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C’est un moment historique et nous sommes très heureux d’être ici aujourd’hui et, si Dieu le veut, d’ici un an, nous aurons notre propre maison ! Ce ne sera pas seulement une ambassade, mais une maison pour tous les Israéliens au Maroc », a déclaré l’ambassadrice Alona Fisher-Kamm lors de la pose de la première pierre du nouveau bâtiment de l’ambassade d’Israël à Rabat. “Fière de cette étape importante”, a-t-elle ajouté.

Les Gnaouas ou Gnawas sont pour une partie d'entre eux, des descendants d'anciens esclaves noirs issus de populations d'origine d'Afrique noire (Sénégal, Soudan, Ghana...). Ce terme identifie spécifiquement ces populations au Maroc, et de là, leur nom s'est diffusé à leurs homologues du Maghreb.

Il existe un lien unique entre le rabbin Pinto et son frère, le rabbin Menachem Pinto. En plus d’être son frère, Rabbi Menachem a assisté et assiste Rabbi Pinto pour tout ce qui concerne les institutions de Shuva Israël et les affaires personnelles, et lui a servi de bras droit ces dernières années.

Les relations entre juifs et musulmans ont commencé au VIIe siècle avec la naissance et l’expansion de l’islam dans la péninsule arabique. Les deux religions partagent des valeurs, des principes et des règles similaires. L’islam intègre également l’histoire juive comme faisant partie de la sienne.

L’affaire remonte aux années 2000. A cette époque, Jane Benzaquen, alias Hedva Selaa, avait fait du bruit en Israël, en se présentant comme la fille cachée de feu le roi Hassan II, conçue en novembre 1953, alors qu’il n’était encore qu’un jeune prince héritier. Il s’agirait du fruit de l’union entre le futur monarque et Anita Benzaquen, nièce de Léon Benzaquen

A l’initiative de l’association Marocains Pluriels, la synagogue Nevé Shalom de Casablanca, sous la direction du rabbin Jacky Sebag, a ouvert ses portes aux musulmans et aux chrétiens pour participer aux célébrations d’une des plus importantes fêtes juives, la fête des lumières, Hanouka. Le360 a immortalisé ce moment fort de fraternité.

L’ONU a consacré un reportage sur le cimetière juif de Fès, vieux de 200 ans, « symbole de la coexistence harmonieuse des diverses communautés » de la capitale spirituelle du Maroc.

Deux conventions de partenariat pour la valorisation du patrimoine juif de la région du Nord du Maroc ont été signées cette semaine

Pendant plus de mille deux cents ans, juifs et musulmans ont cohabité au Maroc et coopéré à l'épanouissement de ses richesses culturelles et artistiques. Cet ouvrage témoigne des imbrications et des sensibilités qui, en terre marocaine, se reflètent dans la culture et l'art juif : thèmes et motifs communs dans la bijouterie, le costume, la musique, le chant, la poésie, la vie quotidienne.

Toutes nos villes sont magnifiques, mais si nous devions faire un top 6 des villes qui poussent au romantisme, voici ce que ça donnerait :

Le tourisme est un outil potentiel pour de nombreux pays en développement pour exploiter leurs atouts naturels et culturels afin de générer des emplois, des revenus plus élevés et de la croissance. Mais traduire le tourisme en développement durable est loin d'être simple.

L’empreinte historique des juifs marocains est bien présente dans l’aspect architectural et traditionnel des principaux quartiers intramuros et extramuros de Tétouan. C’est dans ce contexte que la Colombe blanche accueillera, mercredi 11 janvier, le premier Forum national sous le thème «Le rôle des juifs marocains dans l’enrichissement de la mémoire collective nationale».