College des orangers a Rabat

Bonjour Merville,

Je t'adresse mes sincères condoléances pour ta maman.
Elle a été mon professeur en 6 ème M2 durant l'année 57-58, puis en 5 ème M2 durant l'année 58-59.
J'ai sous les yeux mon livret scolaire du Collège des Orangers et les 6 trimestres ou elle a écrit de sa belle écriture ses appréciations.
J'ai un excellent souvenir de ses cours ou, aimant le dessin, je m'appliquais à des reproductions des os de notre anatomie avec plein de couleurs et elle savait que je faisais aussi ceux de mon cousin, Michel, qui était moins doué, et elle s'amusait à noter mon cahier toujours avec un point de moins et riait à chaque fois, mon cousin et moi étions toujours assis au même banc, quand nous ouvriions nos cahiers.
Elle fait partie de beaux souvenirs de ce collège.

J'ai habité Rabat, d'abord dans une petite rue du quartier de la Tour HASSAN, ou pinpes, qui était dans la même classe que toi, était mon voisin, pendant 10 ans.
Ensuite, et jusqu'à ce que ma famille, en 1959, parte pour Nice, j'habitais rue Richard D'Ivry, une perpendiculaire de l'avenue Mohamed V .
Mon père avait son atelier d'ébénisterie avenue du Capitaine Petit Jean, et est resté jusqu'en 1995 au Maroc.

Du collège, j'ai aussi le souvenir de monsieur Casanova, qui m'enseignait les mathématiques et monsieur Henrisch qui me fit connaître les perches en alu.
J'ai eu le plaisir de retrouver ce dernier à Carnoux en Provence ou sa villa était mitoyenne de celle de mes parents.

Pour mon plaisir et aussi pour mon travail, je suis retourné plusieurs fois à Rabat, et je n'ai pas manqué de retourner dans mes mains le sable des sautoirs du stade qui prolongeait notre collège.

Bonsoir Merville,
Je suis très peinée de lire que ta maman Madame Millon est décédée, je l'ai eu comme professeur de 1953 à 1956 au Collège des Orangers et je l'appréciais énormément. Je te présente ainsi qu'à toute ta famille mes sincères condoléances et je prends part de ta peine. C'est toujours très dur de perdre sa maman, nous en avons qu'une. Je te souhaite beaucoup de courage.

"Mamie"

A toi yves!!

Je viens de lire la triste nouvelle apprenant le D C de Madame Million

Comme tous les amis eleve de cette grande dame et, dont le souvenir

des heures de sciences donnees par elle seront toujours gravees dans les espris de

nous tous, je me joints a tous les amis et te presente a toi, a la famille mes sincers condoleances

Raphy Rouimy

Je découvre Dafina tragiquement en apprenant le décès de ma prof de sciences nat. À part les cours de Madame Million que j’ai suivi avec assiduité pendant 4 ans et le sens inné de la pédagogie propre à Monsieur Sauvageot prof EPS, je ne serai pas resté si longtemps au collège des Orangers. Heureusement qu’il y avait aussi tous les copains pour oublier les REY, PETIT, le prof de Math avec ses abus d’autorités… Je n’aurai jamais cru que je connaissais autant de monde à Rabat. Ma mémoire s’était arrêtée aux élèves de ma promo : Alain Baudet, Tiko TIJANI, William ABECASSIS, Bobop CORNIL et tout le reste de la classe qui ont augmenté à jamais le traumatisme de Monsieur PETIT.
Et bien sûr Kaki DAY et sa guitare, l’adorable Vigon, Loulou qui démarrait les 20 premiers mètres avec les bras tirés vers l’arrière d’où l’inspiration de l’aérospatial pour l’étude du Concorde, Philipe est sa facilité de franchir les haies en 14’2 sans compter Yves ce géant dont l’ombre était aussi impressionnante que le personnage avec sa perche en alu et ses 4m15. Je découvre que je connais plus ou moin tous les participants de ce forum. Presque personne de l’école des Orangers : Geneviève GRENSON, Patricia LEFROID, Dominique DUVAL, Hassan BENNANI (le fils du ministre), Hassan BENLARBI (le fils du Général). Si quelqu’un sait, c’est le moment de parler… Je souhaiterais avoir des nouvelles de Léo Martial (Léon Bennaroch). Merci de votre patience si vous avez été jusqu’au bout.
Yves, je te présente toutes mes condoléances, ta maman était ma prof préférée bien que je n’étais pas toujours d’accord avec ses disséquassions, j’aimai trop les animaux et comme elle était d’une intelligence rare, elle faisait semblant de ne pas voire que, pour cet exercice, je regardai partout sauf sur la paillasse, nous étions toujours 2 par grenouille…

SALUT MAO,

Comme d'habitude avant d'aller au boulot je jette un petit regard sur DAFINA.

