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Dans le contexte de la reconnaissance par le président américain Trump, le 25 mars 2019, de la souveraineté d’Israël sur le Golan, et du 40e anniversaire des accords de paix entre Israël et l’Égypte, la presse arabe, et notamment égyptienne, a publié des articles critiquant la gestion par les Arabes et les Palestiniens du conflit avec Israël.

L’objectif visé, parmi d’autres, était une usine de fabrication de missiles sol-sol de conception iranienne, située à 1.2km au nord de l’extrémité de la ville de Masyaf comptant environ 35 000 habitants.

"Le président Poutine a cette force de rapatrier le corps d'Elie Cohen, mais la question est de savoir quel est le prix qu'Israël devra payer?" Yoni Ben Menahem, journaliste spécialiste du Moyen-Orient 

Selon Tasnim, les pluies diluviennes et les inondations sont dues à une manipulation du climat par les ennemis de l’Iran – allusion aux Etats-Unis et à Israël – qui cause un changement drastique du climat et des inondations sans précédent dans l’histoire du pays.

La joie a envahi les rues des villes d’Algérie, après l’annonce tant attendue : Bouteflika renonce à briguer un cinquième mandat. C’est une grande victoire pour le mouvement de masse qui s’est développé depuis le milieu du mois de février.

Des informations quant au contenu du Plan Trump ont été révélées par le quotidien libanais Al-Akhbar, indiquant que le plan préparé depuis deux ans par l’Administration Trump prévoit une implication significative de pays arabes dans la solution du « problème palestinien » qu’ils ont finalement créé de toutes pièces depuis 1948.

Continuant la tradition diplomatique anti-israélienne française mise en place au temps du Général de Gaulle, le trop célèbre auteur des propos antisémites qualifiant les Juifs de “peuple dominateur et sûr de lui”, se pliant à la “politique arabe de la France” mise en œuvre au Quai d’Orsay depuis des décennies, Emmanuel Macron a pris position contre la reconnaissance par les Etats-Unis du plateau du Golan comme territoire israélien.

L e 30e Sommet arabe de Tunis n’a pas dérogé à la règle d’être une rencontre entre frères vivant nombre de différends, pour ne pas dire ennemis. Le soutien classique à la Palestine et à la Libye mais, point d’entente sur la Syrie.

Je ne suis ni juif, ni musulman, seulement né chrétien et de philosophie bouddhiste attaché viscéralement aux principes de vie et de liberté de conscience. J’ai des amis en Israël, mais aussi en Palestine, en Égypte, au Liban, en Syrie; comme organisateur, j’ai participé activement aux conférences de Genève et de Lausanne pour la paix au Liban 

Il s’agit d’une attaque majeure ayant ciblé plusieurs objectifs distincts lors de plusieurs vagues d’assaut. Nous savons avec certitude que l’aéroport militaire de Nayreb, à l’est d’Alep, principalement utilisé pour acheminer du matériel militaire et des soldats depuis l’Iran a été atteint, de même que des entrepôts d’armes juste au nord de cette installation. 

Les dirigeants arabes et musulmans ont souligné la responsabilité qui incombe à l’Occident et à la communauté internationale de protéger les musulmans contre le terrorisme et de combattre l’extrême-droite ainsi que le racisme et l’islamophobie qu’elle répand.

Téhéran en a donné l’ordre au Jihad Islamique qui est son organisation supplétive dans la bande de Gaza. Ce haut responsable a précisé que les Iraniens étaient « passés au-dessus » de la direction du Hamas en s’adressant directement au Jihad Islamique.

Faute de prévoir des frappes de nature à faire taire les lanceurs de roquettes djihadistes, il est préférable de ne pas déclencher d’opération militaire.

Le Hamas, qui régit la bande de Gaza (mais ne la régit pas entièrement, car le Djihad islamique palestinien peut agir sans que le Hamas ait apparemment les moyens de l’en empêcher), obéit aux ordres de ceux qui le financent. Aujourd’hui, c’est essentiellement l’Iran et, secondairement, le Qatar.

Mouallem a passé en revue les dimensions du complot tramé contre la Syrie et le rôle de certains pays régionaux et occidentaux bien connus par leur soutien aux organisations terroristes, soulignant la nécessité d’exercer des pressions sur ces pays pour arrêter leur soutien.

Le jeune joueur d’échecs de l’équipe nationale iranienne, Aryan Gholami, qui a refusé d’affronter un rival de l’entité sioniste lors d’un récent tournoi international, a rencontré aujourd’hui, avec sa famille, le Guide de la Révolution islamique, l’ayatollah Khamenei. Le Guide l’a félicité pour ce qu’il a fait.

"Le président Sissi n’a pas seulement parlé avec affection du vibrant passé de la communauté juive en Egypte, il a également dit que s’il y avait une renaissance ce cette communauté en Egypte, le gouvernement fournirait les infrastructures religieuses nécessaires", a indiqué l’Américain au Jerusalem Post.

À plusieurs reprises Donald Trump a exprimé sa volonté de conclure « l'accord du siècle » qui permettrait de résoudre le conflit israélo-palestinien. Alors que les intentions précises du président demeurent un secret bien gardé, il arrive que M. Trump et ses collaborateurs laissent filtrer des indices sur la question. Et d'après ce qu'on peut en dire, ça ne s'annonce pas bien.

Jared Kushner, le gendre et conseiller du président américain Donald Trump, a déclaré lundi à Sky News Arabia que le plan de paix que prépare l’administration américaine depuis plusieurs mois va aborder à tous les problèmes essentiels du conflit israélo-palestinien, y compris la question des frontières.

Au Proche-Orient, c’est le sionisme et plus largement la politique israélienne qui ont fait le lit de l’antisémitisme.

La minorité des pays européens qui souhaite, au contraire, maintenir un lien "constructif" avec l'Iran – principalement l'Allemagne, la France et le Royaume-Uni – avaient fait le choix de ne pas envoyer leurs principaux dirigeants à la conférence et n'y étaient représentés que par des diplomates de moindre niveau

L’Administration civile de Judée-Samarie a publié les chiffres officiels sur le nombre d’Arabes palestiniens soignés dans les hôpitaux israéliens: il s’agit de 127.000 personnes dont 97.000 de Judée-Samarie et 30.000 de la bande de Gaza!

Depuis que le président américain Trump a décidé de se retirer de l’accord des grandes puissances (accord des 5+1) avec l’Iran au sujet du gel des développements nucléaires iraniens pour une durée de dix ans, les analystes européens rivalisent d’acrobaties dans le but de trouver des moyens de contourner l’embargo américain. 

Lors du sommet international sur le Moyen-Orient qui se tient à Varsovie, et dont le sujte principal à l’ordre du jour est l’Iran, le Premier ministre Binyamin Netanyahou a salué l’unité de vues entre Israël et les pays arabes modérés de la région: “Lorsque les Juifs et les Arabes sont tellement d’accord sur une question, il vaut mieux les écouter”.

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