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Moyen-Orient

Récemment une personnalité politique iranienne de premier plan, Issa Kalantari, a mis en garde contre les erreurs commises dans le passé par l'Iran désormais confronté à des réserves en eau si insuffisantes que près de 70 % de sa population, soit 55 des 78 millions d'Iraniens, seront forcés d'abandonner leur pays natal pour des destinations inconnues.

La semaine dernière l’arrivée d’un Airbus saoudien à l’aéroport de Tel-Aviv, photographié sous toutes ses coutures, a fait le buzz. C’était la première fois qu’un appareil du royaume des Ibn Saud atterrissait publiquement en Israël, un pays avec lequel Riad n’entretient pas de relations diplomatiques.

Depuis que l'Islam a perdu à la fois la guerre, -- chute de l'empire ottoman après la 1ère Guerre mondiale – et la "ouma", la nation-mère, après la révolution laïque d'Ataturk en Turquie qui a renverser le califat d'Istanboul, la haine islamique ne cesse de s'exprimer de plus en plus violemment.

L’émotion et un certain malaise règnent dans le Doigt de la Galilée et dans la partie israélienne du Golan depuis dimanche dernier. Ce sentiment est né lorsque l’on a appris que deux des quatre individus éliminés dimanche par Tsahal alors qu’ils posaient une bombe à la frontière syro-israélienne étaient des Druzes de la région.

En 1916, T. E. Lawrence avait obtenu le soutien du chérif de La Mecque et de son clan, en promettant au chérif un empire arabo-musulman reconstitué. C’est dans ce contexte qu’a débuté la « révolte arabe » qu’avait désirée Londres contre l’Empire ottoman. 

Huit cents morts avant-hier en Méditerranée. Huit cents  personnes qui s’étaient  entassées sur un simple chalutier en Libye pour atteindre l’Europe de leurs rêves.  Des  hommes, des femmes, des enfants. Jamais la mare nostrum n’avait englouti autant de personnes à la fois.

« Je ne juge pas ton Zara, ne juge pas mon Louis Vuitton », ou comment le Moyen-Orient redéfinit la notion autoritaire du chic européen.

«Quiconque est digne de la liberté n'attend pas qu'on la lui donne: il la prend», disait Louise Michel. Et cette réflexion, les Arabes devraient en faire leur devise. Et, surtout, les femmes arabes.

A nouveau, Barack Obama a articulé son intervention sur la base d’une feuille d’information made in USA, confectionnée par les mêmes conseillers qu’en novembre 2013. Les Iraniens n’ont pas participé à sa composition et n’y adhèrent pas.

«L'Islam radical est le problème, l'Islam modéré est la solution» a été ma devise depuis 2002, ce qui signifie que de nombreux problèmes de l'Islam ne pourront être résolus que lorsque les musulmans délaisseront l'islamisme

Il plane une grande confusion sur ce qui se déroule entre les quatre murs de la salle de négociations de l’hôtel Beau Rivage à Lausanne entre les 5+1 et la délégation iranienne.

Devant Tikrit, en Irak, c’est l’Armée iranienne qui dirige l’assaut contre la ville encore tenue par les combattants de l’Etat Islamique. Les Kurdes, dont les premières lignes ne sont distantes que de quelques dizaines de kilomètres de ce théâtre d’opérations, et les sunnites, en Irak et dans le monde arabe, s’inquiètent vivement de cette ingérence

Selon le père égyptien Henri Boulad, c’est aujourd’hui "l’heure de vérité" pour l’Islam. "Deux scénarios sont envisageables : ou bien un terrible affrontement à la Huntington avec l’Occident et le reste du monde… ou bien un effondrement et une implosion, …"

La problématique ne concerne donc pas deux Etats mais les deux responsables qui les dirigent et qui décident au jour le jour de leur politique. Or ces derniers sont éphémères ; dans moins d’un an et demi un autre décideur aura remplacé Barack Obama à la Maison Blanche ; quant à Netanyahu, il risque de subir le même sort dans moins de quinze jours déjà.

L’offensive conjointe des armées régulières d’Iran et de Syrie et des miliciens du Hezbollah en vue de reprendre le Golan et l’accès aux frontières israélienne et jordanienne à l’Armée Syrienne Libre a échoué.

Nul besoin d’attendre le texte de l’accord faisant l’objet de négociations intensives entre John Kerry et le ministre des Affaires Etrangères de la théocratie perse, Mohammad Javad Zarif, pour affirmer que le Président Obama a menti sur toute la ligne. 

Le but de cette manœuvre consiste à déloger l’Armée Syrienne Libre (ASL) des positions qu’elle occupe le long des frontières israélienne et jordanienne.

Selon des fuites concordantes, dont des révélations faites directement à la rédaction de la Ména par un diplomate, le Président Obama s’apprêterait à faire des concessions majeures aux ayatollahs, de même qu’à inclure dans le document final des paramètres de coopération stratégique.

Pour commencer, et indépendamment de la qualité des idées d'al-Sisi, aucun homme politique – et surtout aucun homme fort – n'a fait bouger l'islam. En Turquie, les réformes d'Atatürk sont aujourd'hui systématiquement contrées. Il y a dix ans, le roi Abdallah II de Jordanie et le président pakistanais Pervez Musharraf ont donné le même type de discours

Les jours où je me réveille devant le spectacle de gueules hirsutes prêtes à massacrer au nom d’Allah et où je m’endors avec le bruit des explosions diffusées sur fond de versets coraniques.

C’est un mensonge. Les Protocoles des Sages de Sion ont été rédigés dans la cour du Tsar. Ils n’ont rien à voir avec les juifs. C’est un amas de mythes antijuifs…

Pendant cinq années consécutives, le monde arabe et musulman s’est enfoncé dans le chaos. Tempêtes de violence et massacres ont englouti la région, démantelant sa structure fondamentale. De nombreux pays se sont désintégrés, provoquant le déplacement de millions de personnes. 

Si nous ne ripostons pas immédiatement avec force, les organisations terroristes comprendront qu’Israël ne peut pas efficacement combattre la terreur. Eux aussi savent que les mots et les déclarations ne peuvent pas anéantir le terrorisme

Un journaliste du quotidien panarabe Al-Hayat dénonce ces intellectuels arabes qui trouvent des justifications aux attentats parisiens.

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