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Religion

Le Loulav; est une branche de Palmier qui doit etre bien droite, sans tendre ni vers la droite, ni vers la gauche. Sa mesure minimale : 32 cm, et pour les plus rigoureux agissant selon l’opinion du Hazon Ich, 40 cm.

 A travers ce rite, le citadin sédentaire retrouve, un tant soit peu, la dimension nomade de ses ancêtres hébreux. Par-delà cette spécificité cultuelle, la tradition rabbinique met en évidence la dimension universelle que recèle cette solennité « écologique ».

Ces deux mots en hébreu ont une relation très étroite avec les fêtes de Tichréi et Yom-Kippour. Kippour veut dire "expiation" et les mots de la même racine sont, entre autres, le mot Kofer qui veut dire "rachat" / "Contrepartie" / "Rançon", ou alors le mot "Kappara" veut lui aussi dire "expiation".

Dans les lointaines montagnes de l’Atlas, à près de 100 kilomètres à l’est d’Agadir, au sud du Maroc, près de la province de Taroudant, s’étendent  des hectares de terre fertile et luxuriante : Damder. Pendant des générations, cette terre semi-déserte, bordée d’imposantes montagnes, a été une terre d’élection pour la culture des Étroguim.

Cette coutume consiste à prendre, la veille de Yom Kippour, un poulet vivant (un mâle pour les hommes, une femelle pour les femmes) et à le faire tourner au dessus de la tête en disant un formule qui charge la bête de nos péchés, en souhaitant que sa mort se substitue à la notre au cas où on la mériterait.

Le but de tout ce que l'on fait a Yom Kippour (jeune, prieres et autres) est d'obtenir l'atonement, la decision Divine de suspendre le jugement pour nos mauvaises actions. Et pour cela, il faut eprouver une sincere repentance, c'est a dire identifier ces actions, les avouer et regretter ce que l'on a fait. Il est evident qu'un profond desir de ne pas retomber dans ces memes erreurs doit accompagner toute repentance.

Elément indispensable dans la tradition juive, le shofar est instrument fabriqué à partir d’une corne d’un animal cacher, généralement le  bélier. Les fidèles entendent résonner 100 sonneries différentes  lors des 2 jours de prières de Roch Hachana.

Dans le judaisme la raison et la connaissance font a chaque individu responsable de ses actes depuis l'âge de 13 ans, age de la bar-mitsva, on est tous responsable par les actes que nous commettons, le repentir doit servir a effacer nos fautes et peut nous permettre de continuer en paix notre existence.

*En hébreu, le pardon se dit mé’hila, mot dont la racine est celle de me’hol, qui signifie « un cercle ». La vie a pour dessein d’être un cercle rassemblant toutes nos expériences et nos relations en un tout harmonieux. Lorsque quelqu’un nous blesse, le cercle est brisé. Le pardon est le moyen par lequel nous réparons cette fracture.

Selon le Tanakh, les franges du talith sont un mémento permettant aux juifs de se souvenir des 613 commandements bibliques et du lien qu'ils entretiennent avec Dieu.

À partir de l'aéroport, les sons du shofar sont entendus dans le métro, dans Central Park, dans une épicerie, entre les ponts de l'East River, au Metropolitan Museum of Art, en face du Today Show studio de NBC, au Rockefeller Center, Times Square, 

De tous les instruments de musique, à corde, à vent et à percussion seul le shofar a suivi le peuple juif dans son exil. On ne se sert plus de cette corne de bélier qu'à deux occasions dans le judaïsme, à savoir le jour du nouvel an (Rosh ha-Shana) et le jour des propitiations (Yom Kippour). D'où peut bien provenir cette tradition et comment s'expliquer les interprétations mystiques et ésotériques qu'elle a reçues au cours des âges?

La vie a pour dessein d’être un cercle rassemblant toutes nos expériences et nos relations en un tout harmonieux. Lorsque quelqu’un nous blesse, le cercle est brisé. Le pardon est le moyen par lequel nous réparons cette fracture.

Roch Hachana – Textuellement: Tête (début) de l'année. Les deux premiers jours de l'année. Pour la Torah, ce jours s'appelle Yom Hazikaron, (textuellement: jour du souvenir) (à l'origine il n y avait qu'un seul jour de Roch Hachana) c'est le jour où notre souvenir vient jusqu'à Dieu. La Michna dit qu'en ce jour nous sommes comme des moutons qui passent devant le berger et celui-ci décide du sort de chacun d'eux. En effet en ces jours nous faisons Téchouva et nous implorons Dieu de nous juger avec clémence.

Peut-on vraiment aimer son prochain comme soi-meme? Cela parait impossible...regardez seulement avec quelle facilite nous nous pardonnons nos erreurs (il est facile de se trouver des excuses) alors que nous jugeons d'autres personnes avec severite. 

Tête de poisson ou tête de mouton ? Pomme dans le miel ou dans le sucre ? 30 ou 100 sonneries du Chofar ? Pour ou contre les noix ? C'est au moment des fêtes que la diversité du peuple juif est la plus palpable et Roch Hachana n'est pas en reste : chaque communauté et ses coutumes, chaque famille et ses habitudes, chaque pays et ses usages.

Si le monde entier chantait avec autant de conviction, le monde se porterait beaucoup mieux.

Pas de raison que nous aussi, on n'en fasse pas qu'à notre tête, le nouvel an juif c'est en septembre. Généralement au milieu ou à la fin du mois, parce que D.ieu s'est dit qu'il fallait quand même laisser passer la rentrée scolaire et ses nombreuses contrariétés. Il est chic, D.ieu, il a vraiment pensé à tout.

C’est une sainte obligation, pour les responsables de Synagogues d’être vigilant (méticuleux) dans le choix d’un l’officiant convenable qui officiera pour les prières des « jours redoutables 

Quand vous choisissez vos vins pour Rosh Hashana, osez être braves et essayer une nouvelle marque ou un nouveau cru. Voici quelques vins pour lancer le nouveau “vous”.

A partir de Roch Hodech Elloul, on entame la période de "miséricorde Divine", et de Selihot : "pardon."

Il ne faudra donc pas oublier cette idée; si le rav ressemble à un ange au moins sur un point, recherche sa Thora, s’il ne ressemble en rien à un ange, ne recherche pas sa Thora.

« L’école du Talmud est labours et semailles, et engrangements… ». À ceux donc, qui veulent savoir, mais ne disposent pas du temps quasiment infini qui serait nécessaire, Marc-Alain Ouaknin offre un « digest » qui ne tombe jamais dans la facilité ou l’outrance.

Chaque veille de Sabbat, l'époux bénit sa femme: « Eshet hayil, mi yimzah

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