Dafina.net Le Net des Juifs du Maroc




Bienvenu(e)! Identification Créer un nouveau profil

Recherche avancée

Obama

Envoyé par felixabenhaim 
Re: Le husein oblabla CUMULE LES INCOMPETENCES !!
30 mai 2010, 09:31
Exilée
un sondage du Washington times

Poll Results: Will President Obama pay politically for his response to the Gulf oil spill?

* Yes (89%)
*
* No (11%)
Re: Obama
30 mai 2010, 09:47
Salut GIL,

Ce sont des chiffres qui me réjouissent , j'espère ENFIN que les

médias Américains qui sont tout aussi décevants que les Européens ,

sauront , trés vite , reconnaître le RAS LE BOL du PEUPLE AMERICAIN

et cesseront d'être criminellement complaisants envers cet incompétent .

Il est temps de lui signifier que les USA ne sont pas sa propriété, et, bien

qu'il ne soit pas CULTURELLEMENT AMERICAIN , il est dans un pays

où la DéMOCRATIE a un SENS .

Il se conduit comme un potentat moyen-oriental , il oublie que c'est l'AMERIQUE !!!
Re: Obama
30 mai 2010, 11:41
Mdr

C'est incroyable de voir à quel point il y a du cynisme!

Je me souviens que pendant la campagne le duo républicain Palin / Mc Cain chantait à tu tête : baby baby drill (qui signifie : bébé fore!)
tellement ils soutenaient les forages en hautes mer.
Obama était réservé à l'époque même si sous la pression des républicains il a ré-autoriser des forages.

On va pas apprendre au vieux singe à faire la grimace.
Re: Obama
31 mai 2010, 06:12
Obama et Jack Webb ! vidéo trucquée, - tout ce que dit Jak Webb (Joe Friday de la serie Dragnet) est tellement vrai !
il faut au moins avoir 50ans pour connaître. ou alors regarder les re-run


<object width="480" height="385"><param name="movie" value="

&hl=fr_FR&fs=1&"></param><param name="allowFullScreen" value="true"></param><param name="allowscriptaccess" value="always"></param><embed src="

&hl=fr_FR&fs=1&" type="application/x-shockwave-flash" allowscriptaccess="always" allowfullscreen="true" width="480" height="385"></embed></object>
Re: Obama
31 mai 2010, 12:21
encore une "trahison" de hussein obama

à l'égard d'israel .








TNP : Israël dénonce l'hyprocrisie américaine
Par Xavier Schott - Dimanche 30 mai 2010 à 11:49


Les Etats-Unis s'engagent à œuvrer au succès d'une conférence sur la création d'une zone exempte d'armes nucléaires au Proche-Orient, dont le principe a été adopté vendredi par la conférence TNP à New York, a déclaré la déléguée américaine, Ellen Tauscher. En réponse, Israël a dénoncé "l'hypocrisie" de l'accord.

La conférence a adopté par consensus une déclaration de 28 pages qui prévoit quatre plans d'action sur chacun des trois piliers du Traité -désarmement, vérification des programmes nucléaires nationaux pour assurer qu'ils sont pacifiques et usage pacifique de l'énergie atomique- ainsi que sur le Proche-Orient dénucléarisé.

Alors que le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, a salué le "succès" de la conférence, Israël a dénoncé samedi "l'hypocrisie" de l'accord.

Après les pressions exercées par l'Egypte et l'Iran afin qu'Israël soit spécifiquement invité à rejoindre le TNP, le document affirme en effet qu'¨il importe qu'Israël adhère au traité et place toutes ses installations nucléaires sous les garanties globales de l'AIEA" (Agence internationale de l'énergie atomique).

Un détail point du doigt par la sous-secrétaire d'Etat américaine chargée du contrôle des armements et de la sécurité internationale Ellen Tauscher :

"Nous nous attacherons, avec les pays de la région, à créer les conditions d'une conférence couronnée de succès", a-t-elle dit avant de préciser :

"Nous notons toutefois que notre capacité à y parvenir est sérieusement amoindrie du fait que le document final singularise Israël dans sa section consacrée au Proche-Orient, ce que les Etats-Unis regrettent profondément".

Une critique reprise par le président américain Barack Obama, qui a salué, dans un communiqué, un accord "équilibré et réaliste" tout en se disant "fortement" en désaccord avec le fait de singulariser Israël.

Par ailleurs, il est intéressant de noter que l'Iran n'a pas été mentionné nommément, alors que les Occidentaux souhaitaient que soit rappelées ses violations aux résolutions de l'ONU exigeant qu'il suspende ses activités nucléaires sensibles et prouve le caractère civil de son programme nucléaire.

Le député national-religieux Aryeh Eldad a appelé le Premier ministre Binyamin Netanyahou à annuler sa visite à la Maison Blanche et à retourner au pays pour consultations, ''après la trahison d'Obama à l'égard d'Israël et son soutien à la demande de supervision des sites nucléaires israéliens''.

Il a qualifié l'appui américain à l'accord adopté vendredi par la conférence de suivi du TNP sur sur le désarmement et la création d'une zone exempte d'armes nucléaires au Proche-Orient, de ''couteau planté dans le dos d'Israël''.

En Israël, médias et analystes considèrent en effet le vote américain comme un véritable "camouflet".

"Washington a "sacrifié Israël à son intérêt global de limiter l'armement nucléaire dans le monde", estime le quotidien Haaretz.

"Le président Barack Obama et son administration ont préféré le succès de la Conférence à Israël", déplore le quotidien de gauche, selon lequel la résolution constitue une "victoire diplomatique pour l'Egypte" qui fait campagne depuis des années pour qu'Israël renonce à l'armement nucléaire qui lui est imputé.

Le Haaretz rappelle qu'en 2005, l'administration du président George W. Bush avait refusé de s'associer à un document enjoignant à Israël de signer le TNP.

Le camouflet américain survient à la veille d'une rencontre à Washington entre le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu et le président américain.

Pour le quotidien gratuit à grand tirage Israël Hayom, le vote américain traduit la "faiblesse d'Obama", soulignant que "les Américains avaient promis aux dirigeants israéliens d'empêcher la signature du texte".

"Il y a un changement négatif indéniable de la politique américaine" sur le nucléaire israélien, estime le chercheur Eytan Gilboa, qui critique "les contradictions d'Obama puisqu'il applaudit à la fois la résolution et la critique".

Ce politologue de l'université de Bar Ilan estime que les Etats-Unis "sont en train de perdre leur rôle de leadership à cause de la vision naïve et irréaliste" de leur président.

En revanche, l'ex-directeur général du ministère des Affaires étrangères Alon Liel voit dans la résolution le signe d'un "isolement croissant d'Israël sur la scène internationale", qui va rendre de plus en plus difficile sa campagne pour des sanctions contre l'Iran.

Publiquement, le gouvernement israélien s'abstient de critiquer les Etats-Unis mais un haut responsable a reconnu samedi que "l'administration américaine a changé de politique sur la non prolifération". "Nous n'avons pas fini de parler de ce sujet", a averti ce dernier.

L'Etat hébreu a conclu une "entente" en 1969 avec les Etats-Unis aux termes de laquelle les dirigeants israéliens s'abstiennent de toute déclaration publique sur le potentiel nucléaire de leur pays et ne procèdent à aucun test nucléaire. En échange, Washington s'est engagé à s'abstenir d'exercer des pressions sur ce dossier.

Les Israéliens n'ont jamais reconnu disposer de l'arme atomique et refusent d'adhérer au TNP. Mais selon des experts étrangers, Israël dispose de 100 à 300 ogives nucléaires.
GAZA , LES MERCENAIRES d'obama
01 juin 2010, 12:22
Gaza : Les mercenaires d’Obama


Posted by Jean-Marc Desanti on 31/5/2010

L’arraisonnement de la flottille d’activistes pro-palestiniens aura fait au moins 10 morts
dans les rangs de ces derniers et blessé au moins six soldats israéliens dont deux gravement.

