Share |

Maroc

Il ne reste plus qu'une cinquantaine de lions de l'Atlas dans le monde ,dont 30 au zoo de Rabat. Si rien n'est fait ,cette espèce magnifique ,cet emblème du Maroc, risque de disparaître.

L'institution présidée par Mohammed VI, "Commandeur des croyants", vient d'émettre une fatwa affirmant que le musulman qui change de croyance (règle de l'apostasie) mérite la peine de mor

«Le Maroc a su additionner la diversité de ses cultures et spiritualités fondant son identité»

Au menu, une nouvelle programmation pour faire connaître, aux visiteurs, la civilisation juive marocaine avec toute sa richesse culturelle.

Le site Wikileaks a rendu publiques, le 8 avril, 1,3 millions de câbles diplomatiques datant des années 70. L’un d’eux révèle que Hassan II s’intéressait de très près aux ovnis, au point d’envoyer le général Housni Benslimane lui-même demander des informations auprès de l’ambassade des Etats Unis.

L'immeuble Cohen a Eljadida, une grande bâtisse familiale juive, offre un regard sur ce qui représentait les grandes familles jdidies, une bourgeoisie qui a façonné la ville et qui en a fait le joyau dont il ne reste malheureusement que des monuments, qui ombragent les trottoirs d'une ville qui péniblement essaie de survivre aux rafales du temps.

Imaginez, en effet, qu’au XVIIè siècle, fut construite une synagogue essentiellement animée par les juifs de Fès qui avaient précédé dans cette capitale impériale ceux expulsés d’Andalousie, en même temps que leurs congénères musulmans, par Isabelle la Catholique. 

« Je suis un athée. Pour avoir déclaré publiquement mon athéisme, j’ai dû fuir mon pays natal le Maroc pour me réfugier en Suisse ». C’est ainsi que Kacem El Ghazzali de 22 ans a introduit sa déclaration au Conseil des droits de l’Homme aux Nations Unies à Genève.

Plusieurs voyages et aventures ont mené à la rencontre, véritable coup de foudre professionnel, entre le promoteur du Marrakech Plaza , Jacob Azeroual et la spécialiste du spa Stéphanie Demeusy.

 S’il est vrai que les Marocaines n’étaient pas les moins bien loties du monde musulman, si on se réfère aux textes, loin derrière les Tunisiennes certes, mais bien devant les Algériennes, les Syriennes ou les Égyptiennes, leurs ambitions pour améliorer leur statut n’a jamais cessé.

Ayant contourné les soubresauts des «printemps arabes» grâce à une gestion politique consensuelle de la crise qui couvait, par le roi, le royaume chérifien a pu préserver ses intérêts dans tous les domaines

L’immense propriété convoitée par les Sarkozy a tous les atouts pour enchanter n’importe quel Occidental, selon les mêmes sources sus-mentionnées

Humainement, les Juifs marocains installés en Israël sont toujours Marocains par le droit, puisque la nationalité est réputée inaliénable, mais aussi parce que c’est leur choix et qu’ils se considèrent en majorité, une diaspora comme une autre.

Dans le contexte du conflit arabo-israélien, ‘’le caractère juif’’ et le ‘’caractère arabe’’ sont souvent perçus comme s’excluant mutuellement. Toutefois, le Maroc semble témoigner de moyens importants pour réconcilier ces identités.

Situé au célèbre quartier El Mellah, ce haut lieu de la culture juive est un important monument de la médina Fès, classée patrimoine mondial de l'humanité par l'UNESCO.

La cérémonie s'est déroulée dans la médina de la ville, classée au patrimoine mondial de l'Unesco, en présence de 200 personnes parmi lesquelles des personnalités juives marocaines et allemandes, des dignitaires religieux musulmans et juifs, ainsi que des élus et des intellectuels.

Bien sûr que Kamal Hachkar est un agent du Mossad. Et évidemment son docu Tinghir - Jérusalem est financé par des fonds casher. Et cela va de soi que son œuvre raconte des bobards. Les juifs n’ont jamais existé à Tinghir, ni ailleurs dans le royaume chérifien

La compagnie aérienne est assignée par le tribunal de Bobigny à cause d'une plaisanterie d'un pilote dont le décollage était retardé par l'avion royal, à Casablanca, en décembre dernier. 

"Tinghir-Jérusalem, les échos du Mellah", du réalisateur franco-marocain Kamal Hachkar, raconte l'histoire des juifs de Tinghir, un petit village berbère du sud du Maroc, et leur départ en Israël dans les années 1950 et 60.

Quoi de plus simple, pour lui, que de revenir au bled, pour filmer et enquêter sur l’histoire oubliée de Tinghir. Histoire oubliée ? Oui, Tinghir a longtemps été l’un des hauts fiefs de la communauté juive marocaine.

En fait, de tout temps le Maroc a été une terre où compatriotes musulmans et juifs ont vécu en parfait voisinage et en harmonie et où les chrétiens y étant installés vivent leur religion dans le respect et la paix.

Ces établissements d'un genre nouveau appelés à révolutionner les mœurs des marocains ont fait leur apparition récemment dans plusieurs villes du pays mais surtout à Marrakech

Heureux les seniors qui choisissent d’aller vivre au Maroc. Heureux aussi les chefs d’entreprise venus dans le royaume pour y lancer des affaires. Pour attirer ceux-ci, pour convaincre ceux-là de transférer leurs euros, le fisc marocain est aux petits soins.

En raison de la baisse de la demande des produits artisanaux, les professionnels voient leurs revenus fondre comme neige au soleil.

Contenu Correspondant