Cela fait toujours plaisir de retrouver des amis ,de se rappeler des bons souvenirs d'enfance et d'adolescence .

Tu verras le nombre d'amis qui s'ajouteront à ta liste et qui peut- etre étaient à tes yeux " perdue de vue".

Je suis heureux d'avoir participer à la forme aerodynamique du CONCORDE JE prends ça comme un compliment et te remercie .MAIS tu as commis une petite erreur : c'est dans les vingt derniers mettres que je redemarrai et les bras en arriere c'etait la préparation au plongeon du rush final vers le fil.

Je suis toujours en contact avec PIPPER ABEK6 le frere de WILLIAM BOP HOPP temps en temps ,YVES MILLION hier encore nous étions au telephone.J'étais aussi ami avec HASSAN ET SON FRERE BENANNI sa mere nous preparait des jus de raisin dans leur villa au PALAIS ROYAL

QUE DE BONS SOUVENIRS A DEVELOPPER , EN ESPERANT TE RETROUVER SUR DAFINA PLUS SOUVENT

SOIS LA BIENVENUE


LOULOU BENACCOUN

Merci à tous encore une fois de tous vos témoignages pour ma mère. Loulou Benaccoun, mon ami, m'a demandé de dire quelques mots sur elle. Je le fais avec un grand plaisir, parce que j'ai reçu beaucoup de témoignages positifs de la part de ses anciens élèves. Unanimement, ils ont dit et vous avez dit, que c'était un "bon prof", qui s'intéressait à son métier et à ses élèves.

C'était effectivement une Grande Dame qui a voué sa vie à ses enfants, ses élèves et son métier. Veuve à 32 ans, elle ne s'est jamais remariée et a été pour ses enfants la mère, mais aussi le père. Elle nous aidait dans nos devoirs, quand nous n'avions pas compris. Je me demandais toujours quand elle pouvait préparer ses cours ou corriger les devoirs, jusqu'à ce qu'une nuit, vers 1 h du matin, me réveillant et voyant de la lumière dans la salle à manger, je me levais. Ma mère était là en train de travailler. Souvent ses élèves venaient lui demander conseil à la fin d'un cours, quand ils ne pouvaient le faire avec leurs parents (certains tabous).

Elle avait toujours les mêmes vêtements, préférant habiller d'abord ses enfants. Enfant, j'étais un garnement, qui aurait pu tourner au petit voyou. J'allais avec les copains sonner aux portes des maisons, avant de partir en courant ou je rentrais dans les jardins pour voler les fruits. Ma mère voyant cela et voyant aussi que j'étais élevé au milieu de 3 femmes (j'étais orphelin de père à 5 ans et je perdis mon grand-père maternel, chez qui nous vivions, à 8 ans), me mit à l'école des Frères de la Salle , (à côté de la Tour Hassan). Je fis ma 8e (CM1) et ma 7e ( CM2). Je rentrais ensuite au Collège des Orangers. Pour m'endurcir, ma mère eut l'intelligence de me mettre à 11 ans, aux Scouts Marins de Rabat où je terminais chef d'équipage, avant d'arrêter à 14 ans 1/2 et faire de l'athlétisme avec le succès que vous savez. Je fis ma Préparation militaire supérieure 1 et 2 durant mon bac. Par la suite, je fis mon professorat d'EPS et je terminais professeur agrégé.

Il y a une phrase que j'avais dit à ma mère quand j'eus mon professorat: "Merci Maman d'avoir fait de moi un homme". C'est une phrase que je lui ai redite avant son grand départ. Elle est partie sereine et apaisée. Paix à son âme.
Yves

Merci pour ton accueil Loulou, surtout que dans mon message, je n’ai même pas été fichu de dire bonjour. J’ai été surpris de voir tous ces noms que je croyais avoir oubliés et surtout l’émotion dû au décès de Madame MILLION. J’ai confondue vitesse et précipitation…
Je reprends dès le début :
Bonjour, Shalom, Salem and Good Morning RABAT. Ça fait 40 ans que j’ai quitté Rabat sans jamais me retourner et sans jamais essayer de savoir ni comprendre, et puis il ne faut jamais dire jamais… Je n’avais ni regret ni remord jusqu’à ces jours derniers. Promis, je me connecterai au moins une fois par semaine sur Dafina. Qui en est l’auteur ?
À bientôt
Bien amicalement

PS : c’est plus qu’un compliment car j’en fais rarement, tu finissais bien les derniers mètres avec les bras en arrière et la tête jetée vers le fil d’arrivée, mais tu avais presque la même attitude quand tu démarrais

SALUT MAO,

J'etais entrain de lire le dernier message d'AMOUR ,que mon ami YVES MILLION a dédie à sa maman notre regretté MADAME MILLION .