Il semble bien que l'action menée par les Commandos Marines israéliens a rapidement dérapé
dans une série d’erreurs techniques …

On indique à la tête de l’État Major de Tsahal qu’on ignore qui a donné les ordres de feu
tout en précisant que défendre sa vie est aussi valable dans les eaux internationales.

Les informations, on peut s’en douter seront, de toute façon, d’un côté comme de l’autre
totalement contradictoires et le sympathisant de telle ou telle cause prendra évidemment,
pour argent comptant, les informations de son camp.

Il n’en reste pas moins qu’en dehors des scènes macabres médiatisées et des conséquences
désastreuses pour l’image d’Israël et sur le terrain à Gaza, la résolution nécessairement politique
de la question palestinienne n’avancera pas d’un pouce.

Nous avons, plus que jamais, un gouvernement bicéphale déchiré, une diarchie où s’opposent
dans la plus grande cruauté deux pouvoirs inconciliables le Fatah laïque et le Hamas islamique

. On semble oublier dans cette pitoyable et tragique affaire, comme l’indiquait Mark Regev,
que les activistes pro Hamas « prétendent militer en faveur des droits de l’Homme mais
restent silencieux dès lors qu’il s’agit d’attaques du Hamas délibérément ciblées contre des
civils israéliens ou des brutalités de ce régime envers ses propres citoyens en vue d’anéantir
toute opposition politique, de supprimer tout média indépendant, ce qui a entraîné l’arrestation
ou l’exécution de centaines d’opposants politiques.

S’ils s’intéressaient sincèrement et surtout honnêtement au bien-être de la population de Gaza,
ils souligneraient les 15 000 tonnes d’aide humanitaire expédiées chaque semaine y compris par
l‘État d‘Israël.

» On pourrait se contenter de se nourrir des tragédies de ce matériel humain, juifs ou musulmans,
jeté en pâture aux politiques débordés des deux camps.

Cependant, ne convient-il pas de poser, une fois encore, les questions qui dérangent ?

Pourrions-nous prendre connaissance des télex secrets, génialement cryptés, entre Ankara
et Jérusalem via Washington ?

Quels sont les derniers ordres de mission donnés à la confrérie religieuse turque "Nurcus"
par la CIA qui a permis à celle -ci et aux fonctionnaires du Département d’État, grâce à leurs
madrasas, d’opérer clandestinement dans les nouvelles républiques turcophones d’Asie Centrale,
dont l’Azerbaïdjan, le Turkménistan, l’Ouzbékistan, le Kazakhstan, le Kirghizistan et la Russie ?

La Turquie a armé, approvisionné,entraîné, dirigé la flottille et couvert la coque du navire de tête –
au cas où nous n’aurions pas compris- d’un gigantesque drapeau turc.

Invraisemblable retournement de situation ?

Quoi ? L’allié turc, indéfectible ami de Sion prenant le commandement d’un convoi voulant forcer
le blocus de Gaza territoire ennemi d’Israël ?

Oui mais dira-t-on de deux choses l’une :

Ou la Turquie n’avait pas totalement l’aval des USA pour mener une telle opération aventureuse
et ceci indique, à n’en plus douter, qu’elle est devenue une véritable république islamique autonome
ou bien la Turquie avait bien le feu vert US et elle joue le rôle de puissance régionale faisant pression
sur Israël pour le compte des USA qui ne digèrent plus le turbulent, incontrôlable et imprévisible Ex allié.

Compte tenu de l’histoire et de la méfiance envers les dirigeants sionistes, les USA ont réalisé qu’ils ne
pourraient pas obtenir le contrôle direct de la région, et auraient par conséquent besoin d’utiliser un
mandataire pour faire passer cette zone «?sous contrôle », rapidement et effectivement.

La Turquie est ce parfait mandataire?:

membre de l’OTAN, candidat à l’entrée dans l’UE … De parfaits mercenaires pour l’Oncle Sam.

Les deux hypothèses se confondent donc.

Un pays islamique sert les intérêts US pour écraser un résistant au Nouvel Ordre Mondial qui ne peut
s’imposer qu’après l’écrasement de tous les nationalismes.

Oui ! On nous refait le coup du Kosovo pour écraser l’identité nationale serbe !

Dites-vous bien, humanistes bien intentionnés pour les misérables populations Gaza ouis que vous aurez
bientôt, d’une manière ou d’une autre, directement ou indirectement, le plaisir de voir l’Air Force bombarder,
faire bombarder ou laisser bombarder Tel Aviv, Herzlia, Netanya, Ashdod ou Haïfa

Mais si, aujourd’hui, nous, nous pleurons tous les morts, c’est ne prendre aucun risque que d’affirmer que
les morts israéliens n’obtiendront de votre part qu’un rictus malsain de dégoût satisfait.

Satisfait que les youpins s’en prennent encore plein la gueule !

Alors nous n’aurons plus rien à nous dire et plus rien à faire que de plaindre votre logorrhée antisioniste
pauvre paravent hypocrite de l’antisémitisme qui vous colle à la peau comme une lèpre.

Vous aurez définitivement choisi votre camp.

Celui des mercenaires d’Obama, des mercenaires de l’Empire, des idiots utiles et couards.

Il n’y aura plus d’Israël pour vous protéger pauvres crétins et vous vous gorgerez, obligatoirement, la peur
au ventre, de Mac Do Hallal entourés de Hidjab.

A moins que l’Odyssée manipulée de la petite armada vers Gaza ne marque le début d’une prise de conscience
de chacun :
arabes, juifs, chrétiens et que de cette misère naisse une nouvelle Ligue, cette fois trois fois sainte qui infligera
à l’Empire et à ses épigones une nouvelle Bataille de Lépante.
?
Re: GAZA , LES MERCENAIRES d'obama
01 juin 2010, 17:28
exilee ... tu fais combien de cpier/coller par jour ???

tu devrais changer de tailleur, il ne doit pas etre habile en mensuration
CENSORED FOOTAGE FROM THE GAZA FLOTILLA -
02 juin 2010, 02:18
Objet : Fw: YouTube - Censored Footage from the Gaza Flotilla - How Violence Breaks Out





Censored Footage from the Gaza Flotilla - How Violence Breaks Out

Date: Tue, 1 Jun 2010 14:56:28 +0200




>



> A faire suivre!
Re: Obama
17 juin 2010, 07:49
Le désastre Obama -

par Guy Millière


Barack Obama est un homme dangereux.

La cause est entendue pour tous ceux qui se sont un tant soit peu penché sur son passé

. Ceux qui auraient des doutes à ce sujet pourront se reporter au livre que je publierai à la fin du mois d’août, et que

j’ai appelé :

La résistible ascension de Barack Obama.

L’homme est un ancien agitateur social d’extrême-gauche, lié à des truands :

(Tony Rezko, Nadhmi Auchi), des islamistes (Khalid al Mansour, Rashid Khalidi), des financiers douteux (George Soros),

des antisémites (Jeremiah Wright, Louis Farrakhan).

Il s’est entouré de gens qui lui ressemblent.

C’est, selon l’expression utilisée par Shelby Steele, chercheur à la Hoover Institution, dans son livre A Bound Man,

un homme « tenu » par des secrets et des mensonges que ceux qui tirent les ficelles dans l’ombre pourraient révéler

au grand jour s’il s’écartait trop de la ligne fixée.

C’est un homme qui fait tout pour détraquer l’économie américaine, exacerber les déficits, créer un ordre international

propice aux dictatures et à la destruction de la liberté.

C’est aussi un homme qui a atteint depuis longtemps, et largement dépassé, son seuil de compétence.

Et c’est là que réside sans aucun doute son point faible.

Si, à l’échelle internationale, il est parvenu en assez peu de temps à isoler Israël, à faire remonter la haine anti-juive

planétaire, et à permettre à l’Iran d’avancer de manière décisive vers ses sinistres ambitions, on ne peut dire qu’il

ait réussi à susciter l’approbation du public américain sur ces divers points:

une très large majorité d’Américains s’inquiètent au contraire, et commencent à se demander très sérieusement qui

ils ont élu.

