Share |

Musique

Hommage à Raymond Leyris, par Enrico Macias et Taoufik Bastandji. Cheikh Raymond Leyris restera le maitre incontesté du malouf, dans la musique Constantinoise.

Chanson d'Elaine Kibaro, Texte intro, final et arrangement de Jean-Bernard Lefebvre, avec les Tambours et le Quintette de cuivres la Musique de la Garde Républicaine et la chorale Kellermann de la Garde Républicaine dirigée par Patrice Récard; clip réalisé par Elaine Kibaro et Philippe Gibert

Composé il y a plus de cent ans, le morceau “Hava Nagila” a dépassé la sphère religieuse juive pour s’inviter dans les bars, les stades et les soirées privées. “The New York Times” raconte l’histoire d’un tube qui a plus d’un siècle.

Un tres grand succes mediterraneen des annees 60's que vous aurez plaisir a decouvrir.

Fleuron de la musique arabo-andalouse du Maroc, l’Orchestre arabo-andalou de Fès, dirigé par Mohammed Briouel, est considéré comme le groupe le plus ancien et le plus important de musique andalouse marocaine. Héritier de l’ensemble de musique andalouse existant à Fès depuis 1912, il est l’un des trois orchestres officiels du Maroc.

Tous ses albums ont intégré tour a tour l’Arabe, le Zoulou, l’Hindi, le Yemenite, l’Ethiopien…tout en étant réceptif au répertoire Tsigane et au Tango Argentin.Ambassadeur à la vision alternative, il s’applique à donner une image d’Israël inclusive.

Dans une vidéo étonnante qui comprend des séquences dans la Vieille Ville de Jérusalem et ses environs, la superstar israélienne Gad Elbaz est la voix du peuple juif, exprimant un désir pour le jour où Jérusalem ne sera plus divisée.

Ecoutez la merveilleuse rendition de Yoni et Nina Tokayer de la celebre chanson "Jerusalem shel Zahav.

Formé à Paris en septembre 1966 par des musiciens de confession juive et originaires du Maroc influencés par les Rolling Stones et les Chaussettes Noires. Ils participent d'abord à des tremplins puis en 1967 le groupe se lance dans une tournée en Allemagne puis au Danemark où il enregistre son premier single Mustang Sally sorti sur Triola3,4.

Un tres beau message d'unite musicale entre Juifs et Arabes

Magnifique version piano de 'Ahlan Wa Sahlan' par Maurice Médioni.

Mercedès Nieto a découvert la danse orientale par hasard. Elle est tombée amoureuse de cet art qui lui permet d’ exprimer avec force et vérité toute la palette de sentiments et d’émotions qui jalonnent sa vie de femme. Rencontre sous le signe de la sensibilité et de la grâce avec une Hongroise qui a conquis le coeur des orientaux

Tomer Cohen, né en Israel, est un musicien et chanteur. chef de l'orchestre de Malouf en Israel. Il joue également de divers instruments de musique: oud, Accordéon, piano etc.

Hak A Mama - هاك ا مام, par L'Orchestre Andalou de Jerusalem “Moroccan Dynasty"

Accompagne par l'Orchestre Andalou de Ashdod sous la direction de Shmuel Elbaz

Salim Halali de son vrai nom Simon Halali, né le 30 juillet 1920 à Annaba en Algérie et mort le 25 juin 2005 à Antibes (Alpes-Maritimes) en France, est un chanteur et interprète de musique arabo-andalouse et populaire.

Musique andalouse, Melhoun, chant amazigh, chant juif et Hadra Chefchaouniya sont à l'honneur et célébrés par la femme marocaine lors de ce concert unique aux airs de rêve enchanteur.

La Casbah» est un ensemble musical unique basé en Israël dont les membres partagent un lien profond avec la musique nord-africaine d'Algérie et du Maroc. Nous nous concentrons sur le «Chaabi» (musique folklorique africaine) et sur la musique classique andalouse et explorons d'autres genres

Si la brillante et terrifiante protagoniste fictive jouée par Cate Blanchett n'est pas explicitement juive, le monde qui l'entoure est indéniablement influencé par les Juifs

Merveilleuse interpretation de la priere Juive par excellence par deux Israeliens qu'on n'a plus besoin de presenter.

Incroyable danseuse orientale pas comme les autres - Oriental dance. Avec un simple maillot de bain et sans Tra La La, une danse magnifiquement spectaculaire, avec une elegance de mouvements extraordinaire.

Samy Elmaghribi chante Ala ouhida

C’est la aïta, un gueulement qui mue en chronique chantée de la vie d’hommes et de femmes, relatant leurs difficultés quotidiennes, leurs révoltes fréquentes, leurs amours contrariées, parfois leurs exils douloureux. Un blues arabo-berbère saisissant, souvent marqué par les timbres perçants de ses chanteuses, une stridence caractéristique des fines voix féminines amazighes. 

Emile Zrihan. Ce nom vous interpelle-t-il ? Il s’agit d’un contre-ténor qui sillonne les quatre coins de la ronde dans l’unique optique de promouvoir la musique classique judéo-marocaine. Rétrospection dans sa vie de virtuose.

Contenu Correspondant