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Moyen-Orient

Quels miracles ! Certains sont dévoilés, d'autres encore confidentiels. Les ennemis d'Israël, principalement dans l'arc chiite du Hezbollah à l'Iran sont atteints au coeur même de leurs repères terroristes.

Quelques amis arabes, que je considère honnêtes et de bons amis, et a qui  j’ai fait comprendre plusieurs fois qu’il n’y a pas de différence entre juifs et sionistes, continuent à vouloir séparer entre le juif et le sionisme

Conformément à sa charte fondatrice, le Hamas soigne sa présence médiatique et son récit, uniforme, pour rallier sa base et monter le monde entier contre Israël

Depuis les années 1880 jusqu'à aujourd'hui, les dirigeants sionistes ont mené une politique très inhabituelle voire unique envers leur ennemi palestinien : ils veulent que ce dernier ne souffre pas économiquement mais devienne prospère, qu'il adopte les valeurs de la classe moyenne, qu'il s'installe dans une forme de bonne société bourgeoise et qu'il aille peut-être jusqu'à remercier ses voisins juifs. 

Le Proche-Orient se trouve aujourd’hui à un carrefour dangereux, où chaque décision pourrait déterminer l’avenir de la région pour des décennies. Alors que certains observateurs attribuent la crise actuelle aux opérations antiterroristes israéliennes, ayant éliminé des chefs du Hezbollah et du Hamas, il est essentiel de creuser plus profondément pour en saisir la véritable origine.

Jacques Neriah, ancien officier supérieur des Renseignements militaires et ex-conseiller d'Itzhak Rabin et explique les hésitations du Hezbollah et de l'Iran a riposter:" Israël prend toujours les devants au Liban et élimine des cibles de choix du Hezbollah tandis que l'Iran craint une frappe israélienne massive contre son ventre mou: le golfe persique!"

La présence de Hadid avait suscité de vives émotions chez les responsables israéliens. « Devinez qui est le visage de la campagne ? Bella Hadid, un mannequin d'origine palestinienne qui a l'habitude de propager l'antisémitisme et d'appeler à la violence contre les Israéliens et les Juifs », avait écrit sur Twitter l'ambassade d'Israël en Allemagne jeudi dernier.

Durant les années 1950 et 1960, l’Union soviétique et la Ligue arabe ont déclenché une série de résolutions anti-israéliennes à l’ONU. L’Union soviétique, cherchant à s’implanter au Moyen-Orient, a déployé sa puissante machine de propagande à cette fin.

On pourrait considérer que la déclaration Balfour n’a été qu’un texte de circonstances par lequel Arthur Balfour, ministre des Affaires Etrangères du Royaume Uni à l’époque, a reconnu la légitimité du projet de refondation d’un foyer national juif au Proche-Orient, avec pour but de bénéficier des moyens financiers juifs dans l’effort de guerre britannique à la fin de la Première Guerre Mondiale.

Aujourd'hui encore, le monde arabe n'accepte pas le concept d'un Etat juif, quelle que soit sa forme ou sa taille. Même l'Egypte et la Jordanie, qui ont signé des accords de paix avec Israël, ne reconnaissent pas ce pays en tant qu'Etat juif, et continuent de vouer à ses habitants une haine antisémite.

Quand Jérusalem commet des erreurs vis-à-vis des Palestiniens, notamment les accords d'Oslo de 1993, le retrait unilatéral de Gaza en 2005, ou encore la catastrophe du 7 octobre et l'échec de huit mois d'efforts de l'armée israélienne pour vaincre le Hamas, les amis américains d'Israël ont tendance à voir les choix politiques de l'État juif comme héroïques et à jeter le blâme sur les gouvernements étrangers, surtout le leur.

Sous la pression des houthistes, alliés de l’Iran, l’une des plus vieilles communautés juives du monde s’est réduite à peau de chagrin. Ses membres se comptent désormais sur les doigts d’une main. Dans un village du nord du Yémen, les voisins d’un homme juif centenaire mort la semaine dernière se sont mobilisés pour lui assurer un enterrement digne.

Les Occidentaux gobent une propagande présentant comme « résistant » un mouvement dictatorial, réactionnaire et fauteur de guerre.

On ne comprend pas cette poussée de « fièvre palestinophile » si on la déconnecte du poids de l’immigration arabo-musulmane et des groupes de pression qu’elle a réussi à mettre en place depuis une quarantaine d’années, islamistes ou non. C’est pourquoi, ces manifestations estudiantines, aussi bien américaines qu’européennes, n’ont rien de spontané.

Après l’annonce à la télévision d’un accident d’hélicoptère qui transportait le président iranien Ebrahim Raisi (portant le nom illustre d’Abraham – le juste des justes) et sa clique, mon ami Philippe me téléphona de son petit coin du monde, pour me poser la question : Dieu ou le Mossad ?

Avril 1967 : Nasser, à la tête de l'Égypte, exige le retrait des forces de l'ONU du Sinaï et de la Bande de Gaza. Le 27 mai : il bloque le détroit de Tiran, en Mer Rouge, interdisant aux navires israéliens l'accès à Elath. 

Quand Mark Twain visita la Terre Sainte au XIXe siècle, il fut très déçu. Il ne vit pratiquement personne. Il la décrivit comme une vaste terre de désolation. Le pays que nous connaissons aujourd’hui sous le nom d’Israël était pratiquement désert

Le dilemme pour Israël réside dans le choix entre accepter un cessez-le-feu, permettant ainsi au Hamas de continuer à lancer des roquettes sur les civils israéliens à tout moment, ou bien éliminer le danger posé par ces missiles tout en minimisant les pertes collatérales.

Le président américain Joe Biden a affirmé samedi qu’un cessez-le-feu était possible « demain » dans la guerre entre Israël et le Hamas si le groupe palestinien relâchait les otages.

Fabien Azoulay, aurait pu croupir dans les geôles turques pendant 20 ans. Mais le sort et l’acharnement de son frère en ont décidé autrement. Consommateur d’un stupéfiant appelé le GBL, licite en France et interdit en Turquie . Fabien a été emprisonné et considéré comme un dealer. Son livre ‘’Istanbul dernier arrêt, 4 ans dans les prisons turques’’ publié aux Éditions Stock, raconte sa descente aux enfers, en tant que juif et homosexuel, comme si nous étions en prison avec lui.

Les associations culturelles et religieuses devront faire partie intégrante des plans d’élaboration des politiques de la réconciliation diplomatique arabo-israélienne. Ils jouent d’ores et déjà de nombreux rôles, dans le cadre de leur mission d’altérité au service de leurs membres et de la société civile.

Est-il temps de mettre en œuvre la solution à deux États, c'est-à-dire de reconnaître l'Autorité palestinienne (AP) à moitié souveraine comme État, en tant que « Palestine », aux côtés d'Israël ?

Nous savons déjà  que Volney, Alexander Keith, J.S. Buckingham, Alphonse de Lamartine, Mark Twain et Arthur Stanley s’accordent tous sur le fait que la ‘Palestine’ était  » un désert parsemé de rares bourgades ».

Au moment où l’Etat juif mène une rude bataille contre le Hamas islamiste et se défend seul contre les menaces de guerre de l’Iran, des voix s’élèvent en Europe pour la reconnaissance officielle d’un Etat palestinien.

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