel 4

marylou a écrit:
-------------------------------------------------------
les
> hammas qui seront pris seront juges en israel.

Parfait!

Article d'analyse très intéressant.
A lire absolument.

"Les Israéliens s'illusionnent s'ils tablent sur un renversement du Hamas par la population"
LE MONDE | 05.01.09 | 09h45 • Mis à jour le 05.01.09 | 10h2

Ramallah envoyé spécial

Salah Abdel-Jawad, vous êtes professeur d'histoire à l'université de Bir Zeït. Quel est selon vous l'objectif de l'offensive israélienne dans la bande de Gaza ?

Il ne s'agit pas simplement de détruire tel ou tel mouvement politique. Sinon pourquoi bombarder les ministères, l'Université islamique et l'Ecole américaine de Gaza ? Tout comme le saccage des bâtiments publics opéré en 2002, lors de l'invasion de la Cisjordanie, ces actions participent d'un plan concerté. Il vise à détruire non seulement l'entité politique palestinienne mais aussi et surtout la société. L'objectif est de créer une forme de résignation, d'amertume, d'imposer une violence quotidienne, que les Palestiniens finissent un jour par retourner contre eux.

Et puis il y a une autre théorie. Elle dit qu'Israël cherche à renforcer le Hamas, à développer une situation où non seulement la bande de Gaza mais aussi la Cisjordanie seraient sous sa domination. Bien sûr, militairement, le Hamas sera défait. Le rapport de force est intenable. Mais à moins que l'armée israélienne n'écrase complètement les islamistes, ceux-ci devraient émerger de l'attaque avec une audience accrue. A Gaza comme en Cisjordanie.

Le Hamas n'a pas la carrure du Hezbollah. Comment pourrait-il sortir vainqueur, même politiquement, de la confrontation actuelle ?

Laissez-moi vous raconter une histoire personnelle. En juillet 1980, au moment où je songeais à me présenter à la mairie de ma ville, Al-Bireh, en remplacement de mon père qui avait été exilé, les Israéliens m'ont arrêté. Après plusieurs jours d'interrogatoire ponctué de coups, avec les mains menottées dans le dos, une cagoule sur la tête et une privation de sommeil, je me suis effondré. Je me suis dit, "OK, c'est fini, je vais mourir".

Paradoxalement, à partir de ce moment-là, j'ai pu supporter plus facilement les quatre-vingt-dix autres jours de l'interrogatoire. C'est la même chose aujourd'hui à Gaza. Une grande partie de notre peuple n'a plus peur de la mort. Toutes ces frappes l'ont doté d'un système immunitaire qui lui permet d'aller jusqu'au bout. Et cela Israël ne le comprend pas.

Pourtant Israël affirme avoir tiré les leçons de son échec au Liban sud…

Effectivement, les soldats israéliens ne manquent plus d'eau, ils disposent tous d'un gilet pare-balles et leur préparation est meilleure. Mais dans l'Histoire, les guerres ne se perdent pas sur des questions techniques. Les peuples ou les régimes sont battus parce qu'ils sont captifs d'un concept. Israël est prisonnier de son paradigme militaire. Il considère les Arabes comme des indigènes qui ne comprennent que le langage de la force.

Bien qu'ils disposent du meilleur service de renseignement au monde, les Israéliens n'ont pas compris que les gens de Gaza, parce qu'ils y sont enfermés depuis des années, n'ont plus rien à perdre. Comme Nizar Rayan, ce dirigeant du Hamas [assassiné jeudi 2 janvier dans le bombardement de sa maison, avec ses quatre femmes et onze enfants] qui n'a même pas jugé bon de se cacher. Le gouvernement israélien devrait pourtant savoir combien c'est une erreur de ne pas laisser un seul espoir à son ennemi.

Le retrait israélien de Gaza en 2005 n'était-il pas justement une chance ?

A cette époque, je pensais que le Hamas devait cesser toutes ses actions de façon à ce que l'on construise à Gaza un modèle destiné à encourager Israël à prendre le chemin de la paix. Or à ce moment, Israël s'est mis à assassiner des responsables du Jihad islamique en Cisjordanie. Logiquement, les miliciens de la même organisation, à Gaza, se sont mis à répliquer.

