Beni Mellal .......... 2

ps: la photo précédente, sa légende c'est "jardin du poste militaire ", peut être différent des "renseignements"

il manque une portion du texte que j'ai égaré !
ce trig (trik) es soltan me paraît très important ! une des causes de l'expédition vers OUAOUIZERT dont on a déjà parlé ( CIGALOU) ????
L'Oued el abid attirait aussi beaucoup: richesse supposée ? eau ? stratégie ?

abid : esclave:la route des esclaves passait-elle par là ???
Pièces jointes:

J'ai trouvé un autre article sur trik assoltane;


Lire la suite ici
Pièces jointes:

Le même My Smail, du côté de Tadla cette fois-ci, un itinéraire Bis de délestage pour aller percevoir l'impôt des montagnards, c'est peut être l'autre treq assoltane ? Lire la suite ici
Pièces jointes:

Enchantement

Qu'avec "De ce vallon profond, près d'un ruisseau de cristal où plongent leur amphore de sveltes "Samaritaines", s'élancent vers le ciel des arbres magnifiques qu'essaient de rattraper, dans leur course éthérée, des pampres gigantesques", le narrateur de Suchet semble envouté par l'atmosphère de Béni Mellal !

Les soirs d'été nous mangions dehors aux Ouled Gnaou, maison portes et fenêtres grand ouvertes pour essayer de faire rentrer un peu de fraîcheur en vue d'une nuit torride. Habitués des lieux, une bande de crapauds de bonne taille, pas du tout effrayés par nos grosses pointures, venait à nos pieds faire aussi bombance des nombreux insectes que les lumières attiraient.
Nous nous amusions de voir en guise de moustaches les ailes des éphémères dépasser de leurs gueules.
Nuits étoilées embaumées de mesk el lil, ensuite bercées par le chant de nos batraciens rassasiés.

Mais un beau matin, retour à la dure réalité de la vie dans le bled. Au saut du lit, cris horrifiés de Madame Compeau dans les toilettes.
Un vilain crapaud avait trouvé moyen de venir se mettre au frais dans l'eau du fond de la cuvette des WC, sans pouvoir s'en échapper vu la pente glissante à gravir.
Qui va l'en déloger, hein? A la moindre de nos approches, le voilà parti en plongée dans le siphon. Malgré les quantités d'eau envoyées pour l'expédier finir sa vie dans la fosse, rien à faire, il refait surface.
La nature nous obligeant à faire ce qu'il faut faire, dans ce cas pas très à l'aise, ce n'est qu'au bout de trois jours de grasses plaisanteries sur les quantités de ravitaillement que nous lui envoyions sur la tête, que nous avons eu l'idée de lui installer une vulgaire serpière pour se tirer lui- même du piège fatal.
Soulagement général.
Comme les souvenirs embellissent les choses! Parce que, le ruisseau de cristal où tout le monde fait tout.....
Nous gardons les meilleurs et c'est aussi bien.
Je n'ai pas trop rompu le charme? Comme disait Lyautey: "Le Maroc, ça sent........"

Je ne sais guère utiliser ce système de communication. Ayant tapé "Béni-Mellal", je suis tombée sur vos échanges au sujet de Béni-Mellal et je ne sais comment je suis tombée sur un petit film sur Béni Mellal "24 heures de la vie de bled". Pourriez-vous me dire comment le retrouver ?
Dans vos différents échanges avec vos interlocuteurs, beaucoup de noms que vous citez me sont familiers ou connus, tel Compeau . Mademoiselle Compeau était institutrice en 1944-45.
Je suis également à la recherche de l'adresse d'Annie Guillermont, après avoir lu son très joli livre.
J'ai passé une partie de mon enfance à Béni Mellal de 1941 à 1947.
Merci

J'espère que Bléon va bientôt faire éditer ses charmantes anecdotes qui nous rappellent le bon temps et qui "sentent" le vécu.
Pour les crapauds je me souviens d'images saisissantes, à la saison des amours (mars-avril) au bord des oueds et des seghias entre Taghzirt et Foum Al Ancer.
Et puis aussi, plus récemment, ce printemps à Imouzzer dans la chambre de l'hôtel qui jouxte l'ancienne "piscine" la difficulté à trouver le sommeil. Quel tintamarre toute la nuit!
Ogzilal,
En ce même printemps j'ai cherché vainement la kasba de Boulââouane dont tu parles.
Kasba Zidania ferait -elle partie de trek soltan?

