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Moyen-Orient

Il est estimé qu'entre 900 000 et un million de Juifs qui vivaient dans les pays Musulmans en 1948, ont, de gré ou de force, quitté leurs domiciles. C'est 99,7% de ceux qui y vivaient autrefois.

Quel  lien entre les otages et le Ramadan ?  Les sites islamiques le définissent comme le mois de la paix. Mais il n’est pas sûr que, depuis sa luxueuse résidence de Doha, Ismael Haniyeh, chef du Bureau politique du Hamas, en ait la même conception. Il vient de demander aux Palestiniens de prendre d’assaut au cours du Ramadan, le Mont du Temple à Jérusalem, pardon, l’Esplanade des Mosquées…

Le conflit de Gaza a paralysé les avancées diplomatiques entre le Maroc et Israël après la normalisation des relations bilatérales il y a trois ans.

Le Hamas, le Hezbollah et le Jihad islamique sont des armes de la pieuvre qui, si l’on veut neutraliser, doivent être frappées en son cœur.

Au lendemain des attaques terroristes et barbares menées par le Hamas contre Israël, le 7 octobre 2023, l’avocat et essayiste Gilles-William Goldnadel a commencé un journal de guerre pour témoigner de son indignation et de ses sentiments.

Cette croyance juive ancestrale a refait surface au lendemain du 7 octobre. D'un côté, certains juifs s'impatientent de voir arriver une génisse rousse parfaite. De l'autre, certains musulmans la redoutent plus que tout.

Bahji était le lieu de résidence de Bahá’u’lláh, le prophète fondateur de la religion Bahaï, au cours des 12 dernières années de sa vie, c’est aussi le lieu où il a été enterré, d’où la sainteté de cet endroit pour les adeptes de la religion Bahaï à travers le monde.

Je viens de terminer l'écriture d'un livre sur le conflit israélo-palestinien, raison pour laquelle je regarde avec un intérêt particulier les événements en cours depuis le 7 octobre. Je souhaiterais aborder cinq sujets que je trouve quelque peu intrigants et que je vais tenter d'éclaircir. Je vais en parcourir quatre assez rapidement et m'attarder un peu sur le dernier.

Après 12 ans de guerre civile, la Syrie se retrouve morcelée : le gouvernement de Bachar-el-Assad a réussi à maîtriser près de 60% de son territoire après qu’il fut sauvé par l’intervention militaire russe. Il existe une enclave kurde au Nord-est, une enclave turque au Nord-ouest et une enclave islamiste dans la région d’Idlib.

Un éminent historien applique sa compréhension fine du Moyen-Orient au conflit israélo-palestinien, l'affrontement le plus insoluble et le plus émotionnel du siècle dernier. Daniel Pipes soutient que la lutte oppose deux mentalités sans pareille et sans issue, et qu'on observe en dehors de la politique ordinaire mutuelle, ce qui la rend si difficile à comprendre.

Les accords de Yalta en 1945 ont confirmé l’emprise soviétique sur l’Europe de l’Est. Depuis cette date, la guerre froide a perduré jusqu’à l’effondrement de l’Union soviétique en 1991. Or, la Russie n’a pas réussi sa transition démocratique après la chute de l’URSS.

Ce qui se passe en Israel depuis l’attaque du Hamas le 7 octobre dernier a des répercussions immédiates en France. Pour Gilles-William Goldnadel, avocat, essayiste et auteur de "Journal de guerre" paru aux éditions Fayard, la détestation du combattant israélien par la gauche et les islamistes est la même que celle qui vise le Blanc occidental.

Un million de Juifs vivaient dans les pays arabes ou musulmans avant la création de l’État d'Israël en 1948. Or, dans les années 1970, la plupart sont partis ou ont été forcés de le faire et aujourd'hui, il reste quelques 24 250 Juifs dans ces pays. Comment vivent-ils la tempête ayant débuté en Tunisie et qui secoue de plus en plus de pays arabes sous « l'effet domino » ? Quelles sont leur chance de survie ?

Dans un entretien-décryptage au micro du journaliste Antoine Mercier, l’historien Georges Bensoussan démonte point à point la thèse d’un parallélisme entre les situations des deux belligérants. Il démontre l’inanité d’une position qui veut faire fi du contexte historique unique qui a conduit à la création d’un État pour les Juifs.

C’est précisément ce seuil moral qui a été franchi par l’Afrique du Sud, soutenue par des pays tels que le Venezuela, la Turquie, l’Afghanistan et l’Algérie, en accusant Israël de génocide devant la Cour internationale de justice. Ironie de l’histoire, c’est cette même Afrique du Sud qui avait refusé en 2015 de remettre l’ancien président soudanais Omar al-Bashir, inculpé pour génocide et crimes contre l’humanité, à la Cour pénale internationale.

La mer Rouge et les régions plus lointaines lui paraissent étranges par rapport à la suite d'événements. Ce qui l'a frappé la semaine dernière, alors que l'escalade devenait plus concrète, c'était « l'attaque depuis le territoire iranien contre un navire japonais dans l'océan Indien ».

Personne, à part les Iraniens, les Houthis et quelques autres – très peu d'autres – n'apprécie le fait que les Houthis perturbent le commerce international.

Le consensus national en faveur de la poursuite de la guerre montre que la lutte contre le Hamas revêt un enjeu existentiel pour la population israélienne, analyse l’historien.

Apaiser l'Iran s'avère être une entreprise futile. Le pays, par le biais de ses proxies, exerce une influence déstabilisatrice au Proche-Orient. Il intervient dans le choix du premier ministre irakien; il déploie près de 70 000 milices chiites en Syrie ; le Hezbollah, avec ses 50 000 combattants, impose sa loi au Liban, tandis que les Houtis dominent une partie importante du Yémen. La voie maritime importante du détroit de Bab el-Mandeb est aujourd’hui en danger. 

"Jésus, ce Palestinien, aurait lui-même été victime d'Israël s'il était né aujourd'hui". Telle est l'affirmation qui circule sur les réseaux sociaux en cette période de Noël. Une fake news que le père Desbois balaye d'un revers de main.

Après le choc du 7 octobre, tout est à revoir. Beaucoup de nos paradigmes se sont avérés déconnectés de la réalité. Dans ce contexte, nous avons invité *Eliezer Cherki*, spécialiste de l'islam et du Moyen-Orient, pour explorer la dimension religieuse du conflit. Quels sont les fondements islamiques qui animent le conflit ? Qu’est-ce que le djihad ?

Citoyens déloyaux, peuple déicide, usuriers sans scrupule, communautaristes, excessivement assimilés… De l'Empire romain au socialisme en passant par l'ère chrétienne et la construction des États-nations, le rejet des juifs a été motivé par des raisons multiples et contradictoires . Mais voilà que le vieil antisémitisme est, quatre-vingts ans après la Shoah, éclipsé pour se réincarner sous les traits d'une superstition que peu osent désigner : l'islam.

Pour l’armée israélienne, les capacités du Hamas étaient connues. Mais tout était perçu comme une question du choix du moment. 18 000 Gazaouis travaillent chaque jour en Israël ; il était prévu d’augmenter ce nombre à 120 000 et rien ne laissait supposer une attaque imminente. Israël subissait des attaques terroristes et des attaques de missiles qu’il « gérait. »

Nous, dont le peuple a été décimé pendant l’Holocauste et qui avons vu notre peuple être massacré et emmené en enfer, comptons sur le CICR pour qu’il fasse ce qu’il faut. À nos yeux, cela pourrait être votre dernière chance, écrit Robert Singer.

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