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moyen-orient

En Iran, pays aux mains d'un régime islamiste depuis 1979, un phénomène étonnant sur le plan religieux est en train de se produire à savoir, l'épanouissement du christianisme, un phénomène dont l'impact pourrait être considérable.

En janvier 1991, à la veille de la guerre du Koweït, le chef de la diplomatie de Saddam Hussein, Tarek Aziz, rencontra le Secrétaire d'État américain, James Baker, et lui tint des propos significatifs. Selon la transcription d'un document irakien, il déclara : « Il n'est jamais arrivé qu'un régime politique [arabe] entre en guerre avec Israël ou les États-Unis et subisse une défaite politique.

On peut dire que l’élection à la Présidence iranienne de Ebrahim Raïssi a été téléguidée, tellement son mentor, le Guide Suprême Ali Khamenei y a joué un rôle majeur. L’homme, qui porte le turban noir ides descendants du prophète a des compétences religieuses incertaines. Il a exercé le métier de juge et est accusé de crimes contre l’humanité.

Les attentes qui étaient les miennes concernaient principalement l'objectivité du chercheur. On ne s'attend pas à trouver un tract musulman chiite plein de dévotion. C'est pourtant ce qui caractérise l'ouvrage intitulé The Prophet's Heir [L'Héritier du prophète], une apologie de la figure clé du chiisme, l'un des personnages les plus importants de l'histoire islamique et le cousin et gendre de Mahomet, le prophète de l'Islam.

Le 8 mai 2019, l'Iran publiait une déclaration selon laquelle il cessait d'appliquer, à compter de cette date, certaines mesures prises au titre de l'accord PAGC (Plan d'Action Global Commun) du 14 juillet 2015, traduction en français de l'acronyme JCPoA (Joint Comprehensive Plan of Action ). Lequel accord était censé contrôler le programme nucléaire iranien en échange d'une levée des sanctions économiques appliquées à l'Iran.

Le Hamas clame à qui veut l’entendre qu’il a « gagné » la guerre contre Israël, suscitant en retour lazzis et moqueries. Une grande partie du monde arabe est consciente que le seul intérêt du Hamas est de plaire aux mollahs afin de leur soutirer toujours plus d’argent et d’armes.

Selon une enquête d'opinion israélienne, les Israéliens font preuve d'une attitude ambivalente : ils veulent remporter la victoire sur le Hamas mais ne désirent pas en payer le prix. Ce résultat souligne la nécessité d'un leadership intellectuel et politique capable d'éduquer la population sur cette question complexe.

Les photos d'un tunnel creusé par le groupe terroriste Hamas sous une école de Gaza, gérée par l'UNWRA, l'Office de secours et de travaux des Nations Unies pour les réfugiés palestiniens, ont été publiées jeudi par la chaîne de télévision israélienne Kan .

Abderrahim Bayoud, le président de la mission diplomatique marocaine en Israël, a visité la ville d’Afula, il y a quelques jours, décorée de drapeaux du Maroc, à l’occasion de cette visite.

Matthias Schmale, directeur de l’Unrwa à Gaza et son adjoint ont été forcés de quitter le territoire pour « crime » d’avoir dit la vérité : lors d’une interview donnée lors de l’Opération antiterroriste « Gardiens des Murailles », Matthias Schmale avait déclaré que Tsahal n’avait pratiquement pas touché de cibles civiles grâce à la précision de ses attaques.

Un déferlement de haine, d'intolérance et de racisme en non stop comme si une machine manipulait savamment tout cela . On dirait que les hommes sont devenus tous fous , raliés obligatoirement au "à qui mieux mieux" pour déverser sa haine de l'autre avec un fourbe semblant de cause unique subitement retrouvée.

Lorsque vous sortez de la vieille ville de Jérusalem par la porte de Damas sur la route 1, vous apercevez sur le côté droit de la route une zone de développement massif d'hôtels touristiques, et sur le côté gauche la zone ultra-orthodoxe de Meah Shearim. Un peu plus loin sur la route, vous voyez l'entrée de Sheikh Jarrah.