Si, en Europe continentale, l’accident pétrolier survenu dans le golfe du Mexique est encore présenté, conformément

aux mots

d’Obama, comme relevant de la responsabilité unique de British Petroleum, au Royaume-Uni, on commence à trouver

qu’Obama, en traitant l’entreprise comme un bouc émissaire, en l’accablant et en l’accusant de tous les péchés du monde,

en lui demandant de payer toujours plus, en l’acculant à la faillite, va décidément trop loin.

Aux Etats-Unis, l’opinion en général, mais aussi un nombre croissant de politiciens, camp démocrate compris, et divers

journalistes jusque là acquis à la cause du Président, se détournent et font preuve de désillusion, voire d’indignation.

Le fait est que, au cours des six semaines qui se sont écoulées depuis que la plateforme Deepwater Horizon a explosé,

Barack Obama a adopté une attitude très curieuse.

On pouvait s’attendre, vu qui il est, à ce qu’il incrimine une entreprise privée et à ce qu’il entende la laisser se débrouiller

avec les difficultés :

c’est ce qu’il a fait.

On pouvait s’attendre à ce qu’il en profite pour prendre des décisions anti-économiques et anti-capitalistes, c’est ce qu’il

a fait encore,en imposant un moratoire sur les forages en mer, en mettant ainsi des milliers d’employés américains de

l’industrie pétrolière au chômage technique, et en relançant ses projets de limitation drastique des émissions de carbone.

Mais on ne pouvait s’attendre vraiment à ce qu’il ne fasse strictement rien pour éviter la pollution, la mort d’animaux par

milliers et la destruction d’espaces naturels protégés.

On pouvait s’attendre moins encore à ce qu’il fasse moins que rien, car c’est de cela qu’il s’agit :

la liste des moyens d’action américains ou internationaux qui auraient permis d’agir et qu’Obama a refusé de voir utilisés

est longue,très longue, et publique aux Etats-Unis.

Aucun des produits dispersants, mangeurs de pétrole et dépolluants disponibles n’a été utilisé.

La solution consistant à brûler le pétrole a été elle aussi écartée, même s’il semble qu’on envisage d’y revenir aujourd’hui,

Des bateaux néerlandais équipés pour remédier à ce genre de situation ont été priés de rester aux Pays-Bas par lettre

officielle adressée au gouvernement de La Haye

. La construction de barrières de sable envisagée par le gouverneur de Louisiane, Bobby Jindall, n’a pu se faire, car les

sommes et les moyens technologiques à mettre en œuvre sont restés bloqués sur décision de la Maison Blanche.

La proposition de recours à une technique utilisée en 1993 par la firme Aramco au large de l’Arabie Saoudite,

et disponible depuis Houston, a fait l’objet d’une stricte fin de non recevoir

. En 1991, George Bush père avait fait appel immédiatement à la Red Adair Company pour remédier au sabotage des

installations pétrolières koweitiennes par Saddam Hussein :

il a fallu cinq semaines pour que le principal héritier de Red Adair, Pat Campbell, de Superior Energy Services, se voie

demander d’évaluer la situation.

Certains, à Washington, prêtent au Président des arrières pensées cyniques et destructrices :

« pourquoi laisser se produire des ravages qui auraient pu être évités, sinon parce qu’on veut les ravages », notait

voici peu un intervenant sur le site townhall.com.

D’autres, plus nombreux, soulignent qu’avant de devenir Président, Obama n’avait jamais rien géré, pas même sa propre

campagne électorale.

La chute dans les indices de confiance pour Obama et son administration est désormais telle que personne aujourd’hui

ne serait prêt à parier une pièce d’un cent sur les chances de réélection de celui que les foules adulaient voici deux ans

à peine.

Les midterm elections en novembre prochain s’annoncent difficiles, très difficiles pour les démocrates et devraient

logiquement déboucher sur une défaite pour ceux-ci.

Les séquelles de ce qui se joue présentement n’en promettent pas moins d’être durables et douloureuses.

Le parti démocrate se retrouvera sans doute en minorité dans les deux chambres du Congrès dès le 2 novembre.

Obama sera sans doute renvoyé vers sa jolie maison de Chicago dès l’automne 2012.

Un Iran nucléarisé changerait la donne au Proche-Orient pour bien plus longtemps.

Les dégâts créés par la pollution dans les bayous au Sud de New Orleans, dans les Everglades au Sud de Miami,

et, au delà, sur la côte Atlantique, pourraient être plus difficilement remédiables.

J’ai, dans des articles précédents, parlé de désastre Obama :

l’expression ne m’a jamais semblé à ce point appropriée.

Guy Millière
Re: Obama
17 juin 2010, 08:45
Guy millière est au néo conservatisme français pro likoud, ce qu'est Georges marchais au communisme.

-----
"Ne nous y trompons pas : ceux qui parlent de l'islamisation de la France sont guidés par la même obsession xénophobe que ceux qui dénonçaient la judaïsation de notre pays dans les années 1930. L'étranger, quel que soit son visage, reste responsable pour l'extrême droite des maux de notre -société." Richard Prasquier, Président du CRIF
Re: Obama
20 juin 2010, 11:30
Obama est-il implique dans l'affaire des flotilles et plus particulierement celle pleine de militants islamistes ?

C'est en tous les cas ce qui est dit dans cet article. Ce qui est sur, c'est que, suivant Haled Meshall, leader du Hamas, une rencontre a eu lieu il y a deux semaines entre Obama et les dirigeants du Hamas.

Un lien américain avec les organisateurs de l’expédition ?

Le site Internet WND (WorldNetDaily) croit savoir qu’un proche conseiller du Président Barack Obama serait le lien entre l’Administration US et le mouvement « Free Gaza », qui a été l’un des organisateurs de l’expédition de la flottille.

Il s’agit de John Brennan qui est l’une des personnalités en vue dans le domaine de la Sécurité Nationale et du domaine du terrorisme. Selon la source, ceci démontrerait que l’expédition de la flottille vers Gaza se serait faite en coordination avec le Président Obama, dans le cadre de sa « nouvelle politique au Proche-Orient ».

Le Président lui-même serait un ami de longue date d’activistes radicaux, William Ayers, Bernardine Dohrn, ou encore Jodie Evans, qui soutiennent le terrorisme et sont parmi les organisateurs de l’expédition vers Gaza.

Selon la source d’information, John Brennan s’est déjà exprimé à plusieurs reprises sur le sujet du Moyen-Orient, en manifestant pas mal d’empathie pour l’Islam, par exemple en disant ceci : « Utiliser le terme de ‘Jihad’ – qui signifie lutte intérieure de l’individu pour s’améliorer – afin de désigner le terrorisme, est dangereux, car il laisse à croire que les Etats-Unis sont en guerre contre la religion musulmane ». Une autre fois, il avait suggéré « que les Etats-Unis étudient la possibilité de soutenir le Hezbollah, afin de mieux l’implanter dans la politique intérieure libanaise ».

Mike Hammer, porte-parole du Conseil de la Sécurité Nationale, a cependant nié un quelconque lien entre Brennan et les organisateurs de l’expédition pro-Hamas, indiquant de manière laconique « qu’il y avait au sein de l’Administration US des personnes chargées es-qualité de la fixation de la politique américaine au Proche-Orient ».


[www.israel7.com]
Re: Obama
23 juin 2010, 14:46
BIEN VU , POUR CE PRESIDENT INCONSISTANT !




Quand un Bush critique Obama


De toute évidence, la promesse de George W. Bush de ne pas parler en mal de son successeur n’engage

pas les autres membres de sa famille.

Dans une entrevue publiée aujourd’hui dans le New York Times, le frère du 43e président, Jeb Bush,

critique ainsi Barack Obama pour sa propension à imputer à l’administration de son frère les maux de l’économie,

les déficits budgétaires et même le laxisme dans l’industrie pétrolière.

Je cite la déclaration de l’ancien gouverneur de Floride :

«C’est comme un enfant qui va à l’école en disant, “le chien a mangé mon devoir”.

