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Musique

Cette chanson a été écrite par Naomi Shemer pour un festival de chansons à Jérusalem en avril 1967 à la demande de Teddy Kolek, maire de la ville. Peu après la réunification de Jérusalem, elle y a ajouté une nouvelle strophe qui évoque le retour des juifs dans la vieille ville.

Lui-même se vantait lors de sa dernière conférence de presse à Tel-Aviv d'"être le premier artiste français à s'être produit en 1949 juste après la déclaration d'indépendance".

Eden Golan raconte pour la première fois son expérience lors de l'Eurovision à Malmø. C'est une fille forte qui est fière de son identité juive.

Maryline Medioni : Dany, comment vous présenteriez vous, qui êtes vous ?
Dany Brillant
: Je suis un homme libre, un juif, fier de l’être, un artiste libre !

Shlomit Buchnik est une chanteuse d'origine Libyenne, qui chante des chants Libyens et sefarades

« J’ai ressenti l’amour des gens et vous ne pouvez pas vous imaginer combien cela m’a aidée », a ajouté Golan, qui a été huée de manière répétée lorsqu’elle a chanté aux répétitions et lors de la finale, et qui a dû faire face aux appels en faveur de son exclusion du concours alors que des manifestations sans précédent dénonçaient la présence du pays à Malmo.

Lili Labassi, (de son vrai nom Elie Moyal) est un compositeur chanteur de chansons légères qui influenceront le répertoire franco-arabe des années 1950.

Trois Artistes, Trois Religions, pour un symbole fort d'ouverture, d'écoute et de respect entre les cultures Orchestre Philharmonique du Maroc Jean-Claude Casadesus, direction Françoise Atlan et Caroline Casadesus, sopranos Smahi El Harati, ténor Eloïse Bella Kohn et Dina Bensaïd, Yadaïn Piano Duo Arrangement OPM

Les racines judéo-berbères de la cantatrice - elle est née en France et ses parents à Bougie (Bejaia) et elle vit à Marrakech - l’ont placée au centre des influences les plus variées qui ont fait l’histoire de ce bassin du milieu des mondes.

Les chanteurs juifs marocains ont indéniablement beaucoup apporté à la chanson marocaine et enrichi son répertoire. Nombreux sont les chanteurs de confession juive qui ont consacré leur vie à la préservation de ce patrimoine et ont réussi à en sauver une grande partie. 

Enrico Macias s'invité à un dîner de famille - Stars à domicile 

Lamouni li gharou meni, par Richard Ohayon

L'Orchestre Andalou de Jerusalem nous presente une  fusion ravissante entre Tom Cohen et  Benjamin Bouzaglo. Bravo un vrai regal

Taqsim Oud - Sabah Fakhri Concert - Oud: Amer Ammouri

Figure de la musique arabo-andalouse, le pianiste Maurice El Médioni, né en Algérie, est décédé à 95 ans en Israël, où il s’était installé après avoir longtemps vécu en France, a-t-on appris sur sa page Facebook officielle.

 En 2018, Enrico Macias fête ses 80 ans et en Israel, il célèbrera par la même occasion les 70 ans de l'indépendance du pays.

Le chanteur et barde marocain Itzik Shariki dans le poème "Ya Habib Lakalb" en l'honneur de Sidna Baba Sali Zia'a en l'honneur du Jour des réjouissances.

Voici la chanteuse marocaine juive RAYMONDE

En 1981, Maurice el Medioni a écrit la chanson Ahla Sahla pour l'étonnante chanteuse juive algérienne Line Monty. Elle a été jouée pour la première fois au Théâtre des Champs-Élysées et est devenue une chanson à succès dans de nombreux pays. Elle est toujours interprétée lors des cérémonies les plus joyeuses entre Nord-Africains, quelle que soit leur religion.

Avec Benjamin Bouzaglo, Haïm Louk, Moshé Louk et Shimon Sibony. 

De son vrai nom Sa­lo­mon Am­zel­lag, ce mu­si­cien de confes­sion juive, a du­rant soixante ans, en­ri­chi le pa­tri­moine de la mu­sique tra­di­tion­nelle ma­ro­caine, no­tam­ment le mal­houn et la mu­sique ma­roco-an­da­louse, ini­tia­le­ment conçue à Sé­ville et Gre­nade (Es­pagne) dans l'An­da­lou­sie mu­sul­mane avant la fin du XVe siècle.

Les Musiques du Maroc - De Tanger au Sahara

Mike Karoutchi est un chanteur israélien, cousin de Roger Karoutchi.

Des chanteurs arabes et juifs se sont réunis fin novembre pour enregistrer un message d’espoir sur la scène de l’Opéra d’Israël, tel qu’il est véhiculé dans la pièce classique de Leonard Bernstein « Somewhere », tirée de « West Side Story ». Ils ont chanté ensemble en arabe, en hébreu et en anglais, choisissant de créer quelque chose ensemble pendant cette période compliquée.

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