Par ailleurs, Israël n'a jamais laissé les gens de Gaza vivre en paix. Il ne leur a jamais donné les moyens d'une véritable indépendance, économique et sociale, en ouvrant les points de passage. Avec le Hamas, dont on sous-estime le pragmatisme, Israël aurait pu négocier une tahdia (trêve) pour de longues années. Mais l'armée a voulu casser la tahdia.

En attaquant au mois de novembre [l'armée israélienne avait mené, dans la nuit du 4 au 5 novembre 2008, un raid contre un tunnel creusé à proximité de la frontière avec Israël, qui a relancé les tirs et renforcé en représailles le blocus de Gaza], un mois avant la fin de la trêve, elle savait que le Hamas répondrait.

En tant que laïc, la montée en puissance du mouvement islamiste vous inquiète-t-elle ?

Il y a quelques Palestiniens, dans l'élite culturelle et politique, qui estiment que le Hamas est un danger plus important qu'Israël. Ce n'est pas mon cas. Les Israéliens s'illusionnent s'ils tablent sur un renversement du Hamas par la population. Savent-ils seulement que sur les quinze dernières années, je n'ai pas pu aller plus de trois fois à Jérusalem, alors même que c'est à quinze kilomètres de ma maison ? Que depuis 1993, je n'ai pas pu voir la mer ? Non, ils ne connaissent rien de notre vie.

Dans les journaux palestiniens, il y a chaque jour une demi-douzaine d'articles traduits de la presse israélienne. En revanche, les quotidiens israéliens, même les plus éclairés comme Haaretz, ne publient quasiment jamais d'articles signés d'un Palestinien.


Propos recueillis par Benjamin Barthe

Pourquoi Gaza a replongé dans la guerre
Adrien Jaulmes, correspondant à Jérusalem
05/01/2009 | Mise à jour : 07:08 | Commentaires 25 | Ajouter à ma sélection
.
Des soldats israéliensont pris position à l'entréede la bande de Gaza, hier.

L'armée israélienne est de retour dans le territoire palestinien,mais son ennemi est d'un genre nouveau, tout comme les enjeux de la confrontation.

Dans le vieux conflit israélo-arabe, toutes les guer­res se ressemblent, mais cha­­­cu­ne est différente. L'opération lancée il y a huit jours par Israël contre le Hamas à Gaza ne déroge pas à cette habitude. L'armée israélienne est de retour dans le territoire palestinien, mais son adversaire est d'un genre nouveau, tout comme les enjeux de la confrontation. En se retirant de la bande de Gaza en 2005, et en démantelant les colonies juives qui y étaient implantées, Ariel Sharon pensait en finir avec les opérations incessantes dans ce territoire, et soulager l'armée de ce fardeau.

Moins de cinq ans plus tard, ses successeurs doivent faire face à une nouvelle menace à Gaza. Le retrait unilatéral de Sharon, sans négociations préalables avec les Palestiniens, avait été présenté comme une victoire par le Hamas. Le mouvement islamiste avait remporté l'année suivante les élections législatives palestiniennes, avant de prendre le pouvoir par un coup de force à l'été 2007, évinçant l'Autorité palestinienne de Mahmoud Abbas.

«Pluie d'été»

Gaza est devenu, depuis, le premier territoire arabe gouverné de facto par une branche des Frères musulmans. C'est contre ce proto-État d'un million et demi d'habitants, entassés sur une bande sablonneuse dans le fond de la Méditerranée, qu'Israël intervient aujourd'hui.

Dans un premier temps, Israël avait réussi à circonscrire la menace représentée par les bombes humaines, dont le Hamas avait fait sa spécialité, par une clôture électrifiée et étroitement surveillée entourant la bande de Gaza. Face à l'intransigeance du mouvement islamiste, Israël avait organisé un étroit blocus terrestre et maritime du territoire palestinien, destiné à faire plier le Hamas.

Ce système a été contourné par les militants islamistes sous terre et dans les airs. En creusant des tunnels, le Hamas avait lancé des attaques contre les postes israéliens, comme celle qui avait abouti à la capture du caporal Gilad Shalit en juin 2006, depuis lors toujours prisonnier à Gaza. Ces souterrains ont aussi permis de faire entrer, depuis un Sinaï égyptien mal contrôlé, armes et ravitaillement, et notamment des roquettes plus sophistiquées que les engins artisanaux bricolés dans les ateliers de chaudronnerie du Hamas. Dans les airs ensuite, en faisant pleuvoir par-dessus la barrière terrestre des projectiles à la portée de plus en plus longue contre les villes du sud d'Israël.

