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Maroc

Le royaume alawite à lui aussi sa forte communauté organisée que sont les juifs sépharades, certes ils détiénnent tous des passeports Français et israéliens,mais ils se déclarent plus marocains que les Marocains eux même ,en plus de ces réunions quotidiénnes pour célébrer un rabbin celebre

Point de vue panoramique sur Casablanca en 1955 : les différents boulevards de la ville, les passants, les voitures, la mosquée; la circulation...

On savait déjà l’engouement des Israéliens pour le visa électronique marocain, et pour cause il a été suivi dès juillet dernier d’un  flux important de touristes vers le Maroc pour la période estivale. Voilà que maintenant la tendance est à la demande de la nationalité marocaine de la part de descendants de Marocains israélites expatriés qui réclament la nationalité de leurs ascendants.

Pendant plus de mille deux cents ans, juifs et musulmans ont cohabité au Maroc et coopéré à l'épanouissement de ses richesses culturelles et artistiques. Cet ouvrage témoigne des imbrications et des sensibilités qui, en terre marocaine, se reflètent dans la culture et l'art juif : thèmes et motifs communs dans la bijouterie, le costume, la musique, le chant, la poésie, la vie quotidienne.

Les relations entre juifs et musulmans ont commencé au VIIe siècle avec la naissance et l’expansion de l’islam dans la péninsule arabique. Les deux religions partagent des valeurs, des principes et des règles similaires. L’islam intègre également l’histoire juive comme faisant partie de la sienne.

Les Gnaouas ou Gnawas sont pour une partie d'entre eux, des descendants d'anciens esclaves noirs issus de populations d'origine d'Afrique noire (Sénégal, Soudan, Ghana...). Ce terme identifie spécifiquement ces populations au Maroc, et de là, leur nom s'est diffusé à leurs homologues du Maghreb.

La place Jemaa el-Fna est l’un des principaux espaces culturels de Marrakech. Devenue l’un des symboles de la ville depuis sa fondation au onzième siècle, elle offre une concentration exceptionnelle de traditions culturelles populaires marocaines qui s’expriment à travers la musique, la religion et diverses expressions artistiques.

Un fonctionnaire du protectorat français raconte comment des juifs de Fès, les « Mouhajirines », ont dû se convertir à l’islam, donnant ainsi naissance à de grandes familles fassies dont on pensait qu’elles avaient toujours été musulmanes

Cette semaine, Orient s'envole à Essaouira, dans le sud-ouest du Maroc, à la découverte de la Cité des Alizés et de son modèle de coexistence.

Toutes nos villes sont magnifiques, mais si nous devions faire un top 6 des villes qui poussent au romantisme, voici ce que ça donnerait :

Vivre au Maroc permet de bénéficier des avantages offerts par un pays  doté d’un patrimoine naturel et culturel exceptionnel, et par un peuple accueillant et chaleureux. 

"Moderne". C'est le premier qualificatif qui vient à l'esprit en pensant au Casablanca des années 1960's. A l'époque, la ville blanche l'était vraiment et le charme des bâtisses art-déco et néo-mauresque encore bien préservé

Dans ma jeunesse, au Maroc, je me souviens que  le mot moustique était au féminin. On disait une mouche (dbana), une abeille (nehlah) une moustique ( namussa ) un cafard ( sefar l zzit)

Un documentaire de Yann Arhtis-Bertrand à couper le souffle, qui vous donnera envie de venir ou revenir au Maroc

Fès fut fondée en 810 par le Sultan Idriss II, roi pacificateur succédant à son pere Idriss le conquérant, descendant du prophete. Fès , dès sa fondation attire une immigration juive de haut niveau de toute la diaspora : de Kairouan, en Tunisie, d'Egypte, de Perse, de Babylone et d'Espagne.

De l'argile à la mosaïque, quel doigté !!!!! un Art magnifique qui se fait a la main et qui vous enchantera !

Connue comme la Perle du Sud, il est une ville de Marrakech, au Maroc, au pied des montagnes de l'Atlas. Marrakech est la quatrième plus grande ville du Maroc après Casablanca, Rabat, Fès ville.

Ceci est un extrait du film israélien "Prendre Femme" de Ronit Elkabetz dans lequel on entends le dialecte judeo-marocain, la variété de dialecte arabe parlée par les juifs marocains.

Dans le sud du Maroc, les femmes confectionnent un encens traditionnel rare, au bois d'oud et au safran

Au sein de l’espace maghrébin, le Maroc occupe une place particulière dans la manière dont il a intégré la mémoire juive à son récit national. Ce que l’on désigne souvent comme « l’exception marocaine » ne relève pas d’un mythe, mais d’un choix politique et culturel affirmé.

Une visite des plantations illicites de marijuana mène un écrivain à d’anciens textes religieux, et une recette de couscous très spéciale souligne le rôle historique de cette plante dans la vie juive.

Les présentes listes ont été établies d'après les premiers relevés des tableaux de 1920 à 1940; elles portent mention des adresses, fonctions et professions indiquées sur les documents des loges au moment de l'inscription de l'intéressé. 

L’Union européenne a annulé un appel à propositions pour le Maroc visant la préservation du patrimoine juif marocain, indiquent des médias israéliens. Pour ces sources médiatiques, l’annulation de ce fonds, estimé à 3 millions d’euros, est intervenu au moment du début de la guerre livrée par Tel Aviv contre la bande de Gaza. 

Classée au patrimoine mondial de l’UNESCO depuis 2004, la cité portugaise d’El Jadida illustre une partie de l’Histoire de la coexistence interreligieuse dans l’espace urbain au Maroc, grâce à ses repères conservés. Entre lieux de culte juif, chrétien et musulman, ce triangle du vivre-ensemble s’incarne en effet dans la médina, témoignant d’une diversité que les habitants ont longtemps associée à la vie quotidienne.

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