C’est enfantin. C’est ce que font les enfants jusqu’à ce qu’ils deviennent matures. Ils n’acceptent pas la responsabilité.»

Jeb Bush n’est guère impressionné par la performance du 44e président :

«En gros, je pense que le président, plutôt que d’être un leader du 21e siècle, est Hubert Humphrey sur des stéroïdes.

Il n’y a rien de nouveau dans le fait de dépenser plus d’argent comme solution à tous les problèmes.»

Jeb Bush dit n’avoir pas l’intention de briguer la Maison-Blanche, mais plusieurs stratèges républicains estiment

qu’il serait un candidat sérieux dans la course à l’investiture du parti pour l’élection présidentielle de 2012, selon le Times.
Re: Obama
23 juin 2010, 23:00
des stéroïdes ?? que viennent faire les hormones en politique ?? cool smiley
Re: Obama
24 juin 2010, 09:36
87 sénateurs américains signent une pétition en faveur d'Israël

87 sénateurs américains ont présenté une pétition au président Obama dans laquelle ils expriment leur

soutien à Israël et à son droit à l'autodéfense devant les menaces du Hezbollah, du Hamas et de l'Iran.

''Israël a le droit de riposter aux milliers de roquettes tirées par le Hamas depuis Gaza'' ont inscrit ces

sénateurs dans leur pétition.

En outre, ils ont demandé à Obama de placer le mouvement turc IHH,responsable de l'organisation de la

flottille, sur la liste des organisations terroristes.
hussein obama : LA FIN D'UNE ILLUSION!!
25 juin 2010, 00:21
OBAMA LA FIN Illusion


Le dessin qui fait rire (jaune ? )

Le président américain n’a pas toujours apprécié les couvertures du New Yorker.

En juillet 2008, pendant la campagne présidentielle, le magazine présentait le couple Obama sous les traits de

terroristes,se félicitant d’être arrivé dans le bureau ovale.

Le dessin parodiait les remarques que l’on entendait alors à l’encontre du candidat démocrate

(un type sans fermeté, fils d’un musulman etc.). La couverture avait fait scandale.

Une couverture du New Yorker du mois de février, par le même dessinateur (Barry Blitt), a tellement plu à

Obama qu’il a demandé un exemplaire autographié, a indiqué sur CNN le rédacteur en chef du magazine, David Remnick.

On y voit Obama en train de marcher sur l’eau, et tout à coup perdre pied.

Une façon de présenter les problèmes surgissant sous les pas du Président

(la réforme de l’assurance maladie, notamment) et sa chute dans l’opinion.


Selon David Remnick, la couverture a dû déclencher un « rire nerveux » chez Obama

A cela s’ajoute l’affaire McChrystal qui met en évidence l’incompétence de l’équipe Obama.


Le général McChrystal limogé par Obama pour un humour déplacé Par Zineb Dryef


Le Président Barack Obama a limogé mercredi le général Stanley McChrystal, commandant des troupes

américaines et de l’Otan en Afghanistan, à la suite de ses remarques citées dans le magazine américain

Rolling Stone, critique vis-à-viS du président américain, se moquant de membres de l’administration, et même

d’un ministre français.


Rappel des faits.

Règle numéro 1 quand on dirige les forces internationales en Afghanistan : ne pas se laisser aller aux confidences à la

presse.

Pour s’être montré trop bavard, le général américain Stanley McChrystal a été convoqué à la Maison Blanche ce mardi

pour s’expliquer sur ses déclarations plutôt franches publiées dans le dernier numéro de Rolling Stone.

Son portrait s’ouvre sur une conversation à bâtons rompus dans une chambre d’hôtel à Paris où il est de passage à la

mi-avril.

Lorsque le journaliste de Rolling Stone demande avec qui va dîner le général, quelqu’un lui répond :

« Un ministre français. » Avant d’ajouter : « Ça craint. » Le ministre n’est pas nommé.

Le général, qui « est en France pour vendre sa nouvelle stratégie de guerre à [ses] alliés de l’Otan », peste contre les

diplomates français qu’il n’a guère envie de rencontrer :

« Comment j’ai pu me faire avoir en acceptant d’aller à ce dîner ? », se demande-t-il.

« Je préfère me faire botter le cul que d’aller à ce dîner »

« McChrystal est à Paris pour empêcher que les Français, qui ont perdu plus de 40 hommes en Afghanistan,

ne se sentent ébranlés », raconte Rolling Stone qui poursuit le récit de la soirée :

« Le dîner va avec le job », dit le colonel Charlie Flynn.

McCrystal se retourne brutalement dans sa chaise : « Hey Charlie, et ça, ça va aussi avec le job ? » Il lui adresse un doigt d’honneur.

Il faut dire que le général ne se sent pas très à l’aise dans la capitale française :

« Paris, comme le dit l’un de ses conseillers, est la ville la plus opposée à McChrystal que l’on puisse imaginer.

Le général déteste les restaurants chics, écartant n’importe lequel de ces lieux dont les bougies sur les tables font “trop Gucci”.

Il préfère la Bud Light Lime (sa bière favorite) au Bordeaux, “Talladega Nights” (son film favori) à Jean-Luc Godard. […]

“Je préfère me faire botter le cul par une salle pleine de gens que d’aller à ce dîner”, dit McChrystal, malheureusement,

personne dans cette pièce ne peut le faire. »

Ces critiques, peu diplomatiques, ont irrité mais ce n’est rien à côté de celles qui visent la Maison Blanche.

De l’ambassadeur américain en Afghanistan, Karl Eikenberry, il déclare que c’est quelqu’un qui « veut couvrir ses arrières pour

les livres d’Histoire ».

Le vice-président Joe Biden ? Le général lâche un premier « Qui ça ? » avant d’ajouter : « Vous avez dit Bite Me ? » (« Va te faire voir » en anglais).

Obama, « furieux », pourrait mettre fin à la mission de McChrystal

Rolling Stone rapporte également ses propos sur Barack Obama qu’il critique ouvertement, notamment en raison de sa réticence

à envoyer des renforts en Afghanistan.

Même s’il admet avoir voté pour le démocrate, McChrystal souligne son impréparation.

Ses conseillers racontent que le général a notamment trouvé le président américain « mal à l’aise et intimidé » lors de l’une de

ses premières rencontres avec des hauts gradés.

Toujours selon un conseiller cité par Rolling Stone, lorsque les deux hommes se revoient quand McChrystal est nommé en

Afghanistan, c’est un Président peu au fait de la guerre qu’il rencontre :

« C’était une rencontre de dix minutes pour la photo, selon le conseiller.

Obama ne savait rien de lui, de qui il était, il n’avait pas l’air très concerné, poursuit-il. Le patron [McChrystal, ndlr] a été très déçu. »

Pour le secrétaire américain à la Défense, ces déclarations constituent une « erreur considérable ».

Selon le porte-parole de la Maison Blanche, Barack Obama, « furieux », pourrait mettre fin à sa mission.

Sa décision sera prise à l’issue de leur entretien mercredi 23 juin.

Alors que McChrystal a présenté ses « sincères excuses » et accepté la démission de l’un de ses conseillers presse, le magazine

Rolling Stone a précisé que le général était informé de la teneur de l’article et qu’il n’avait pas émis d’objections à sa publication.

Après la lettre ouverte publiée par 50 généraux américains, et la déclaration ce jour de 87 députés, on voit que plus rien ne va chez Obama.

Va-t-il pour autant modifier sa politique vis-à-vis d’Israël, rien n’est si sûr. mais les élections à mi-mandats vont l’y contraindre, faute de

quoi , il n’aura plus de majorité.

50 Généraux et Amiraux américains à la retraite signent une lettre pour dénoncer l’anti-israélisme d’Obama

En réponse au traitement grotesque que vient de réserver l’administration Obama à Israël , un groupe d’environ 50 généraux et amiraux

américains retraités a élaboré de conserve la lettre suivante.