Comme dans un siège médiéval, où les roquettes et les missiles ont remplacé les arbalètes et les catapultes, et où sapes et contre-sapes ont été remises au goût du jour, le Hamas défie la plus puissante armée du Proche-Orient. Pour le mouvement islamiste, les tirs de roquettes ne sont que des ripostes au blocus infligé par Israël contre son territoire, qui dépend étroitement des marchandises transitant par son voisin et dont la population vit sous perfusion d'aide internationale. Quoique relativement inefficaces, ces tirs sont pour Israël une me­nace inacceptable.

«Une leçon douloureuse»

L'armée israélienne a fini par se résoudre à retourner dans Gaza, où elle n'avait plus pénétré depuis la décevante opération «Pluie d'été» de 2006, qui avait échoué à libérer le caporal Shalit. L'objectif officiel de l'opération «Plomb durci» n'est pas aujourd'hui de réoccuper Gaza et d'administrer 1,5 million de Palestiniens, mais de mettre fin aux tirs du Hamas contre Israël. «Il est clair qu'Israël n'acceptera qu'un règlement qui prévoie une cessation complète des tirs de roquettes, la fin du réarmement du Hamas, et une vie normale pour les citoyens du sud d'Israël», a affirmé hier le secrétaire général du gouvernement israélien, Ovid Yehezkel.

Le Hamas s'est préparé depuis l'été 2007 à une confrontation de ce genre. Le mouvement, qui met le sacrifice individuel, volontaire ou non, au centre de son identité, représente un adversaire plus coriace que les militants du Fatah palestinien qu'Israël avait réduits dans les opérations en Cisjordanie pendant la seconde Intifada en 2002. Le Hamas a augmenté son arsenal, creusé des caches et des tunnels, dissimulé des mines et préparé ses combattants.

S'inspirant de la résilience du Hezbollah pendant la guerre de l'été 2006, le Hamas veut remporter la victoire en évitant la défaite. Le mouvement libanais était parvenu en trente-trois jours de guerre à écorner le mythe de l'invincibilité israélienne, en continuant malgré les bombardements à tirer des roquettes contre le territoire israélien, et en réussissant à infliger des pertes aux blindés adverses.

«Nous allons donner une leçon douloureuse à l'ennemi», a promis hier Abou Obeida, un porte-parole des Brigades Ezzedine al-Qassam, la branche armée du Hamas. «Nous avions anticipé cette attaque au sol, et nous nous sommes préparés. L'occupation sioniste va perdre cette bataille. Ils ont déjà reculé par rapport à leurs objectifs de campagne initiaux. Après avoir dit qu'ils voulaient renverser le gouvernement du Hamas, ils ont annoncé qu'ils ne voulaient que l'affaiblir, et maintenant, ils ne parlent plus que de faire cesser les tirs de roquettes. Aucun de ces objectifs ne sera atteint, et ils quitteront notre territoire défaits et humiliés.»

Le Hamas joue sur le temps, qui n'a pas la même valeur pour les deux adversaires. En résistant aussi longtemps que durera l'opération en cours, en tirant régulièrement contre le territoire de son ennemi, et en infligeant des pertes à ses troupes au sol, le Hamas espère contraindre Israël à négocier, et donc à reconnaître implicitement son gouvernement à Gaza.

Hier encore, malgré l'entrée des troupes israéliennes dans Gaza, une vingtaine de projectiles ont été tirés contre Israël.

Le temps est un facteur moins favorable aux Israéliens. L'opération en cours bénéficie pour le moment d'un blanc-seing de la communauté internationale, face à un mouvement qui figure sur les listes terroristes occidentales. Les États-Unis ont déjà bloqué un projet de résolution à l'ONU demandant un cessez-le-feu immédiat. Mais le compte à re­bours diplomatique qui s'enclenche dans toutes les guerres du Proche-Orient a commencé, et les manifestations contre l'intervention israélienne se multiplient à travers le monde.

L'offensive terrestre doit, selon l'état-major israélien, porter un coup définitif aux capacités militaires du Hamas. Elle a commencé après une semaine d'opérations aériennes, où viennent une nouvelle fois d'être démontrées les limites de l'aviation face un adversaire furtif. Malgré leur précision, les bombes guidées et les missiles se sont révélés incapables de faire cesser totalement les tirs de roquettes et de mortiers. Les drones, capables de filmer de nuit ou sous un couvert nuageux à la caméra thermique les moindres mouvements de l'adversaire, et même les nombreux informateurs palestiniens travaillant secrètement pour Israël, ne parviennent pas à tout savoir d'un mouvement maladivement se­cret et clandestin.

