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Moyen-Orient

Parce que l’isolement économique imposé à Téhéran, celui qui a participé à obliger les mollahs à discuter avec les Occidentaux, est irrémédiablement brisé. Déjà les Indiens ont annoncé qu’ils n’attendaient plus que l’aplanissement d’un problème d’assurance de transport avant de commander six millions de barils d’or noir à Khamenei.

A en croire les porte-parole du mouvement, fort de 90 000 âmes, celui-ci est apolitique et ses membres n´appartiennent à aucune faction palestinienne. Toutefois, certaines de ses caractéristiques indiquent clairement un lien avec le Fatah

Peu après l’annonce de l’existence d’un accord, la Maison Blanche a diffusé un "Fact sheet", une fiche d’information, dans laquelle elle "explicite" ce qu’elle nomme les "Accords du premier stade concernant le programme nucléaire de la République Islamique d’Iran".

Selon la presse, cette stratégie commune sera mise en œuvre si l'accord qui devrait être signé cette semaine à Genève ne satisfaisait pas Tel-Aviv et Riyad, tous les deux préoccupés par le problème nucléaire iranien.

Fruit d'une histoire millénaire mais aussi des derniers bouleversements dans le monde arabe, le regard du Maghreb sur "ses juifs" change, et les relations des États de la région avec Israël aussi. 

En effet, à en croire le sérieux Institut Américain pour la Science et la Sécurité Internationale (ISIS), les Perses ne seraient qu’à un peu plus d’un mois de la capacité de confectionner une bombe atomique.

Les analyses des échantillons prélevés sur la dépouille du dirigeant historique palestinien Yasser Arafat par un laboratoire suisse soutiennent l'hypothèse d'un empoisonnement au polonium

L’écart entre les positions des deux délégations est considérable, et il semble bien qu’il ne sera pas raccourci durant la seconde étape des discussions qui va s’ouvrir prochainement ; trois mois jusqu’en janvier, durant lesquels Palestiniens et Israéliens sont censés plancher à la recherche de compromis sur ce qui les sépare.

L’incapacité navrante des pays du Moyen-Orient et d’Afrique du Nord à apporter la prospérité attendue désespérément par leur population est un facteur permanent qui pousse les gens dans la rue. 

Via son satellite shiite, le Hezbollah, l'Iran a constitué une satrapie terroriste, d'une ampleur et d'une puissance de feu sans égale. Ses missiles et roquettes peuvent atteindre aujourd'hui n'importe quel point du territoire israélien. 

J’ai vu l’islamisme arriver sous mes fenêtres. En quelques années, il a détruit des familles, une culture, une économie et des vies, tout en se répandant partout. On ne peut pas rester indifférent face à ce phénomène qui risque d’arriver aussi chez vous. 

Quand j´ai appris la véritable histoire de l´Egypte - non la fausse histoire qu´on vous apprend à l´école - j´ai commencé à écrire « Egypte », à la place de « République arabe d´Egypte ». 

Aujourd’hui, sur fond de conflit israélo-palestinien, n’importe quel juif ou musulman est considéré comme l’ennemi de l’autre, réel ou potentiel. Cette conclusion est certes un peu désespérante, mais c’est notre monde contemporain qui est comme cela.

Un différend existe entre le renseignement israélien et ses homologues américains au sujet du temps nécessaire aux Iraniens pour confectionner une bombe atomique. A Jérusalem, on l’estime à cinq mois environ, tandis qu’à Washington, on l’établit à huit. 

Sur une population totale de 144 millions d'habitants, la Russie compte entre 21 et 23 millions de musulmans (15 pourcent de la population) dont la proportion grandit rapidement. 

En tant que juif, je trouve ce silence inconcevable. Nous, les Juifs, savons très bien que le péché du silence n'est pas une solution aux actes d'oppression.

D’un point de vue strictement stratégique, Israël est probablement le pays ayant le plus intérêt à ce que les négociations entre l’Iran et les 5+1 aboutissent à un accord satisfaisant. C’est la raison pour laquelle on a suivi ici avec autant de curiosité les débats qui se sont déroulés lundi et mardi à l’Hôtel Intercontinental de Genève.

Où donc juifs et musulmans, aujourd'hui totalement séparés, ne se sont-ils pas côtoyés ? Dès le départ, les uns et les autres partageaient le même espace géographique et linguistique. 

Là où des peuples non-musulmans s’abreuvent de savoir, d’autres, les musulmans s’abreuvent de sang. Et le plus ubuesque dans l’histoire est que ces derniers rêvent de dominer les premiers alors que, sans eux, ils seraient encore dans la protohistoire.

Le risque d’une nouvelle confrontation entre le Hamas et l’Armée israélienne est devenu quasi nul ; sur le terrain, les provocations de la branche palestinienne des Frères Musulmans contre les Hébreux, qui consistaient à lancer par surprise des roquettes contre des zones habitées, ont pratiquement cessé.

Depuis quelques jours, le front de mer de Doha au Qatar accueille un nouvel élément de décor. L'Émirat a en effet acheté l'immense statue immortalisant le "Coup de tête" de Zinédine Zidane contre l'Italien Marco Materazzi en finale du Mondial 2006

Ils sont nombreux en Occident à se voiler la face et à croire contre toute évidence que les Ayatollahs accepteront en dernière analyse de changer de cap et de se transformer en adeptes de la démocratie et des droits de l’homme. 

Pour la première fois depuis sa création voilà tout juste soixante ans, l'Institut Yad Vashem, qui se consacre à la Mémoire de la Shoah et à l'enseignement, a décerné le certificat de « Juste entre les Nations » à un citoyen arabe

Les deux hommes ne s’apprécient toujours pas et leur approche du dossier iranien reste différente ; mais depuis la visite du président en Israël en mars dernier, les deux chefs d’Etat se sont assagis. 

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