C’est la aïta, un gueulement qui mue en chronique chantée de la vie d’hommes et de femmes, relatant leurs difficultés quotidiennes, leurs révoltes fréquentes, leurs amours contrariées, parfois leurs exils douloureux. Un blues arabo-berbère saisissant, souvent marqué par les timbres perçants de ses chanteuses, une stridence caractéristique des fines voix féminines amazighes.
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