Danièle Thauvin

Bienvenue sur le forum.

Plusieurs intervenants sont en possession du petit film dont vous parlez et sans aucun doute l'un d'entre se fera un plaisir de vous dire comment vous le procurer. Pour ma part, je l'ai aussi mais sur mon ordinateur d'Abidjan que je ne rejoindrai que d'ici un mois.. Donc pour l'instant je ne peux pas vous le faire parvenir. Désolé.

Il y a deux filles Compeau, Reine et Louise, cette dernière devenue madame Gontard, qui doivent être très très âgées dans le meilleur des cas. Je n'ai aucune idée de laquelle des deux a pu être institutrice.

Karzouzia nous a informé ici même qu'Annie Guillermont s'était à nouveau installée à Béni Mellal.Peut être en cherchant sur l'annuaire des téléphones du Maroc retrouverez-vous son contact.
Je suppose que vous avez aussi du fréquenter notre fameuse école autrefois Franco Israélite.
Au plaisir de lire peut-être un jour quelques uns de vos souvenirs mellalis.

Tasmit

Je n'avais jamais imaginé que je serais un jour amené à raconter toutes mes parties de rire de mes dix ans à Béni. Merci Dafina.
J'espère que d'autres encore, racontables, me reviendront en mémoire.

Bleon, de nos jours on t'aurait appelé un écolo intégriste. Dire qu'à l'époque le terme d'écolo ne devait même pas faire partie du langage du commun des mortels.
Là où d'autres auraient usé de la chasse d'eau à 50 reprises et peut être finir par une ventouse, vous, vous avez procédé différemment, comme la nature vous l'a soufflé, sans se poser de questions. Sans attendre de merci non plus de ce pauvre batracien le plus répugnant de son espèce de surcroit.
Ce sont peut être les salades de ton hôte qui vont lui dire merci, car comme tout le monde le sait, cette petite bête est l'ennemi juré des limaces, verres de terre et autres chenilles et j'en passe de tous ces friands de salades.

Tasmit, je connaissais le gris de cette région mais je ne savais pas que ce terroir recelait ce genre de merveilles d'architecture.



Modifié 1 fois. Dernière modification le 04/10/2010 12:02 par ogzilal.

bonsoir Danièle

je vous ai adressé un mess privé
bonne nuit!
la fortune

danièle

je n'ai pas extrait le film sur mon ordi, la meilleure façon de le retrouver c'est DAFINA , revenir en arrière sur le forum, premier trimestre ou deuxième 2010 un message de MESFIWI nous avait envoyé cette petite merveille, il fallait cliquer sur ici ;si MESFIWI nous lit, il pourra en dire plus .
Notre ami DAF l 'avait aussi mis vue par vue mais c'était sur DAFINA 1

bleon
oui , le reporter, en 21 semble avoir un style un peu exubérant mais l'eau était surement plus cristalline à cette époque bien qu'à BENI il y avait pas mal de tanneurs et autres activités salissantes .
Je te rappelle ta description vers l'hôtel des jardins, elle est juste un brin moins sensuelle !!
Le martin pêcheur que tu n'as pas inventé ne semblait pas incommodé !!
Pour ma part, je n'ai pas bien connu cet endroit un peu en retrait de la route ( l'endroit de ton dessin superbe:il ne manque que les reflets de l'eau ou des nymphéas pour nous rappeler Monet !!! ) mais je me souviens bien de la portion de l'oued qui longeait la rue avant le pont; effectivement il y avait des odeurs !! une eau chargée !!
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la photo (reportage de 21) est censée représenter LYAUTEY ( lequel des militaires ?) passant en revue les Caids de BENI et humant l'air chargé des odeurs d'oranges et de ??
j' ai aussi vu une photo un peu similaire à KSIBA en carte postale .