Il semble bien que le Hamas ait cherché à tirer profit d'un faux pas de Mahmoud Abbas (qui a convoqué des élections législatives avant de les annuler) dans le but de renforcer sa popularité en Cisjordanie. Il y a également d'autres facteurs probables comme le fait d'exploiter un problème local d'ordre immobilier à Jérusalem, le fait de vouloir tester l'administration Biden, tirer profit de l'incertitude politique en Israël et obtenir les faveurs de Téhéran.

Le feu a été mis aux poudres avec l’annulation des élections palestiniennes par Mahmoud ABBAS qui craignait de les perdre. Cela a entrainé des manifestations sur le Mont du Temple, au moment où les Israéliens fêtaient le 54ème anniversaire de la réunification de Jérusalem. Les extrémistes des deux bords se sont alors réveillés pour alimenter la violence.

Le magazine Forbes a révélé le 11 novembre dernier que le Hamas est la deuxième organisation terroriste la plus riche au monde. Elle est devancée par l'Etat islamique. Ses ressources proviennent essentiellement des aides internationales et des ONG.

Comment mener une guerre dans un environnement civil ? Contre 20 000 terroristes surarmés et cachés dans des interminables tunnels de plusieurs dizaines de kilomètres, creusés sous des mosquées, des écoles, des bâtiments de l’ONU et des hôpitaux ? Comment éviter que des femmes et enfants ne servent pas de boucliers humains ?

Les liaisons politiques et économiques entre les deux pays durant la crise Israël-Gaza n’ont pas été affectées. C’est un miracle. Il y a eu une sorte « d’arrêt sur image » durant 5 jours. Chacun retenait son souffle. Ceux qui souhaitaient un arrêt des relations binationales n’ont pas gagné.

Le conflit entre Israël et le Hamas a produit un nouveau phénomène, celui d'émeutes à grande échelle de la part des citoyens arabes d'Israël. Êtes-vous d'accord avec l'analyse que faisait l'historien israélien Benny Morris en 2004 et selon laquelle les Arabes israéliens sont une « bombe à retardement » ?

Lina Murr Nehmé montre que le slogan "Khaybar, Khaybar, ya yahoud" est beaucoup plus inquiétant qu'il n'en a l'air. On l'entend dans les manifestations les plus violentes. Et il n'est pas du tout politique…

Le Hamas ne fait pas le poids. Par sa puissance de destruction, Tsahal pourrait rapidement et à moindres coûts, venir à bout de l'organisation terroriste. Mais une chose bloque un tel scénario : la nécessité pour les Israéliens de minimiser les pertes civiles. Et cela, le Hamas en est parfaitement conscient.

C'est vrai, il y a dans notre conflit face aux palestiniens une totale disproportion.
D'abord, évidemment, une disproportion incalculable dans la haine à l'égard de l'autre.
Les gens du Hamas, mais aussi d'une proportion considérable de la population palestinienne rêve de nous anéantir, femmes , hommes et enfants. ce qui se traduit par des envois de roquettes n'importe où , en priant sans doute que leurs missiles tuent un maximum de juifs.

Pendant la nuit, Tsahal a déplacé ses forces vers la clôture et a diffusé un vague message aux médias étrangers – « Des forces terrestres attaquent la bande de Gaza ».

Chaque guerre a une image qui la symbolise, et sauf à faire preuve d’immodestie inhabituelle dans mon cas, je l’ai trouvée. En fait, ce n’est pas une image, c’est une vidéo, celle d’un journaliste sur un toit

Il y a deux semaines, les forces turques ont lancé un assaut militaire dans la région de Duhok, au Kurdistan irakien. Les villageois ont été contraints de "fuir par la terreur" devant une pluie de bombes. Ce n'était que le dernier bombardement des Kurdes assiégés par la Turquie, membre de l'OTAN et alliée occidentale. Il n'y a pas eu de tendance en ligne. Il n'y a pas eu de protestations bruyantes à Londres ou à New York. Les Turcs n'ont pas été décrits dans les cercles d'influence comme des tueurs fous et assoiffés de sang.

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