Cette lettre invite aussi bien le président que le Congrès et le public américain à mesurer à quel point les succès d’Israël et de l’Amérique

sont intimement liés.

Israël est un capital de sécurité pour les États-Unis

Nous, soussignés, avons voyagé en Israël ces dernières années avec l’Institut juif pour les Affaires de Sécurité nationale (JINSA).

Nous représentions des décennies d’expérience militaire.

Ayant eu accès sans restrictions aux dirigeants civils et militaires d’Israël, sommes parvenus à la conviction inébranlable que la sécurité

de l’état d’Israël est une question de grande importance pour les États-Unis et pour leur politique au Moyen-Orient et en Méditerranée orientale.

Un Israël fort et en sécurité est un capital sur lequel les stratèges militaires américains et les dirigeants politiques peuvent compter. Israël est

une démocratie, un produit rare et précieux dans la Région, et Israël partage notre engagement pour la liberté en général, les libertés

individuelles et la primauté du droit.

Au cours de nos voyages et de nos entretiens, la détermination des Israéliens pour protéger leur pays et parvenir à une paix juste et réaliste

avec leurs voisins a été clairement exprimée.

Ainsi nous prenons acte des tensions actuelles entre les États-Unis et Israël avec consternation et nous éprouvons une profonde inquiétude

en voyant certaine divergences politiques primer sur nos intérêts mutuels de première importance.

En tant que professionnels américains de la défense, nous analysons les événements du Moyen-Orient au prisme des intérêts de sécurité

américains.

Au cours de la guerre froide, les États-Unis et Israël se sont engagés dans un processus de coopération en matière de sécurité ;

aujourd’hui les deux pays font face à la menace identique d’un terrorisme alimenté par des gens qui redoutent tout ce qui relève de la liberté

. La collaboration historiquement étroite des États-Unis avec Israël à tous les niveaux des forces armées israéliennes, la recherche

-développement militaire, les renseignements partagés et les exercices militaires d’entrainement conjoints, a renforcé la sécurité des

deux pays.

La police et les responsables américains des affaires juridiques ont tiré avantage de leur collaboration étroite avec les professionnels

israéliens dans le domaine du contre-terrorisme intérieur, et lors des premières réponses aux attentats terroristes.

Israël et les États-Unis sont unis par des valeurs partagées et des menaces partagées contre notre mode de vie.

La prolifération des technologies nucléaires et des armes correspondantes au Moyen-Orient et en Asie, et la maîtrise de la technologie

des missiles balistiques désormais implantés dans des aires géographiques étendues, nécessitent des coopérations en matière de

renseignement, et de politique technologique et de sécurité.

Le terrorisme, qu’il s’agisse de l’origine de son financement, de l’entrainement ou de l’exécution des opérations terroristes, doit recevoir

une réponse multilatérale quand c’est possible.

La diffusion de la haine et le soutien au terrorisme d’extrémistes violents au nom de l’Islam, qu’ils proviennent acteurs étatiques ou non-étatiques,

doivent être traités comme des menaces contre la paix mondiale.

Au Moyen-Orient, dans une région instable si essentielle pour les intérêts des États-Unis, il serait pusillanime de s’écarter ou de dénigrer un

allié de la trempe d’Israël.

Ainsi, la prochaine fois que quelqu’un prétendra stupidement qu’Israël mérite parfois un peu « d’amour vache » pour « retrouver le droit chemin »,

ou qu’il faut traiter l’état juif comme un gosse turbulent qui doit aller au piquet et que c’est bon pour tout le monde, qu’il aille donc le dire à ces

50 généraux et amiraux à la retraite.

Signataires au 12 avril 2010 :

Lieutenant General Mark Anderson, USAF (ret.) Rear Admiral Charles Beers, USN (ret.) General William Begert, USAF (ret.) Rear Admiral Stanley W. Bryant, USN (ret.) Lieutenant General Anthony Burshnick, USAF (ret.) Lieutenant General Paul Cerjan, USA (ret.) Admiral Leon Edney, USN (ret.) Brigadier General William F. Engel, USA (ret.) Major General Bobby Floyd, USAF (ret.) General John Foss, USA (ret.) Major General Paul Fratarangelo, USMC (ret.) Major General David Grange, USA (ret.) Lieutenant General Tom Griffin, USA (ret.) Lieutenant General Earl Hailston, USMC (ret.) Lieutenant General John Hall, USAF (ret.) General Alfred Hansen, USAF (ret.) Rear Admiral James Hinkle, USN (ret.) General Hal Hornburg, USAF (ret.) Major General James T. Jackson, USA (ret.) Admiral Jerome Johnson, USN (ret.) Rear Admiral Herb Kaler, USN (ret.) Vice Admiral Bernard Kauderer, USN (ret.) General William F. Kernan, USA (ret.) Major General Homer Long, USA (ret.) Major General Jarvis Lynch, USMC (ret.) General Robert Magnus, USMC (ret.) Lieutenant General Charles May, Jr., USAF (ret.) Vice Admiral Martin Mayer, USN (ret.) Major General James McCombs, USA (ret.) Lieutenant General Fred McCorkle, USMC (ret.) Rear Admiral W. F. Merlin, USCG (ret.) Rear Admiral Mark Milliken, USN (ret.) Rear Admiral Riley Mixson, USN (ret.) Major General William Moore, USA (ret.) Lieutenant General Carol Mutter, USMC (ret.) Major General Larry T. Northington, USAF (ret.) Lieutenant General Tad Oelstrom, USAF (ret.) Major General James D. Parker, USA (ret.) Vice Admiral J. T. Parker, USN (ret.) Major General Robert Patterson, USAF (ret.) Vice Admiral James Perkins, USN (ret.) Rear Admiral Brian Peterman, USCG (ret.) Lieutenant General Alan V. Rogers, USAF (ret.) Rear Admiral Richard Rybacki, USCG (ret.) General Crosbie Saint, USA (ret.) Rear Admiral Norm Saunders, USCG (ret.) General Lawrence Skantze, USAF (ret.) Major General Sid Shachnow, USA (ret.) Rear Admiral Jeremy Taylor, USN (ret.) Major General Larry Taylor, USMCR (ret.) Lieutenant General Lanny Trapp, USAF (ret.) Vice Admiral Jerry O. Tuttle, USN (ret.) General Louis Wagner, USA (ret.) Rear Admiral Thomas Wilson, USN (ret.) Lieutenant General Robert Winglass, USMC (ret.) Rear Admiral Guy Zeller, USN (ret.)

Réagir à cet article
l'islam , une religion de..paix , selon hussein obama!!!
28 juin 2010, 23:57
L'islam - une religion de paix, Selon Obama !


Par: Howard Galganov


Obama a voyagé dans le monde entier pour affaiblir et pour insulter les États-Unis.

Son premier discours public à l'étranger en tant que président a été à l'arabe / musulman mondial sur la télévision Al Arabiya.

Qu'aurait-dit le monde , si la première interview d'obama en tant que président, avait été faite par un média israélien?

Il a prononcé un discours au Caire (Juin 5, 2009) dans le monde musulman en précisant que l'islam est une grande religion

qui a fait d'énormes contributions à l'humanité.

Quelles contributions ?

il n'a jamais dit comment -

je me demande pourquoi?

Obama a continué en déclarant que l'Amérique a prospéré en raison de ces musulmans américains qui ont contribué au tissu des États-Unis.

Comment cela?

Cela aussi, il n'a jamais dit en quoi .

Barack Hussein Obama a laissé clairement entendre à tout le monde musulman ,que l'Amérique n'est pas un pays chrétien.

POURQUOI?

Pourquoi l'aurait-il dit , dans un discours au monde musulman ,alors que l'Amérique est en effet un pays chrétien?

Et quelle a été la pertinence?

Je crois que Barack Hussein Obama aurait hurlé un Alleluia pendant le discours du révérend Jeremiah Wright quand il a déclaré avec passion:

«Bon Dieu l'Amérique!"

De Obama à la Maison Blanche, il n'a jamais parlé de musulmans terroristes ou islamo / fascistes. Où sont-ils tous partis?