Le «comité de la cuisine»

En lançant le volet terrestre de l'offensive, l'état-major a annoncé que des pertes étaient possibles, et n'entend pas laisser d'éventuels revers tactiques arrêter les opérations, comme pendant la dernière guerre du Liban. Mais le cabinet israélien est divisé. Le «comité de la cuisine», ainsi nommé depuis l'époque où Golda Meir réunissait chez elle les principaux ministres et chefs militaires pour décider des opérations, est aujourd'hui composé de rivaux politiques. Ehoud Olmert, premier ministre démissionnaire, entretient des relations tendues avec son ministre des Affaires étrangères, Tzipi Livni, qui l'a évincé de la direction de son parti Kadima, après l'avoir vivement critiqué pour sa conduite dans la guerre du Liban. Le ministre de la Défense, Ehoud Barak, qui est aussi le chef du Parti travailliste, en pleine remontée dans les sondages depuis le début de l'attaque contre le Hamas, avait pendant les derniers mois pris position contre une intervention.

L'opération de Gaza est pour l'instant soutenue par une majorité d'Israéliens, et le cabinet restreint affiche son unité. Il n'est pas certain que cette union résiste en cas de revers sur le terrain, pour laisser place à des rivalités électorales.

les tirs de kasams et autres fusee grad ont considerablement baisse mais l alerte est au maximum quand meme.
la banque d Israel a accorde aux habitants du sud un decouvert inportant pour pouvoir faire face a la vie et a la guerre/

ehud barak a affirme ds une interview que nous etions prets a toute eventualiet si hezballah venait a se meler du conflit.

gaza est encerclee. le travail consiste maintenat a arreter les dirigeants hammas sans qu il y ait des victimes chez nos soldats et a aider la population de gaza qui n est pas en raltion quelconque avec le hammas. ce matin une famille entiere a ete tuee par un tir de la marine. tsahal avait auparavent lance des tractrs pour prevenir les familles qui abritent des fusees ou des rampes de lancement de kassam chez eux de fuir les habitations car elles seraient bombardees.
hammas aurait hier tente de capturer un soldat sans succes.

BEER-SHEVA ET ASHKELON sont encore sous le tir de hamas .Pendant des annees Israel les a laisse ENTASSER de l'armement avec l'aide de l'EGYPTE .le tout passait par les tunnels souterrains a RAFIAH. Et maintenant il y a beaucoup de boulot.Quand je pense qu'il y a sur ce site des gens qui traitent la population de gazza "d'innocents ". TOUS mais TOUS sont prets a sacrifier leurs enfants pourvu qu'ils tuent DES JUIFS !! aLORS OU EST LE PROBLEME ? en avant TSAHAL !! vous faites du bon boulot.

je viens de voir les infos sur i tele !!!! ecoeure je le suis mais cela demande un titre a ma façon !!!!
sarkosy en tourne au moyen orient chez ces amis arabes" voyoux et corompus" !!! j'espere qu'israel lui montrera qui commande au moyen orient ? le president français devrait s'occuper de la menace islamiste en france et de nettoyer devant sa porte !

j'ai appris que les evenements qui se sont passer avec les arabes a paris etaient menes par les freres musulmans qui sont deja a paris !

IL NE FAUT PAS COMPTER LES MOTS !! IL FAUT LES PESER !! salomon/LES ROIS

lavoyante a écrit:
-------------------------------------------------------
> BEER-SHEVA ET ASHKELON sont encore sous le tir de
> hamas .Pendant des annees Israel les a laisse
> ENTASSER de l'armement avec l'aide de l'EGYPTE .le
> tout passait par les tunnels souterrains a RAFIAH.
> Et maintenant il y a beaucoup de boulot.Quand je
> pense qu'il y a sur ce site des gens qui traitent
> la population de gazza "d'innocents ". TOUS mais
> TOUS sont prets a sacrifier leurs enfants pourvu
> qu'ils tuent DES JUIFS !! aLORS OU EST LE PROBLEME
> ? en avant TSAHAL !! vous faites du bon
> boulot.



