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Maroc

On trouve dans les principales villes marocaines, un quartier du Mellah. Il désigne spécifiquement le quartier où habitaient les résidents juifs de la ville. Il est généralement entouré de hauts murs afin de bien séparer populations musulmane et juive. Nous retraçons l 9;histoire des Mellahs marocaines.

Au nord du Maroc, non loin de la ville impériale de Fès, se trouve la localité de Sefrou, dans le giron de l’Atlas. C’était au XIXe et au XXe siècle un havre de paix et de convivialité où musulmans et juifs vivaient en totale communion.

La vieille ville de Fès, classée au patrimoine mondial par l'Unesco est considérée comme la plus belle médina du Maroc et une des plus fascinante du monde arabe

Voyager au Maroc, c’est sentir l’esprit de charme qui allie la culture arabe avec les coutumes africaines vives. C’est un magnifique littoral où les secrets de l’Atlantique et la Méditerranée se rencontrent, de magnifiques villes impériales où les réseaux de rues étroites promettent d’être découverts

Agadir est prise en 1541 par les Saadiens et devient, sous la dynastie chérifienne, une ville prospère grâce aux exportations de sucre de canne. Amorcé au XVIIe siècle, son déclin est précipité par la fermeture de son port au trafic européen (1760) et la création du port concurrent de Mogador (Essaouira).

Au cœur du quartier Mellah d'Asilah, la synagogue Kahal, vieille de plusieurs siècles, retrouve sa splendeur après des décennies d'abandon.

A l'instar de la Tunisie,le royaume alawite à lui aussi sa forte communauté organisée que sont les juifs sépharades,certes ils détiénnent tous des passeports Français et israéliens,mais ils se déclarent plus marocains que les Marocains eux même ,en plus de ces réunions quotidiénnes pour célébrer un quelconque obscur rabbin

"Je suis très attaché à mon pays, le Maroc". Cette récente déclaration est de Richard Attias, répondant à la question "Vous vous sentez patriote?", sur le plateau de l'émission Grandes questions, diffusée sur France 5, et animée par Franz-Olivier Giesbert.

Selon certaines rumeurs, le roi du Maroc à cette époque voulait épouser la fille du chef de la communauté juive et ce serait en rapport a cela que l'étoile de David apparaît sur ​​les monnaies et les timbres de cette période.

Le Maroc continue de préserver son héritage multiculturel en ajoutant trois sites historiques juifs de la ville d’Asilah à sa liste officielle du patrimoine national.

Eric Fottorino, écrivain et ancien directeur du journal Le Monde, est de père marocain. C’est d’ailleurs ce qu’il ressort d’un livre Questions à mon père paru chez Gallimard (2010) et qu’il a consacré à ce père invisible et absent, malgré lui. Mais l’auteur n’a jamais porté le nom de son père, Maurice Maman (on prononce Mamane), gynécologue marocain de confession juive de la ville de Fès.

Dans ce deuxième épisode de «Un quartier, une histoire», Le360 vous emmène (re)découvrir le mellah de Marrakech. Ce quartier fondé au XVIème siècle a vu cohabiter juifs et musulmans dans une harmonie aujourd’hui racontée par ceux qui y ont grandi.

Le ministère de la Culture vient de promulguer des décisions pour inscrire trois monuments juifs de la ville d’Assilah sur la liste du patrimoine.

Fondée au XIe siècle par les Almoravides en tant qu'établissement militaire, Meknès devint capitale sous le règne de Moulay Ismaïl (1672-1727), fondateur de la dynastie alaouite. Il en fit une impressionnante cité de style hispano-mauresque ceinte de hautes murailles percées de portes monumentales qui montre aujourd'hui l'alliance harmonieuse des styles islamique et européen dans le Maghreb du XVIIe siècle.

La maison d’édition américaine Roman and Little Field a récemment publié un nouvel ouvrage sur la coexistence entre les juifs et musulmans au Maroc, sous le titre “Juifs et musulmans au Maroc: leurs mondes croisés”.

Venant d’Andalousie, les Juifs se sont installés à Debdou au début du XVe siècle, pour fuir l’Inquisition espagnole. Les récits historiques déclarent qu’un rabbin nommé David Cohen a été le premier à s’installer dans la région, qui est ensuite devenue le plus grand lieu de rassemblement des Juifs séfarades, en particulier ceux venant de Palestine

Un documentaire de Yann Arhtis-Bertrand à couper le souffle, qui vous donnera envie de venir ou revenir au Maroc

L’histoire des communautés juives en Afrique du Nord, notamment au Maroc, est marquée par une riche tradition culturelle et religieuse, selon les historiens.

En 1919, le peintre lorrain Jean-Jacques Majorelle arrive à Marrakech. En quête d'un lieu calme pour exercer son art et assouvir son amour de la botanique, il acquiert le jardin qui portera son nom en 1924 et l'ouvre au public dès 1947

En Israël, seul l’homme peut décider de la fin de l’union conjugale. Selon le judaïsme traditionnel, une femme qui se sépare de son époux sans obtenir de lui le gett, l’acte de divorce, ne peut se remarier.

Le président de la communauté juive marocaine de Marrakech, Jacky Kadoch, après avoir reçu l'autorisation des autorités provinciales, nous avait demandé d'accomplir un devoir sacré au cimetière juif de Tafza

Venus de différentes villes du Maroc et de l'étranger, les membres de la communauté juive marocaine affluent, chaque année, au mausolée de ce Saint juif pour célébrer les festivités de la Hiloula.

Au départ de son périple au Maroc, sur la route des oasis, Carolina de Salvo rencontre les maîtres de l'eau à Aguinane. Puis Mohamed le berger qui a choisi de vivre seul avec son troupeau dans le désert rocailleux.

Une actrice israélienne affirme avoir reçu, à plusieurs reprises, des menaces de mort lors du tournage du film Marie, à Chefchaouen, au Maroc.

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