QUE D'EMOTION !!! PAIX à son âme

MAO, visite les autres sites tu découvriras des merveilles ,il y a de tres belles photos de RABAT , des AMIS , des ecoles et colleges ect ect...

Je reste à ta disposition pour t'aider ;Notre memoire sur le site s'appele ELIE COHEN ,là où tu trouves son nom ouvre, c'est une source de plaisirs,

de savoir ,en un mot c'est une bibliotheque

amities

à plus

loulou benaccoun

Aligatou gozaimasu pour ta gentillesse Loulou.

Depuis longtemps, je cherche un ami de Rabat avec qui j’étais inséparable. En fait nous étions 3, Maï-Thè DUC Architecte Vietnamien, Léo MARTIAL et moi. Léo avait fait les cours Simon à Paris et il était de la même promotion que Marlène JOBERT. Son véritable nom est Léon Bennaroch. Il est né et grandi à Rabat. Tu dois sûrement mieux connaître son frère Michel qui travaillait à Paris pour Daniel HECHTER, c’était le beau gosse encore plus que Jacki COHEN que je salut au passage. Son grand frère était tailleur de diamants en Israël et sa sœur était dans l’office des fruits et légumes en Israël. Léo était le meilleur décorateur du Maroc, aujourd’hui on dit Architecte d’intérieur. Il travaillait sur les hôtels de Maroc Tourisme. Il a fait « LA CAGE », LA CREPERIE à côté du lycée de jeunes filles, LE BATEAU IVRE et encore plein de resto et de boîtes de nuit. Comme je connais si bien Léo, il a dû mettre un no man’s land entre lui et tous ordinateurs.
J’ai vu ta photo avec Vigon, super, J’ai vu des photos de Marrakech, super, j’ai vu des photos de Casa que je n’aimais pas comme tous bons R’batis et que je trouve magnifique, j’ai vu des photos du JOUR ET NUIT et là ça était la cata ou mes souvenirs sont flous ou il y a eu un délabrement dû à un manque de restauration des immeubles. Je n’ai jamais vu une place aussi laide. Mais ce qui me fait le plus peur, c’est la population, quand je suis parti, on était moins de 500.000 Habitants. Aujourd’hui, il faut ce frayer un chemin à travers 1.780.000 R’batis et Slaouis… Moi qui vis sur une île au milieu du pacifique avec 200.000 Habitants, je deviendrai fou à Rabat d’aujourd’hui.
Dafina, c’est génial mais c’est aussi un piége, je n’ai pas travaillé pendant une semaine, j’ai lu tous les forums même les coiffeurs de Casa. Le premier jour, quand je me suis inscrit, j’ai surfé jusqu’à 20H, après le dîner je m’y suis remis et à un moment donné ma copine est venue me faire un bisou et je lui ai dit : tu vas te coucher, elle a répondu : non je me réveille et je vais travailler… Une dernière sur le collège des Orangers. J’arrive tout frais de l’école des Orangers avec trois copains, les portes s’ouvrent, on entre dans la cour et devant nous il y avait Yves MILLION et le fils DOMINIQUE. J’étais le plus petit du collège et Yves le plus grand. Je me retourne vers mes copains d’écoles et je leur dis, le premier de vous qui l’emmerde (Yves) je lui casse la gueule. Tout le monde a éclaté de rire sauf un qui m’a dit : pourquoi, tu le connais ?

aligatou gozaimasu si tu peux me retrouver Léo
Sayonara, à bientôt Loulou.

PS. Moi qui détesté tant l’école, le collège, le lycée, j’ai fini pas être prof dans une école d’architecture. Bizarre la vie

SALUT MAO,

juste pour te donner quelques information sur LEO qui habite en ISRAEL et que j'ai revu le jour du rassemblement des R'BATIS et SLAOUIS à NATANYA en ISRAEL

Je vais cherché dans les photos prises ,car je sais que LUI en appris pas mal de retrouver une photo . MICHEL vit à MONTPELLIER

Désolé de faire cours je suis juste rentré me changer pour aller malheuresement à l'enterrement de ma cousine ,je ne voulais pas te laisser sans réponse