Selon la politique de Barack Hussein Obama, il n'y a plus de guerre contre le terrorisme, et il n'y a plus de terroristes.

Est-ce que la guerre est terminée?

Serait-ce la reddition des terroristes? qu'avons- nous fait?

Pour Obama à la Maison Blanche, le Ramadan est un jour saint que tous les Américains devraient respecter, en prendre acte ,

et le placer sur un pied d'égalité aux Grande-fêtes chrétiennes et juives.

L'islam est une religion de paix et de tolérance .......

Du moins, c'est ce que les islamistes veulent nous faire croire. C'est ce que Obama veut nous faire croire.

Funny - Je ne me souviens pas avoir entendu des rabbins, des prêtres et des ministres appelant au djihad contre les autres religions.

Est-ce que les juifs et les chrétiens sont opposés à la paix?

Ou est-ce que la définition de la paix entre les apologistes musulmans est si sélective qui peut être interprétée si peu?

Ainsi, si l'islam est en effet la religion de paix, comment se fait-il que 13 soldats américains ont été assassinés

de sang froid le 5 Novembre 2009 at Fort Hood au Texas, avec pas moins de 30 autres blessés au nom

de l'islam, comme le tireur l'a proclamé au nom d' Allah Akbar ?

Et pourquoi y at-il tant de nouvelles veuves et des orphelins , tous par la faute d'un assassin musulman,si l'islam est la

religion de la paix selon Barack Hussein Obama?

Lorsque les troupes sont arrivées dans le théâtre de la première guerre en Irak, n'est-ce pas un soldat

américain musulman qui a tué des soldats américains alors qu'ils dormaient dans leur tente?

Ces dernières années, les juifs, chrétiens, hindous, bouddhistes et autres sont morts par centaines de milliers

par des musulmans, ...... tous au nom de l'islam.

Tout cela au nom de Mohamed.

Tout cela au nom d'Allah Akbar.

Quelle genre de religion célèbre le décès par suicide de leurs propres enfants en tuant les enfants des autres?

Un journaliste juif américain (Daniel Pearl) a été assassiné LIVE ON TAPE , le monde entier a pu voir, tandis

que les musulmans "amoureux de la paix" lui tranchaient la gorge.

Tout le reste est à cette image .

Son opinion sur l'islam ne vaut pas une montagne de haricots ou une montagne de fumier.

Excepté, ... que le fumier a une valeur.

Que peut dire Seigneur Hussein Obama aux victimes des soldats morts, leurs familles et amis?

Qu'est-ce qui sera plus important pour Obama?

Minimiser le rôle des musulmans dans ces massacres?

Ou faire comprendre à tous les Américains musulmans , ce qui se passe au nom de leur religion ,sur eux?

Ce qui rend cette terrible tragédie pire encore, c'est la tragédie qui occupe actuellement la Maison Blanche.

En dépit de ce que Lord Obama dit, l'islam n'est pas une religion de paix.

Et Obama n'est pas la personne qu'il faut pour diriger le monde libre.

Le jour du Jugement n'est pas loin.



Angryphone
CLIQUEZ SUR LES AUTRES SUJETS pour plus d'information.

De paix au Moyen-Orient - le mensonge et le mensonge.
01/05/2010

Obama a déclaré la guerre à Israël - et c'est un fait.

Comment détruire l'Amérique de l'intérieur
29/04/2010
Re: Obama
29 juin 2010, 06:34
"[...]Et Obama n'est pas la personne qu'il faut pour diriger le monde libre. Le jour du Jugement n'est pas loin. "

hot smiley

-----
"Ne nous y trompons pas : ceux qui parlent de l'islamisation de la France sont guidés par la même obsession xénophobe que ceux qui dénonçaient la judaïsation de notre pays dans les années 1930. L'étranger, quel que soit son visage, reste responsable pour l'extrême droite des maux de notre -société." Richard Prasquier, Président du CRIF
Re: Obama
29 juin 2010, 08:43
BONNE ANALYSE !!

MERCI MR GALGANOV !!






I Told You So !




Quand Obama a remporté la présidence avec l'aide des médias de gauche, Hollywood

et Entertainment libéraux, socialistes ethniques (ACORN), Stupid non-professionnels et des

entreprises Haters Bush, j'ai écrit:

Il ne prendra pas 6 mois pour ceux qui ont volté pour lui de réaliser l' horrible erreur qu'ils ont fait.


Et quand ils le réaliseront, les dommages aux États-Unis d'Amérique seront si grands, qu'il faudra une

génération ou plus à la réparation - voire jamais.

Les idiots qui non seulement ont voté pour le Messie, mais aussi fait travaillé leurs ânes regrette-off

pour promouvoir sa Seigneurie, voient maintenant les pots cassés.

Voici deux choses qu'ils ne feront jamais:

1 - Ils n'admettront jamais avoir commis une faute hors de toute proportion par l'élection d'un vendeur d'huile

de serpent sans histoire sociale positive ou expérience en gestion de toute nature.

2 - Ils ne prendront jamais la responsabilité de la malédiction qu'ils ont imposé à l'avenir immédiat et à long

terme de leur pays.

En substance, les personnes responsables de cette horreur endosseront la responsabilité de toute décision

cataclysmique qu'il fait et les conséquences de celle-ci.


En seulement 6 (six) mois, les sondages du Messie montrent ce qui suit:

Sur la réforme des soins de santé - Il est ,pour la troisième fois avec un vote moins de 50%, même au sein

de son propre parti.

Même s'il était en mesure de le muscler d'un projet de loi de réforme des soins de santé en utilisant des

tactiques d'intimidation contre Chicago et ses collègues démocrates, il va juste empirer les choses.

Sur la PAC et le commerce (Cap & Tax) - The Fat-Lady est déjà le chant.

Sur le plan de relance (taxer et de dépenser) - Sa popularité est en chute libre.

Sur le paquet TARP il prit et courut avec du président Bush - C'est tout sauf une bonne nuit Irene.

À la clôture de Gitmo et "sa" guerre sur ce qu'il ne veut plus appeler la guerre contre le terrorisme -

Il est sur le sable mouvant de la tête aux pieds , sur le point de disparaître.

Sur une comparaison entre lui et George W Bush à la même période de 6 mois après leur première

présidences respectives terme - Bush est en avance sur lui dans les sondages.

Sur une comparaison entre celui qui marche sur l'eau et les 12 présidents précédents entre la Seconde

Guerre mondiale à aujourd'hui - Obama se classe 10e.

Un sondage vient de paraître , qui demande qui voteriez-vous pour aujourd'hui entre Obama et Mitt Romney -

C'est un ex-aequo.

Entre Obama et Palin - SEULEMENT Obama en avance de 8 points et elle n'a même pas commencé à faire campagne.

Il me semble que Obama veut être partout où il ne devrait pas être.

Il a personnellement investi dans le vissage de l'Amérique, au seul VRAI allié du Moyen-Orient (Israël) et cela,

en faveur des despotes palestiniens et des assassins.

Il parcourt le monde pour présenter des excuses aux Etats-Unis en donnant des conférences sur la façon de bien

faire les choses, alors qu'en fait et en vérité, il n'a aucune expérience à faire autre chose que se faire élire.

Il est allé au monde musulman en Egypte pour déclarer que l'Amérique n'est pas une nation chrétienne alors

qu'il fait l'éloge sur l'islam, où il a comparé la situation "des Palestiniens à l'Holocauste.

Les Russes pensent qu'il est un Putz.

Les Français pensent qu'il est impoli.

Les Allemands veulent qu'il arrête de dépenser.

Les Indiens veulent le voir hors de leurs activités sur l'environnement.

Les Nord-Coréens pensent qu'il est une plaisanterie.

Les Iraniens ne veulent pas entendre ses appels.

Et les Britanniques ne peuvent même pas arriver à une opinion globale de lui.

Quant aux Chinois, il est trop effrayé pour même jeter coup d'œil sur leur chemin.