tasmit
IMOUZZER doit être un centre batracien important car je me souviens y avoir passé une nuit dans l'hôtel près du petit lac ( plutôt modeste étang ), nuit de concert,je crois bien que ma femme n'avait pas fermé l'oeil . Les bestioles,trop occupées, délaissaient les moustiques qui s'en donnaient aussi à coeur- joie !
BLEON
Il devait bien y avoir des moustiques vers l'hôtel des jardins pour rendre la situation un peu plus piquante ?
Pièces jointes:

Suchet

Je ne me souviens pas d'avoir souffert plus que cela du Bzzzzzzzz des chnioula ( j'apprécierais si on me disait que le mot a pour origine chignole) près de Tameg'nount où l'eau ne stagnait pas et courait assez vite. Hirondelles , geckos et nos chers crapauds devaient manger les moustiques s'il y en avait.

Cependant, je ne sais pas si tu en as gardé le souvenir, mais notre hôte de la popote mettait à notre disposition une grosse boite de Nivaquine (chloroquine) sur la table. C'est donc que le palu menaçait, il arrivait à M. Gonzalez d'avoir des crises. Nous avons du y échapper, au Maroc.

Décrétée toxique, notre Nivaquine, utlisée pendant des décennies, vient d'être interdite en Afrique de l'Ouest pour le moins,ailleurs sans doute, il y a un peu plus d'un an. Il était temps, moi qui en ait avalé une par jour pendaaaaaaant.......

Depuis quelques années, une nouvelle molécule , issue de l'artémise chinoise, Artemisia annua, est sur le marché et est très efficace, j'ai pu en juger il y a 4 mois.
Lecteurs de la rubrique qui voyagez dans les contrées infectées, pensez-y, surtout quand vous rentrez dans nos contrées européennes, c'est souvent à ce moment là que la malaria frappe.N'oubliez pas de dire d'où vous venez. Je ne m'en sépare plus quand je voyage. On la trouve entre autres sous d'appellation commerciale Co Artem.
Il y a 4 ans , un ami en pleine forme tombé dans le coma au volant de sa voiture de vacances peu après le viaduc de Millau, est mort à l'hôpital de Rodez.
Il y a un an , 2 jeunes soeurs abidjanaises de 26 et 28 ans, en vacances fin septembre chez leur oncle ici dans mon village espagnol ont eu une crise. Tombées en peine parano grippe A, elles ont été traitées au Tamiflu. 2 mois de coma, l'une d'entre- elles est décédée.
Malheureusement toujours pas de vaccin pour éviter ces millions de morts qu'il(elle) cause chaque année et dont on parle peu.

Sale bête
Pièces jointes:

Suchet
Pour en finir avec l'hôtel d'Imouzzer et pour être juste envers la gente batracienne il faut préciser que les crapauds ne sont pas les seuls à faire du barouf puisque cet établissement fait aussi discothèque et plus, à partir de 2 heures du mat., dans les chambres, si affinité...bien sûr. Bref, la vie nocturne typique dans une petite ville du Moyen-Atlas. A part cette "animation" et cette débauche de décibels,l'hôtel est bien tenu et tout à fait agréable la journée.

Bléon
La nivaquine à Beni, ça c'est un scoop, surtout que vous y étiez juste avant moi. Pendant mon séjour je n'en ai pas entendu parler. Au Cameroun, j'en ai pris tous les jours pendant 6ans et j'ai été le seul parmi tous mes collègues à ne pas faire de crise de palu. Ils pratiquaient, eux, en général une coupure d'un ou 2 jours.

Ogzilal
Pour Boulââouane je vais comme toi en rester au gris puisque je n'ai pas réussi à voir l'imposante forteresse.
Demain repos, c'est ici la fête nationale!

