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L'ancien couple présidentiel se serait décidé à faire l'acquisition d'un sublime palais en plein cœur de Marrakech qu'ils auraient pris le temps de visiter à deux reprises au cours du mois de juin.

Deux raisons expliquent la folie furieuse de ce père à l’encontre de sa fille : la première est que cette dernière refuse de porter le voile, et la seconde – plus « grave » encore – qu’elle refuse de se marier avec le jeune homme que la famille a choisi pour elle.

L’information est presque passée inaperçue et pourtant, une délégation israélienne menée par le président de la Fédération Mondiale des Juifs Marocains (FMJM), M. Sam Ben-Sheetrit, était de passage au Maroc du 29 juillet au 3 août dernier. Cette visite a été marquée par une série de rencontres entre les dignitaires israéliens et les hauts responsables marocains, l’occasion pour un renouvellement des vœux d’amitié entre les deux états.

Tout commence au début des années 2000. Une bande de criminels marocains sème la terreur dans le secteur de l’immobilier à Casablanca. Sa spécialité : la spoliation des biens immobiliers appartenant à des Marocains de confession juive mais également aux étrangers, notamment Français, Espagnols et Italiens n’habitant plus au royaume.

Ce document prend également acte des efforts déployés pour la promotion d'un Islam modéré et tolérant, comme en témoigne la liberté de culte dont jouissent les Marocains de confession juive et les communautés chrétiennes étrangères, notant que ces dernières sont autorisées à tenir leurs services religieux "sans aucune restriction".

Malgré la polémique qu’a suscitée son film documentaire «Tinghir – Jérusalem, les échos du Mellah», qui nous emmène à la croisée des cultures en suivant le destin de la communauté juive berbère ayant quitté le petit village de Tinghir entre les années 50 et 60. Kamal Hachkar envisage d’en préparer une deuxième partie.

Il y a eu des juifs dans tous les pays du monde arabe, en dehors de la terre du Prophète mais dans aucun pays, les relations d’intimité entre juifs et musulmans n’ont été aussi marquées qu’au Maroc.

La crise du Printemps arabe a jusqu’ici relativement épargné le Maroc. Mais cela n’a pas empêché son marché immobilier de plonger. «Sur deux ans, le recul varie entre 15 et 30%»

Alors qu’en avril dernier, Khalid Soufiani, le coordinateur du Groupe d’action et de soutien à l’Irak et la Palestine accusait le cinéaste franco-marocain de vouloir normaliser les relations avec Israël, aujourd’hui c’est un parlementaire qui en remet en couche.

Au Maroc, au royaume de Mohammed VI, être homosexuel, gay, lesbienne, bisexuel ou trans, reste un tabou culturel et sociétal. De nombreux couples lesbiens et gays, parfois très pratiquants, doivent se cacher pour s'aimer.

Le roi, excédé, aurait demandé à l’équipe de Benkirane de consacrer plus de temps à affronter les défis du présent et de l’avenir, au lieu de chercher dans les travers du Maroc d’il y a cinquante ans de quoi susciter des polémiques

Selon un site israélien, le neveu du roi Mohammed VI aurait rencontré le très polémique rabbin Ovadia Yosef. La nouvelle, si elle s'avère, a de quoi surprendre, toutefois, les relations entre le Maroc et Israël n’ont jamais cessé d’exister même aux plus sombres heures du conflit israélo-palestinien. Politique, commerce, sécurité et religions sont autant de liens qui unissent les deux pays.

Il n’est de pire injure, pour les 5 000 juifs qui refusent de quitter le Maroc, leur patrie, que de s’entendre dire qu’ils sont «eux aussi» Marocains. Ce «eux aussi» signifie implicitement, qu’ils sont une population «de plus», ou de second rang.

"Je m’indigne quand je ne vois aucun député juif ni une quelconque représentativité juive au parlement marocain, sachant que la communauté juive est une partie intégrante de la société marocaine", a-t-il expliqué. "Où est donc la tolérance et la reconnaissance de l’autre ?"

Arrivés à la tête du gouvernement lors des dernières législatives de novembre 2011, les islamistes du PJD sont soupçonnés de vouloir imposer une forme de «charia culturelle» en faisant la promotion de ce qu’ils appellent ouvertement «l’art propre»

Plus de 50 000 personnes, un chiffre historique jamais atteint depuis des décennies, ont manifesté contre l’absence de politique sociale du gouvernement dirigé par les islamistes du Parti pour la Justice et le Développement du Premier Ministre Benkirane.

L'ancien président français Nicolas Sarkozy et son épouse Carla, en visite privée au Maroc, séjournent dans une résidence mise à leur disposition à Marrakech par le roi Mohammed VI, dans le sud du royaume. "La résidence appartient à la famille royale et elle est située au cœur de la Palmeraie", à Marrakech, selon un responsable des autorités locales.

Essaouira a tout pour elle : son emplacement, son climat, le charme de sa vieille-ville et la gentillesse de ses habitants. Deux siècles avant notre ère, les marins phéniciens faisaient déjà escale ici.

Le Maroc compte plus de 32 millions d'habitants dont près de 11 millions sont âgés de 15 à 35 ans, selon des chiffres publiés à Rabat.

Des représentants de la communauté marocaine de confession juive établis au Royaume-Uni ont réitéré, mardi, leur attachement immuable au Maroc et à ses valeurs d’ouverture, de diversité et de tolérance.

Ils n'ont pas osé aller en pélerinage en Tunisie par crainte du printemps arabe. Mais au Maroc, où les islamistes sont pourtant aussi au pouvoir, des juifs d'Israël n'ont pas eu peur de venir cette semaine vénérer leurs saints en toute tranquilité.

Le journal marocain Hespress indique aujourd’hui que le montant des échanges commerciaux entre le Royaume du Maroc et l’Etat d’Israël s’élève aujourd’hui à plus de 50 millions de dollars par an. Citant un article Slate Afrique de l’an dernier, il note que le commerce ne cesse de croître malgré les bruyants groupes marocains qui sont contre la «normalisation» avec Israël.

Je suis un Marocain, de confession juive. Après une carrière à l’étranger, je suis revenu dans ma ville natale, apporter mes compétences et mon expérience, à la construction d’un Maroc démocratique, et au développement de son économie ; apporter une réponse à tous ces jeunes, brillants et prometteurs, qui arrivent chaque année sur le marché du travail.

Un nouveau cadeau empoisonné pour Abdelilah Benkirane. Ses amis, grands militants de la cause arabe, réunis au sein de plusieurs enseignes associatives, viennent de lui remettre un mémorandum tendant à criminaliser toute opération, quelque soit sa nature, de normalisation des relations avec Israël.

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