Peut-être, si le premier empereur de l'Amérique restait plus à la maison et Voyager moins,

et de travailler un peu au lieu d'être à la télévision à peu près tous les jours, ou oublier ses

nuits Date Le mercredi avec son Amazon épouse, ou arrêter l'exécution de «tapissée réunions

" Hôtel de Ville , peut-être qu'il aurait un peu de temps pour faire le travail de la nation.

En toute justice, il n'était pas difficile d'avoir raison dans ma prédiction sur la présidence d'Obama, même dans

ses 6 premiers mois, alors je vais faire encore une autre prédiction:

Obama ne va probablement pas finir la course des 4 ans à compter d'aujourd'hui, du moins pas de

façon conventionnelle.

Il est d'une telle politique HORROR SHOW-, et ainsi de nuire aux Etats-Unis et de son propre Parti démocratique,

que les démocrates eux-mêmes, soit, le forceront à démissionner ou de trouver un moyen de le faire jeter dehors.



Qui sait, peut-être qu'il n'est vraiment pas BORN, citoyen américain, et ça sera une façon pour les

démocrates d'être en mesure de se débarrasser de lui.

Ou - plus que probable, les démocrates feront d' Obama LEUR PROPRE LAME DE CANARD PRESIDENT.

Je ne crois pas que les démocrates ont presque autant d'amour pour leur pays comme ils le font pour leur

propre avenir politique. Et avec Obama, leurs fortunes sont en train de devenir du pain grillé.

Les démocrates ne peuvent continuer à blâmer Bush pour TOUT.

Mais, ce jeu a déjà commencé à s'épuiser réellement .

Leur mantra est «NOUS NE VOULONS PLUS dans 4», que le peuple stupide a acheté, car McCain n'avait rien de commun

avec George W Bush.

Le nouveau mantra deviendra bientôt: NOUS NE VOULONS PAS PLUS DE 6 MOIS.

Cordialement. . . Howard Galganov
hussein obama RESTE UN ADVERSAIRE REDOUTABLE D'ISRAEL
11 juillet 2010, 02:00
QU'ON NE S'Y TROMPE PAS !

hussein obababouche , PLUS QUE JAMAIS ,

RESTE UN ADVERSAIRE REDOUTABLE D'ISRAEL ,

BRILLANTE ANALYSE DE GUY MILLIERE !!!!!






Obama reste un adversaire d’Israël (info # 010907/10) [Analyse]
Par Guy Millière © Metula News Agency

La récente rencontre entre Barack Obama et Binyamin Netanyahu, et les déclarations qui en ont résulté, ont été prises ici ou là pour un signe global de réchauffement des relations entre le gouvernement américain et Israël.

Je pense, pour ce qui me concerne, qu’il importe de ne pas aller trop vite en besogne et de ne pas faire croître des espoirs infondés. Obama reste, fondamentalement, un adversaire d’Israël.

Sa vision du monde n’a pas changé en quelques semaines. Ses intentions n’ont pas connu de mutation. Il s’adapte simplement aux impératifs de la situation, en ayant pour objectif de limiter les dégâts lors des élections du 2 novembre prochain.

La finalité de ses manœuvres, depuis dix-huit mois, consistait, d’une part à faire basculer graduellement l’opinion américaine dans l’hostilité à Israël, et d’autre part, à déstabiliser le gouvernement Netanyahu, de façon à ce qu’il chute et soit remplacé par un gouvernement plus docile et plus ouvert à toute forme de concession. Il a échoué sur les deux tableaux.

L’entreprise J Street, destinée à torpiller l’AIPAC et à diviser l’électorat juif, n’a pas eu l’efficacité attendue. Les discours insinuant qu’Israël était responsable de tous les maux du Proche-Orient et mettait en danger la sécurité des Etats-Unis et la vie des soldats américains, n’ont pas rencontré un auditoire réceptif. L’opinion américaine reste très favorable à Israël.


Maintenant, ils se regardent et se sourient

Les scandales fabriqués de toutes pièces, les humiliations et les camouflets infligés à Netanyahu, les incriminations insidieuses concernant la situation à Gaza, n’ont pas rendu le gouvernement impopulaire auprès de l’opinion israélienne, et les tentatives de briser la coalition gouvernementale n’ont pas abouti. Netanyahu reste premier ministre.

Ce que veut Obama dans l’immédiat, en ces conditions, est montrer aux Américains qu’il n’est pas aussi anti-israélien qu’il a pu le paraître (et qu’il le reste).

Il entend faire penser qu’il va relancer le dialogue et avancer dans les « pourparlers de paix », et il espère grappiller ainsi quelques dizaines de milliers de voix et sauver quelques sièges.

Dès lors que sa politique étrangère est aujourd’hui considérée par une majorité d’Américains comme un fiasco généralisé, l’apparence d’un succès, aussi minime soit-il, pourra, espère Obama, nuancer le bilan de mi-mandat.

La suite dépendra du résultat tel qu’il apparaîtra le 3 novembre au matin. Si les Démocrates gardent la majorité dans les deux chambres, le pire reste à craindre, et on peut s’attendre à ce qu’Obama redevienne ce qu’il était voici quelques semaines encore : ses conseillers et ses « tsars » restent les mêmes.

Si les Démocrates perdent la majorité dans les deux chambres, Obama aura le choix entre deux attitudes : soit accepter une cohabitation avec les Républicains, et les laisser gouverner, comme Clinton l’a fait à partir de 1994, soit entrer dans une épreuve de force avec le Congrès.

On ne peut prédire en l’état ce que sera son attitude. Dans le premier cas, un infléchissement politique net est à attendre, dans le second, on assistera à un blocage empêchant des décisions trop délétères.

Pour l’heure, on peut dire que Netanyahu a, provisoirement, gagné son bras de fer avec le pensionnaire de la Maison Blanche. Moyennant diverses concessions qui, au vu de l’hostilité planétaire contre Israël et de la nécessité d’éviter de voir sa coalition gouvernementale s’effondrer, auraient été difficilement évitables, le 1er ministre a obtenu un répit et une posture d’entente de façade.

Les dégâts créés par la politique Obama n’en sont pas moins là : reconnaissance de fait de Gaza sous gouvernement du Hamas, par ce qu’il est convenu hypocritement d’appeler la « communauté internationale », basculement de la Turquie vers une radicalisation islamiste, poursuite de l’avancée de l’Iran vers le nucléaire. On peut difficilement faire pire.

Je ne doute pas que Binyamin Netanyahu sait à quoi s’en tenir et se prépare à toutes les éventualités sans, au delà des sourires diplomatiques, être dupe sur quelque point que ce soit.
Re: Obama
12 juillet 2010, 14:55
Analyse au vitriol (et très juste au demeurant) de Ilan Tsadik. Juste un petit contresens : bonds, dans ce cas, ça veut dire des liens.

Il était une fois Baba et Bibi (info # 011207/10)
Analyse
lundi, 12 juillet 2010



Par Ilan Tsadik




On se remet du grand show Obama-Netanyahu (même les désordres étaient précisément organisés) de la semaine dernière à la Maison Blanche.



Images de l’arrivée de Binyamin et de son interminable limousine par la porte principale, plans sur les entretiens en tête-à-tête, joyeux tohu-bohu de dizaines de journalistes et de photographes se pressant autour des deux leaders bien répandus dans leurs fauteuils.



Et surtout, les deux hommes se regardent, se sourient niaisement et se tiennent par la main à la moindre occasion, un peu comme Baba et Bibi, les deux hercules en string, sur le char Franz-Télévisions à la dernière Gay Pride.



Et les voilà d’accord sur absolument tout : l’Iran, le processus de paix, le maintien de la supériorité qualitative de Tsahal, des capacités nucléaires des Hébreux – à cause de leur situation sécuritaire très particulière, Baba dixit -, et Baba ajoutant, en accentuant les syllabes : les obligations ("bonds"winking smiley des Etats-Unis envers Israël sont "un-brea-ka-ble". En français : infrangibles ! En français quotidien, modèle vacances d’été 2010 : incassables, inébranlables.