Citation
tasmit
Suchet
Pour en finir avec l'hôtel d'Imouzzer et pour être juste envers la gente batracienne il faut préciser que les crapauds ne sont pas les seuls à faire du barouf puisque cet établissement fait aussi discothèque et plus, à partir de 2 heures du mat., dans les chambres, si affinité...bien sûr. Bref, la vie nocturne typique dans une petite ville du Moyen-Atlas. A part cette "animation" et cette débauche de décibels,l'hôtel est bien tenu et tout à fait agréable la journée.

Bléon
La nivaquine à Beni, ça c'est un scoop, surtout que vous y étiez juste avant moi. Pendant mon séjour je n'en ai pas entendu parler. Au Cameroun, j'en ai pris tous les jours pendant 6ans et j'ai été le seul parmi tous mes collègues à ne pas faire de crise de palu. Ils pratiquaient, eux, en général une coupure d'un ou 2 jours.

Ogzilal
Pour Boulââouane je vais comme toi en rester au gris puisque je n'ai pas réussi à voir l'imposante forteresse.
Demain repos, c'est ici la fête nationale!

bonsoir tout le monde,

mes premières crise de palu, je les ai eues à Béni, malgré la prise, irrégulière il faut le dire, de ces petits comprimés jaunes à base de quinine qui étaient d'un goût détestable et qui jaunissaient la langue! je ne sais plus si c'était déjà de la nivaquine.
il y avait aussi de temps en temps une jeep du contrôle civil qui passait dans les coins humides et sous les arbres avec un gros pulvérisateur: alors on respirait le DDT à plein nez!
il y avait deux poudres miracles: le DDT et les sulfamides
le DDT, on en mettait partout, on était garanti de tout ce qui vole et rampe, mais on ignorait à quel point c'était nocif pour nous-mêmes!
les sulfamides c'était à mettre sur tout ce qui risquait de s'infecter, le moindre bobo, la plus petite piqûre ou égrtignure...
il y avait une pub dans les journaux: Détruisez-les Donc Tous! avec, à l'appui, un moustique ou un cafard foudroyé!
bonne soirée
la fortune

Tasmit, Pour ne pas rester sur la soif de Boulaouane (casbah bien sûr), voici un texte sur gallica relatif à cette merveille
La casbah de Boulaouane
Pour les non initiés, pour tourner une page, clic sur la flèche droite à droite de l'écran, la flèche gauche pour revenir en arrière
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Danièle T
J 'ai bien l'impression que ma réponse à votre message privé n'est pas arrivée (ou partie), est -ce une erreur de ma part ou de la faute des coupures internet fréquentes chez moi ? Je crois bien qu'il en a été de même pour des réponses à OGZILAL et à d'autres !

Pour le film où apparait " la belle cavalière" envoyé par DAF et MESFIWI ? Il faut revenir en arrière sur dafina à la page 48 on peut le faire plus rapidement en tapant sur votre moteur de recherche(google,) "dafina BENI MELLAL PAGE 48 "
je crois que vous avez les photos, une centaine, sur la ferme école dont des lettres émouvantes . ferme école ouverte par vos parents .
Nos recherches ont commencé quand nous avons essayé de savoir pourquoi il y avait autrefois une rue Capitaine Litas à Beni mellal .
Si vous ne pouvez pas trouver ou importer ce film, communiquer moi votre mel perso par message privé dafina et je me débrouillerai pour vous l'envoyer sur ce mel .
Au plaisir de vous lire bientôt.

C'est la page à atteindre, mais le "cliquer ici" n'est pas actif !
Pièces jointes:

bonjour tout le monde,
puisqu'on en parle, voici une vue de la ferme école en 45/46.
moi je l'ai connue 5/6 ans plus tard.
la fortune
Pièces jointes:

bleon
Je ne me souviens pas avoir été trop piqué à BENI mais les anciens avaient du souffrir,la légende laissait entendre que le remède se trouvait chez Costa sous forme de RICARD pur !
j'ai cru comprendre qu'à l'installation des Français à BENI, ils avaient déménagé pour se mettre à l'écart des "marigots", séguias en hauteur ( question de sécurité peut être aussi )

l' utilisation massive du DDT faite plus tard a du éliminer une partie des moustiques ! à quel prix !!!
tasmit
je ne voudrais pas laisser entendre à nos amis d'IMMOUZER que leur ville et leur hôtel étaient CRAPOTEUX ( je n'ai pas pu m'empêcher ! ) dans les années 80 .La région et la ville étaient très agréables.
je me souviens qu'en sortant de l'hôtel dont on a parlé une énorme branche d'un des platanes est tombé sur la route un peu devant nous , quelle frayeur! il y avait eu une sorte de tornade !
Autre souvenir, des années 80, on avait voulu passer la nuit au camping indiqué par des pancartes,je ne sais pas ce qui s'était passé on aurait dit un tremblement de terre ou un bombardement, c'était ravagé, les sanitaires éventrés . Pourtant ce camping avait du être superbe peu de temps avant !

OGZILAL
Je sais bien que la KASBAH de BOULAOUANE est un fleuron touristique mais moi aussi j'ai surtout connu le "gris"
"trik", trek , ça veut dire quoi en arabe ou berbère ? route? amusant de faire le rapprochement avec le "grand TREK " des Boers ( grand voyage en néerlandais) et les treks touristiques ( les randonnées ) En revenant cela impressionne plus de dire qu'on a fait du trekking dans l'ATLAS que de parler de promenade en montagne et dans les villages berbères !
le TRIK ES SOLTAN devait avoir plusieurs branches, il allait , entre autres de FES à Marrakech mais cette portion ne passait pas forcément par Boulaouane, plutôt par BENI et KASBAH TADLA ?? mais une partie des plumes d'autruches était peut-être exportée dans les ports de l'ATLANTIQUE d'alors, proches de BOULAOUANE .
Cette route était surveillée par des forteresses comme celle de Kasbah Tadla tenues par les fameux "abids" soldats esclaves noirs qui s'étaient ensuite mis plus ou moins à leur compte .
Lors de la grande époque du commerce transaharien, il fallait bien après le désert franchir les montagnes, les cols possibles ne sont pas très nombreux : le Tichka, Telouet ou alors plus au nord, ils auraient pu passer aussi,d'après certains,par BENI, le RNIM, OUAOUIZERT? OUED EL ABID? et après l'AHANSAL et ZOUIA? après il faut grimper haut pour déboucher du coté du TODRA ou du DADES !!!!
Les caravanes devaient bien payer un tribu pour passer les cols sans être razziées ! On dit que les ancêtres du GLAOUI ou DU GOUNDAFI en tiraient leur revenu principal ?
Les Sultans et leurs abids voulaient certainement aussi contrôler ce commerce, prendre leur part d'où des expéditions de "pacification", des routes, des forteresses !
ils en profitaient aussi pour prendre l'impôt ou le tribu sur les gens de la MONTAGNE quand ils étaient en situation de force !
Quand le commerce SAHARIEN s'est tari, il a bien du rester un peu de trafic à travers la montagne !
Ce que je raconte est un peu simpliste mais il y aura peut-être des gens qui nous renseigneront mieux ?
Pièces jointes:

Comment ça marche?

Y a-t-il des aires de repos avec attractionssur les autoroutes de l'information ?

Suchet, quand j'ai mis mon post hier les tiens n'étaient pas là et jusque tard dans la nuit non plus.
Où sont-ils allé traîner toute la nuit, partis en goguette? Moi qui croyais que ces choses là circulaient à la vitesse de la lumière dans des fibres optiques et autres, il y a peut-être encore des circuits de bons vieux tuyaux en plomb ?

Où alors,comme il n'y voyaient pas la nuit, ils ont tourné autour de la Terre toute la nuit en attendant d'y voir clair le matin pour se poser au bon endroit.
Bref, ils sont aujourd'hui à leur place.
Tu m'as rappelé que beaucoup de chambres et logements de l'Hôtel des Jardins étaient équipées de moustiquaires métalliques, aux fenêtres et certaines portes. En plus pour d'autres un petit système ingénieux de climatisation consistant en un petit gicleur brumisateur d'eau devant les fenêtres que l'on a vu réapparaître ces temps derniers sur certaines terrasses de café en France.