à plus l'AMI

LOULOU BENACCOUN

Citation
Merville
A tous les anciens élèves de Mme MILLION Marie, ancien professeur de Sciences Naturelles au Collège des Orangers.
Mme MILLION vient de s'éteindre dimanche 28 février, à l'âge de 96 ans, après de nombreux AVC depuis septembre 2008. Elle était dépendante et en maison de retraite médicalisée. En septembre 2008, le neurologue ne lui donnait que 10 jours à vivre suite à un très grave AVC. Elle s'est battue jusqu'à maintenant et nous a quitté suite à un dernier AVC et un coma. Elle est sortie du coma juste avant de s'éteindre, pour nous dire un dernier adieu, avant de replonger et de partir sereine et apaisée.
P

aix à son âme

Rentrant de Rabat, je viens d'apprendre le décès de ta maman et je te présente mes sincères condoléances.C'est encore un peu de notre Rabat
qui disparaît....!!!!
amicalement guy

...salam cher mao...ton message fait remonter en ma memoire tellement de souvenirs que l emotion me saisit a la gorge...bobop...tico...william ...leo martial...et tous les autres c est a dire l age d or de rabat...en plus citer "kaky day" vraiment tu m epates...moi meme j avais oublier ce pseudo qui etait graver sur ma premiere guitare sylverstone...et comme le dit si bien mon frere loulou bienvenue sur dafina ou tu va retrouver un max de souvenirs...c est vrai que notre ami elie cohen que je salue au passage est la memoire vivante de notre rabat...mais loulou benaccoun preche par modestie...car autour de lui pas mal d anciens ce sont retrouver dont notre ami vigon et moi meme...amities a tous ceux qui liront ce message...kaki...
Pièces jointes:

SALUT FRERE KAKI,

Merci pour tes paroles chaleureuses, ça fait toujours plaisir de les lire ,surtout venant d'un ami sincere .

Je viens de raccrocher avec notre frere VIGON .

LE 13 AVRIL à 20h VIGON se produira au " petit journal de MONPARNAS " J'espere que cette fois -ci je n'aurais pas d'empechement et que mon AMI WANANE ne sra pas seul ;

AH SI FRERE KAKI TU POUVAIS ETRE PARMI NOUS!!!!!! qui sait????

VIGON vous embrasse à tous

Chers AMIS à plus
AMITIES

loulou benaccoun

A Mao:

C'était gentil de vouloir prendre ma défense au collège. Ah! Ah! Je me suis battu une seule fois durant ma scolarité. Il faut croire que ma taille en imposait. Ma bagarre fût avec le gardien du stade du collège. Géron m'avait donné l'autorisation de faire des haltères et le gardien n'étant pas là, il m'avait dit de les prendre. Alors que je m'entrainais, le gardien arriva, les yeux injectés de sang et sentant l'alcool. Il voulu m'empêcher de continuer, me disant que si Géron m'avait donné l'autorisation, lui me la refusait. Alors que je continuais, lui disant que c'était Géron qui commandait, il prit une barre de fer, m'attrapa le pectoral et leva la barre de fer en disant: "je vais te tuer". Aussi sec, je lui fis une prise de judo et il se retrouva par terre le bras cassé. Hum! Cela lui valu une pension. Quand je revins en tant que prof, nous étions devenus copains.

Moi aussi, je détestais l'école. Je voulais arrêter en 3e, mes résultats scolaires étant plus que médiocre. Ma mère me poussa à continuer. je fis une très bonne terminale avec 2 fois les encouragements. Je fis l' Ecole Normale Supérieure d'EPS et devins par la suite prof agrégé d'EPS. Comme quoi, il suffit d'un déclic.
Quant au fils du surveillant général, il s'appelait Yves Charles Dominique. Son nom n'est pas Dominique, mais Charles Dominique.

A Guylecoq:

Merci de ton message qui fait chaud au coeur.

Amicalement à vous tous.

Mon cher ami Emile ,je vois que tu as oublie que j'ai etudie avec Gilbert Cohen et ton cousin Roger Benayoun et de la-bas
je passai au stade marocain pour donner a l'equipe la boisson pour l'entrainement et les faire signer et apporter leur
signature a tes parents Z'L au cafe Vox c'est ainsi que tu as oublie qu'on etait dans les classes de Mr.et Mme. Nahum.
Pièces jointes:

Comme c'est écrit, sur mon livret scolaire " Fortin-Moullot " enseignement du second degré-classes de sixième à troisième, à la couverture vieux-rose, encore protégée par son papier bleu-marine d'origine, c'est en Octobre 1957, dans la 6 ème- Moderne - 2, qu'en élève moyen ( sauf en dessin ! ) qui vient de s'extraire de l'enseignement primaire, et de l'école des Orangers, je suis arrivé au collège des Orangers.
J'y ai commencé par une priorité : arriver à l'heure, avant que les trop nombreuses classes disparaissent dans ces énormes batiments, pour m'éviter de chercher ou ma propre classe se cachait, et les premiers jours ça a été limite. Entre les classes de dessin, musique, sciences nat., le reste, quand c'était pas, tout bêtement sur le stade !
Ce stade ! Je le connaissais bien pour l'avoir souvent observé depuis le mur de l'école des Orangers, et je n'ai pas connu, en France, d'équipements comparables. Entre sa piste ovale, ses portiques et carrés de sauts en hauteur, en longueur ou à la perche, ses cours de volley, hand-ball et foot, il était magnifique !
Sans oublier cette véritable usine qu'était le batiment des machines très modernes, j'ai pu les comparer avec celles dont disposait un lycée technique de France qui possédait encore tous les entrainements à courroies.
Vous rappelez-vous les murs des parkings à vélos qui servaient, en juin, de tableaux d'examens pour ceux qui préparaient leur diplôme d'instalateurs électriciens, c'était impressionnant !
Les salles de cours occupaient la bordure nord du stade, la bordure est était mitoyenne avec l'école maternelle des Orangers et l'école primaire des Orangers, et la bordure sud voyait commencer l'école normale de Rabat.
Et, sans complexe, j'attaquais cette 6 ème en lorgnant vers l'école Normale, car à cet age je voulais devenir instituteur, comme on disait à l'époque, et peut-être aussi parce-que dans les jardins de l'école Normale se trouvait Florence Brun, une copine !
La fin de cette 6 ème, en Juin 1958, avec les encouragements du Conseil de Discipline et inscription au Tableau d'Honneur " MERITE " du premier trimestre, puis " RESERVE " en deuxième trimestre, et enfin " NON MERITE du troisième et accompagné d'un examen de passage en Anglais, vont m'éloigner de l'école Normale, de Florence Brun, et me pourrir Juillet, Aôut et Septembre avec, le 2 Octobre cet examen d'Anglais qui aura transformé toute ma famille en donneurs de leçons.
J'abordais donc, en Octobre 1958, ma 5 ème M- 2 avec un bon élan et pas envie de casser de nouvelles vacances, finissant ce premier trimestre avec une inscription au Tableau d'Honneur " MERITE " et patatra ! annonce par ma mère qu'aux prochaines vacances nous quittions le Maroc pour Nice !
A partir de là, et bien que finissant l'année scolaire avec une admission en 4 ème ou les seules éloges venaient du prof. de dessin, ma priorité est devenue LES COPAINS !
A commencer par la création de ma propre équipe de foot ou nous eumes d'excellents résultats, en trichant, grâce à mon ami Ben-Bareck, oui, le fils du grand, et qui avait 3 ans de plus que le reste de l'équipe !
Nous étions une bande de copains, Bordaendi, mon cousin Michel Trujillo, Hobsor, Christian Diot, Ben-Bareck, Chapauto, ( excusez-moi si j'abime l'écriture de vos noms ) à faire plus d'heures de présences sur le stade du collège, ce qui nous permettait d'encourager de vrais et beaux sportifs comme Million, Salemi et Frank Jonas qui fut un exemple de gentillesse et de modestie avec un talent au sprint et surtout à la perche.
Cela a été très pénible de partir en Aôut 1959.
Surtout en faisant le rapprochement entre ce collège et les établissements que j'ai fréquenté par la suite à Nice et ailleur.
Je n'ai pas été instituteur.
Mais le dessin m'a été utile, j'ai commencé ma carrière professionnelle en dirigeant le bureau d'étude d'un grand groupe industriel Américain.

Salut Hilaire Benoudiz comme je t'ai dit je me rapelle tres bien de toi ainsi que quelques collegues (rafi Cohen- je que l'autre c'est Benaroche)
et mon frere aussi te salut et ou tu habites maintenant ,moi je suis en Israel et je crois que je t'ai envoye mon Mail
qui est ( rafitan@walla.com) et qu'on pourra se correspondre. B.AMITIES

je cherche une ami de clace des anes 61 62 neli ben sousan non de jeune fille

Bonsoir
De quelle ville parlez vous ? Selon votre precedent message, je crois que vous etes de Rabat ou Sale. Merci de repondre.

je.suis.de.rabat.j'aa
i.etudie'.au.college.des.oranges.nous.etions.des.bonnes.amies.je.serais.heureus.de..la.rencontre'.