Gros contraste avec la dernière rencontre, dont Netanyahu était sorti avec le visage enflé d’un boxeur qui vient de faire douze rounds contre Mike Tyson.



"Comment se porte le niveau de confiance entre vous ?", demande un confrère au successeur de Franklin Roosevelt.



"Moi ? Demande Barack Obama l’air surpris. Mais je lui faisais déjà entièrement confiance avant d’être élu à la présidence" ; et il regarde Bibi, avec l’air d’un boxer qui vous demande un petit morceau de la barre de chocolat que vous tenez dans vos doigts.




Nous nous sommes tant aimés



Et Bibi de remuer timidement les paupières à deux reprises, afin de confirmer les dires de son compagnon, tout en marquant combien son acquiescement est superflu. Ne pas croire mon Baba sur parole, tksss...



"Donc votre brouille avec Israël est désormais terminée ?", demande un autre collègue, venu de Canaan, comme nous.



"Une brouille avec Israël, moi ? Jaaaamais. Neeeeever, mais où donc êtes-vous allé chercher une chose pareille ?", s’emporte le Président sur un ton jovial.



Et Netanyahu, visage impassible, qui semble avoir soudain oublié que, la dernière fois, on l’avait fait entrer par une porte dérobée (je ne mange pas cochère), après qu’Hillary l’ait déjà assoupli en public, et que son pote d’aujourd’hui lui avait soumis, par surprise, un ultimatum très indigeste.



Bibi était alors venu plaider à Washington pour une conduite cohérente et coordonnée face à la menace iranienne, et il s’en était reparti avec un diktat assez brutal : soit tu cesses toute construction dans les implantations et à Jérusalem, man, soit on va se mettre à rationner les pièces de rechange pour tes avions et the money pour tes projets dans le domaine de la high-tech militaire.



Yeah ! Même si les drones qui sauvent les vies des boys en Afghanistan ont été conçus par les Israéliens, de même que la technologie nécessaire à intercepter les missiles balistiques en vol. Des activités qui protègent l’Amérique et qui font gagner un paquet de dollars à ses entreprises.



Mais on ne discute pas avec les Etats-Unis, particulièrement lorsqu’on est entouré par des dizaines de millions de types qui ne pensent qu’à vous jeter tout habillés à la baille. Non, Germaine, pas dans la piscine de l’hôtel...



Dans ces conditions, sans l’avouer publiquement, en continuant à faire son Tartarin à la télé, Netanyahu avait imposé le gel de pratiquement tous les nouveaux chantiers hors des frontières de 67.



De quoi satisfaire Obama et permettre de relancer les négociations de proximité avec l’Autorité Palestinienne ?



Si l’on veut. Dans une certaine mesure, le pensionnaire de la Maison Blanche a réussi ainsi à montrer qui était le boss, l’homme, mais rien de plus. Ca n’est pas ce qui a amené au réchauffement de l’atmosphère entre le Potomac et le Yarkon.



Ce serait plutôt l’approche des élections de mi-mandat en novembre, où Baba risque de perdre la majorité aux chambres, et se voir contraint de terminer sa cadence tel un coq boiteux, otage d’un Congrès hostile, pour toutes ses décisions.



D’après ce que nous avons appris d’Obama en un an et demi, il s’agit probablement de la raison de ce rapprochement aussi soudain que ne le fut le frimas.



Il est vrai que l’actuel président est bien plus concerné par sa carrière que par la création d’un Etat palestinien ou même l’acquisition de la bombe atomique par les ayatollahs.



C’est que les USA demeurent très majoritairement pro-israéliens et que les concitoyens de Baba avaient du mal à s’identifier à sa politique résolument anti-hiérosolymitaine (c’est vrai qu’il est plus facile de prononcer : "antiquaire"winking smiley.



Vrai aussi qu’Israël compte ses meilleurs amis politiques parmi les élus Démocrates à Washington, et que Netanyahu leur avait fait une cour à la limite de la décence afin qu’ils fassent pression sur le Président.



Barack Obama ne dit pas la vérité quant à la crise totalement artificielle qu’il a imposée à Israël depuis son accession au pouvoir.



Mais ce qui dérange, dans les allées du marché coloré de Makhané Yehuda, à Jérusalem, ce qui indispose entre les étals et qu’on n’oubliera pas de sitôt, c’est que les attaques du Président n’étaient pas uniquement dirigées contre le gouvernement Netanyahu, sa coalition, la personnalité de Bibi – tout cela, les Israéliens auraient pu le comprendre – mais aussi contre eux. Contre Israël.



A témoin, l’accueil glacial qu’Obama avait également réservé à Shimon Pérès, leur président coupe-rubans, certes, mais, de plus, Prix Nobel et l’un des hommes les plus pacifiques du Moyen-Orient.



Et le boycott absolu des media et des journalistes hébreux, qui étaient traités pire des pestiférés aux abords de la White House, et auxquels Baba n’avait accordé aucune interview à partir de son intronisation.



Depuis la semaine dernière, c’est tout le contraire, les hommes du Président nous appellent, pour nous demander si nous ne manquons de rien ? Une photo par-ci, une fuite par-là, ils nous couvent comme des coqs en pâte.



Dans une entrevue publiée dans un magazine du week-end, Barack Obama se demande si le public israélien ne se méfie pas de lui parce qu’il porte "Hussein" en second prénom. Il est grand temps qu’il surmonte l’aversion que nous lui inspirons, et qu’il vienne se rendre compte de visu, que nous ne vivons pas dans des huttes et ne nous transportons pas à dos de chameaux.



Le précédent roi de Jordanie s’appelait Hussein, et tout le monde ici savait qu’il était notre ami véritable. En plus, il était arabe.



Au-delà de ces considérations, c’est à vous qu’il appartient de saisir l’essentiel : quels que soient les sentiments profonds d’Obama à l’égard d’Israël (et j’admets une haute probabilité qu’ils ne soient pas des meilleurs), ce sont les contingences politiques qui font tourner le monde et non les sentiments personnels.



Bibi avait besoin des pièces de rechange de Baba, c’est pour cela qu’il a cessé de construire dans les implantations. Et maintenant Baba a besoin d’apparaître tel un ami d’Israël afin de ne pas connaître la Bérézina au Congrès et au Sénat, et c’est pour cela, uniquement, qu’il embrasse Bibi. Et alors ?



Il y a deux mois, Obama obligeait Netanyahu à se plier au jeu le plus débile qui soit : parler par l’intermédiaire d’un américain aux chefs de l’Autorité Palestinienne, distants de vingt minutes par la route, en dehors des heures de pointes.



Désormais, Obama demande à Mahmoud Abbas de cesser de faire l’enfant et d’entamer sans retard les négociations directes. Il lui demande également de ne pas faire le capricieux et de ne pas les interrompre le premier prétexte venu, genre disposition d’une caravane dans une implantation edenniste.



A Ramallah, on réclamait que Washington impose son idée des frontières aux deux belligérants. Là, on n’en est plus sûr du tout ; on pense que cette idée pourrait être favorable aux Juifs.



Hier soir, Sami El Soudi a failli m’appeler en pleine finale du Mondial (à un quart d’heure près) ; je lui avais dit que je préparais ce papier, et il voulait me confier un scoop : de nombreux membres du Fatah font pression sur Abou Mazen afin qu’il démissionne, et qu’ainsi, Obama ne puisse pas l’obliger à s’asseoir face à Netanyahu et à accepter des conditions qu’ils jugent défavorables aux Palestiniens.



C’est pourtant ce qui risque de se produire.



L’idylle entre Jérusalem et Washington va durer si les Démocrates perdent la majorité aux chambres. Sinon... sinon je n’aimerais pas me trouver à la place de Netanyahu. Déjà vous avez vu la différence de classe entre ma Nihya et sa Sarah ?
Seuls les utilisateurs enregistrés peuvent poster des messages dans ce forum.

Cliquer ici pour vous connecter






DAFINA


Copyright 2000-2024 - DAFINA - All Rights Reserved