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moyen-orient

Alors que l’offensive commune des forces russes et gouvernementales syriennes se poursuit dans la région de Deraa [carte], où la rébellion contre la dictature des al Assad avait commencé, il apparaît de plus en plus clairement qu’un deal a été passé entre Moscou et Jérusalem au sujet de l’avenir de la Syrie.

La République islamique prétend qu'Israël vole les nuages qui passent dans son ciel, aggravant la sécheresse qui touche le pays.

Le Hamas sait qu'il ne vaincra pas Israël sur le champ de bataille. Mais il savait à l'avance qu'il battrait Israël dans l'opinion publique mondiale. Le Hamas n'était pas le seul à le savoir. Toute personne sensée le savait. Israël aurait dû faire aux Palestiniens de Gaza, y compris le Hamas, une offre qu'ils ne pouvaient pas refuser il y a longtemps.

Or cette hypothèse n’est nullement virtuelle, au moment où Tsahal renforce ses défenses autour de notre réacteur nucléaire dans le Néguev. Cette mesure intervenant après avoir recueilli des informations selon lesquelles Khameneï et sa clique, pour redorer leur blason sérieusement écorné après le désastre militaire qu’Israël leur a infligé en Syrie, envisageraient une attaque au missile contre le site de Dimona.

Le président turc Recep Tayyip Erdogan a averti que l’initiative du chancelier autrichien Sebastian Kurz de fermer les mosquées et d’expulser les cheikhs financés par des pays étrangers allait plonger le monde dans « une guerre entre la croix et le croissant ».

Il se passe des choses graves en Syrie, que peu de media relayent, faute d’intérêt, au vu des risques encourus par les reporters sur le terrain, par calcul politique de leurs gouvernements, ou, le plus souvent, parce qu’ils ne comprennent rien à ce qui se déroule.

En réponse aux cerfs-volants molotov de Gaza, les enfants israéliens lancent des ballons plein de bonbons.

Nul ne sait encore ce que contient le plan de paix que l’administration Trump entend présenter dans les semaines à venir. La seule certitude qu’il semble possible d’avoir à son sujet est qu’il sera refusé par le Hamas et par l’Autorité Palestinienne.

En Cisjordanie, on vit la fin de règne de Mahmoud Abbas dans une atmosphère d’anarchie consommée, dans laquelle chacun veille à servir ses propres intérêts et à se placer politiquement pour la suite.

Ils sont venus pour chanter l’espoir. Un groupe de choristes israéliens d’origine yéménite se sont rendus aux Nations Unies. Ils sont venus en costume traditionnel pour souhaiter la paix en Israël et au Yémen. La plupart d’entre eux n’ont pas connu le Yémen, car depuis 1881, l’émigration des Juifs du Yémen vers la Terre sainte s’est continuée.

Le rédacteur en chef du Jewish News Syndicate, Jonathan S. Tobin, affirme que le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou « n'a rien à craindre ! » quant au plan attendu de Trump prévoyant la reconnaissance de la « Palestine » avec pour capitale Jérusalem même si normalement un tel plan « devrait être farouchement rejeté par la droite israélienne et pourrait déclencher une crise de la coalition. »

Le Hamas est une organisation terroriste islamique antisémite qui veut détruire Israël et exterminer ses habitants juifs, ce qui en fait une organisation raciste à but génocidaire. C’est aussi une organisation totalitaire, qui endoctrine et fanatise la population sous sa coupe aux fins de faire de chacun de ses administrés un assassin en puissance ou un animal sacrificiel à envoyer à l’abattoir.

Près de 1 750 hectares de terres ont brûlé alors que les Palestiniens lancent de manière répétée des dispositifs aériens chargés de combustible de l'autre côté de la frontière

Le terrorisme du Hamas et la complicité des médias. La soit disant "marche pour le retour" pacifique n'est rien d'autre qu'une opération de propagande violent à visée terroriste. Israël est en situation défensive.

En arrivant au pouvoir, le président turc Erdogan a joué la carte de l’islam modéré et démocratique. Il a graduellement érodé la démocratie et l’héritage laïque d’Atatürk. Pour atteindre ses buts, soit une réélection qui lui permettrait de rester au pouvoir jusqu’en 2029, Erdogan a eu recours à maints atouts démagogiques.

Israël et la Russie auraient signé un accord qui donne aux avions-chasseurs israéliens le « feu vert » pour frapper des cibles iraniennes en Syrie et qui spécifie également le retrait des troupes appuyées par l’Iran de la frontière syrienne avec l’Etat juif, a fait savoir le journal Asharq Al-Awsat.

Il semble loin le temps des discours triomphalistes annonçant la victoire de l’axe pro-iranien dans toute la région. C’était il y a quelques mois seulement, pourtant. L’Iran et son obligé libanais considéraient qu’ils avaient gagné la guerre en Syrie, et se félicitaient, non sans une certaine arrogance, de la formation d’un corridor chiite reliant Téhéran à la Méditerranée, en passant par l’Irak, la Syrie et le Liban. 

Des images chocs, des commentaires tronqués, des réactions déséquilibrées, ont fait des soldats d’Israël des bourreaux sanguinaires, sans prendre la peine d’analyser, d’écouter et de juger les faits qui ont conduit à cette catastrophe.

Les inventeurs du “peuple palestinien” ont pensé que présenter les choses comme une “lutte de libération nationale” serait une excellente opération de propagande. Il fallait pour cela inventer un peuple opprimé. Ce fut fait. Il fallut inventer une organisation de lutte de libération nationale du peuple inventé. Ce fut fait également.

Une demi-douzaine de pays se positionnent en mer Rouge, établissant des bases militaires en vue d’une éventuelle conflagration dans le futur.

Yahya Sinwar, chef du Hamas à Gaza, a déclaré dans une interview accordée à la chaîne télévisée libanaise Al-Mayadeen qu’avec l’aide de l’Iran, le Hamas est parvenu à développer ses capacités de manière considérable. 

C’est le Hamas, et derrière lui le Djihad islamique, qui ont envoyé des gens brûler des pneus près de la frontière de Gaza, et des manifestants servant de boucliers humains à des islamistes djihadistes se faire tuer moyennant rémunération pour les familles des morts et des blessés. 

David Friedman a été photographié auprès d'un cliché de Jérusalem mais qui a été retouché : le Dôme du Rocher et la mosquée Al-Aqsa ont disparu et ont laissé la place à une restitution d'un temple juif.

Prenons Gaza, les bonnes âmes s'émeuvent devant 56 morts ou 100, pourquoi n'y a-t-il pas le même déchainement d'émotivité face au martyre que subissent les chrétiens d'orient ? Pourquoi presque rien pour les morts qui surviennent en même temps chez les Rohingyas, fuyant la Birmanie ? Ce sont des musulmans dans un cas comme dans l'autre, mais voilà, le "criminel" n'est pas le même. 

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