BRAVO. OUI DU BON BOULOT. ILS NE VEULENT QU UNE CHOSE TUER LES JUIFS. QUE DIEU LEUR CREVE LES YEUX AVEC L AIDE DE TSAHAL.

Les responsables français savent qu'une intifada menace le pays.Ils font tout pour ne pas la provoquer.Ils l'auront quand même comme en Grèce.A son retour le Président pourra toujours dire qu'il a tout essayé,sachant à l'avance que son intervention n'est que gesticulation.
Et comme Daladier,il aura le mépris et la violence de la part de ceux qu'il pense calmer.Car vouloir ignorer l'objectif de la globalisation du combat islamique est plus une faute qu'une erreur.

7 de nos soldats ont ete blesses durant la derniere heure. trois legerement et trois moyennement

une fusee grad a aterri en plein ds la cour d un jardin d enfants. pas un blesse, merci mon dieu! j ose a peine imaginer queele aurait ete la scene s i les enfants avaient ete la.

28 roquettes en tout sur israel malgre la percee de tsahal ds gaza. c est dire combien de kassams et combien de tireurs ils ont.

sarkozy etait un type bien avant d etre president. aujourdhui il est president il a oublie toutes ses valeurs y compris le nettotage au karsher qu il avait promis et qu il aurait du faire avant de nous conseiller ... histoire de balayer devant sa porte.

autre ame sensible: la reine de jordanie... la vue d enfants qui souffrent a gaza lui est insupportable. elle qui est palestinienne comme 85 % des jordaniens pays qui est en fait la plestine. la vue d enfants qui souffrent depuis 8 ans a sderot et qui dorment ds des cagibis et ds des caves qui leur servent d abris ca la derange pas la reine de coeur...alors aujourdhui elle donne son sang royal pour attenuer les malheurs du monde. demain elle ira faubourg st honore se choisir une garde robe convenable ... c est affreux cette guerre...

le liban se ne melera pas de cette guerre. a affirme un responsable gouvernemental libanais. enfin c est comme ca qu on dit..
allez photos:
le jardin d enfants devaste par un grad
et la jolie reine attritee...
Pièces jointes:

miracle.. une fusee grad sur un jardin d enfants...
Pièces jointes:

Analyse intéressante de Metula : selon eux, le Hamas a dû se rabattre sur les roquettes parce que la barrière de sécurité est très efficace, elle a empêché des attentats-suicide.

des dixaines de terroistes hammas et autres djihadistes ont ete interroges une partie d entre eux a ete emmenee en israel pour interrogatoire.

l aile dirigeante du hammas a dammas fait savoir par l intermediaire du bras droit d khaled mashal que hammas est pret a etudier une propsition de treve a la seule condition que tsahal se retire, que les maavarim ( les points de passage ) soient ouverts, et qu israel cesse toute attaque...

eux ne s engagent a rien.

Et s'ils promettaient quelque chose, tu les croirais ?

surfeuse a écrit:
-------------------------------------------------------
> Et s'ils promettaient quelque chose, tu les
> croirais ?

ne perdait pas de temps les filles voila la situation !!
georges bush a piege les europeens ils leurs mets le bebe dans les bras sachant que le sarko ne fera pas de miracle !!donc nous avons jusqu'au 20 janvier pour faire le menage et s'assoire avec des gens plus respectable "nos amis americains"

IL NE FAUT PAS COMPTER LES MOTS !! IL FAUT LES PESER !! salomon/LES ROIS

D'apres les infos a la tele ILS recoivent a cette heure ci "TREHA "

lavoyante a écrit:
-------------------------------------------------------
> D'apres les infos a la tele ILS recoivent a cette
> heure ci "TREHA ">:

treha ? VOUS AVEZ DIT TREHA ? COMME C'EST TREHA !!!!

IL NE FAUT PAS COMPTER LES MOTS !! IL FAUT LES PESER !! salomon/LES ROIS

PAR AIR - MER ET TERRE !

Ce matin, l'IAF a de nouveau pilonné des tunnels entre la bande de Gaza et l'Egypte. C'est par là que passaient les grad, les katioucha et les instructeurs.

En effet la surfeuse plus de 40 tunnels ont ete pilonnes mais les habitants des villages a la frontiere EGYPTIENNE sont inquiets.Un manque a gagner"ce trafique nous rapportait plus de 650 millions de $ par an ".TOUT passait par ces tunnels !!nourriture - armement -etc...etc...meme des moutons ha ha ha..
Pièces jointes: