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Obama

Envoyé par felixabenhaim 
Re: Obama
13 novembre 2009, 01:14
gil009,


bien entendu, que je ne suis pas dupe , mais il est bon , à cette

espèce, (des uns et des autres, d'ailleurs), de leur mettre "leur"

nez dessus -

Depuis l'échec des "accords d'oslo" , la gauche a une incapacité à

"reconnaître" ses Erreurs, son électorat a mis du temps à les

"désavouer". Ils l'ont clairement manifestè aux dernières élections,

ils se sont "fait" entendre, en leur infligeant un cinglant désaveu,

et comme pour toutes les "gauches du monde", on le voit en France,

notamment , et ailleurs aussi, la gauche "n'assume" pas et ne "digère"

pas sa DEFAITE.

Or, en Israel, on voit donc ces "irréductibles" , pour se "situer"

politiquement , "enjoignent" le pas à nos ennemis les plus féroces.

Pour autant, dans une démocratie comme celle d'Israel, et dans la

"culture juive" (ne dit-on pas : 2 Juifs = 3 opinions ?) , nous

acceptons la "diversité" d'opinions , mais il y a une limite à

respecter , surtout dans un contexte "mondial" de haine "activiste"

islamiste et dans ce "bateau" se "bousculent" tous les antisémites

"refoulés"ou anti-sionistes comme on a coutume de nos jours , à

"habiller" l'antisémitisme.
Re: Obama
13 novembre 2009, 02:21
Tu crois ? le préfixe Gil ? cela me décevrait car je n'ai personnellement jamais eu de véritable problème avec lui, mais bon....
Re: Obama
13 novembre 2009, 02:27
Vous voulez que je vous dise quelque chose, l'Exilée et Gil009 ??
Charly est juif, comme vous, et comme vous, il ne supporte pas les antisémites ! et je crois qu'il me connaît bien et s'il soupçonnait le moindre antisémitisme chez moi, il ne me donnerait certainement pas l'amitié qu'il me donne. Et d'autres sont dans le même cas...
Réfléchissez donc un peu avant d'accuser !!
Re: Obama
13 novembre 2009, 04:30
Et Obama,hors ce délire paranoiaque,tu pourrais en parler si tu sais de qui l'on parle evidemment.Mais je t'offre une chanson qui correspond à ta vie et quand le moment viendra à la place du Kaddish

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Re: Obama
13 novembre 2009, 04:51
gil009,


le niveau de "vulgarité" franchi par cet energumène est absolument

regrettable - Nous avons là , une "image" pas très flatteuse de sa

personne.

Ce site , devrait nous unir autour d'un pays qui nous est cher Israel,

et non , à "cristalliser" la haine qui est 'l'apanage" de certains,

qui sont "atteints" d'un "mal-être" avec leur identité juive.

Que ces gens-là aient la "décence" si, ils n'ont pas la "solidarité"

avec leur peuple, de respecter ceux qui n'ont aucun problème avec leur

appartenance à celui-ci .

Je crois que la meilleure solution est "d'ignorer" ces individus qui

n'ont que la "vulgarité" comme réponse à ce qui devrait être un

échange d'idées entre gens "courtois".

cordialement,
Re: Obama
13 novembre 2009, 05:57
Ces deux personnes ne sont pas les seules,ma chère Exilée,à répandre sur les sites juifs les pires contre-vérités qui depuis 1948 font tant de tort à notre petit pays,et qui finissent par des s'en prendre à leurs contradicteurs pour les qualifier de racistes entre autres amabilités.
C'est vrai qu'il vaut mieux les ignorer quand ils insultent et laissent leur véritable nature de caniveau prendre le dessus.

Bon shabbat à tous.
Re: Obama
14 novembre 2009, 10:48
Gil009,

Shavouah Tov,

Mon cher Gil, nous sommes confrontés à une situation générale difficile

depuis l'élection d'obama, qui ne fait aucun "mystère" de sa haine pour

ISRAEL, et cette nouvelle "déviation" de la politique américaine

encourage d'autres pays, notamment européens, à lui "emboîter" le pas.

ISRAEL, depuis sa création , a traversé beaucoup d'épreuves, et grâce

à D. s'en est toujours sorti , souvent même RENFORCé, celle-ci, sera

une de "plus".

Le plus important à mon sens, qui est VITAL, c'est que nous restions

tous UNIS aux côtés d'ISRAEL, car quel que soit notre bord idéologique,

ISRAEL sera notre garantie de survie et notre DEFENSEUR.
Re: Obama
14 novembre 2009, 11:57
Ma chère Exilée
Les Israeliens qui se présentent comme pacifiques sont prêts à toutes les compromissions non pas au nom de l'humanisme et du respect de nos énemis déclarés,mais dans l'espoir de sauvegarder les avantages du matérialisme et de la course effrénée aux plaisirs et à l'égoïsme agnostique.
Que Sdérot soit bombardé ou un automobiliste soit blessé par des pierres sur la route ne semble pas les troubler,au contraire ils les considèrent comme coupable de provocation.Espérant,en les condamnant,ce qu'ils ne verront jamais,une cohabitation pacifique avec les arabes,préservant leur liberté et leurs droits .
La politique d'Obama,dont tout le monde se rend compte aujourd'hui qu'elle
avait comme objectif,la réalisation d'un axe americano -musulman,ne pouvait qu'être préjudiciable à notre indépendance.Le fait qu'il s'oppose à la qualification de terrorisme islamiste du massacre perpetré au Texas,en est une preuve.
Il est heureux que la constitution américaine restreint le champ de ses prérogatives.
Quant à nous,il en faut plus que les errements politiques des dirigeants du monde pour nous décourager aujourd'hui moins qu'hier !
Re: Obama
14 novembre 2009, 12:47
Mon cher Gil,

A partir du moment où, le JUIF DEVIENT AUTONOME DANS SA FAçON DE SE

DEFENDRE, il devient "l'agresseur", et cela , "DEDOUANE" la gauche

comme la droite, de la "CULPABILITé DE LA SHOA".

Les VALEURS réelles sont BAFOUEES, la société est VIDE, et

malheureusement, "atteint" également certaines personnes de la

société Israélienne, qui ne "s'appuient" plus sur les "FONDAMENTAUX"

de l'ESPRIT JUIF" , de là provient ce "VIDE" .

Mais , je garde ma confiance dans mon peuple , et les "amnésiques de

leur Patrimoine historique" retrouveront leur MEMOIRE & leur EQUILIBRE,

en temps voulu.

On a vu beaucoup de cas de "retour aux sources" , j'en veux pour

exemple, le célèbre BENNO LEVY z.lb, tout ça pour dire , que notre

peuple possède beaucoup de "ressources".

Quant à obama, il "passera" comme est "passé" le sinistre jimmy carter

qu'obama a, d'ailleurs , "surpassé" dans sa haine pour ISRAEL,espérons

que les "dégâts" seront limités jusqu'au terme de son mandat.

Je me réjouis que NETHANYAOU soit aux "commandes" , pour lui

"signifier" les limites de son "diktat" !!!.
LE DEMANTELEMENT DE L'AMERIQUE.....par THOMAS SOWELL
15 novembre 2009, 11:41
VENDREDI 6 NOVEMBRE 2009
Le démantèlement de l'Amérique par Thomas Sowell


Par Thomas Sowell

Le 27 octobre 2009

Auriez-vous pensé seulement un an plus tôt, qu'un "tsar" non élu, non membre du gouvernement, non confirmé par le Sénat, simplement recruté par le Président, parmi de nombreux autres "tsars" puisse arbitrairement réduire le salaire de cadres du privé de 50%, voire de 90% ?

Auriez-vous pensé qu'un autre "tsar" pourrait restreindre la liberté de parole à la radio ? Qu'il y aurait des plans pour subventionner et sauver des journaux – c'est-à-dire établir une situation telle que la survie des journaux dépendra de ce qu'ils publient ? Pouvez-vous imaginez un seul instant qu'on aurait une panoplie d'experts décidant de qui recevrait des traitements médicaux pour lui sauver la vie? C'est effrayant du point de vue médical, mais aussi du point de vue de la liberté. Si votre mère a besoin d'une opération du cœur, ou si un enfant est dans une situation médicale désespérée, quelle autonomie aurez-vous pour discuter avec un expert de l'administration qui a le pouvoir de vie et de mort sur les êtres qui vous sont chers ?

Est-ce que les questions posées décrivent notre Amérique ?

Que pensez-vous d'une agence fédérale qui distribue de la littérature aux écoliers pour qu'ils s'alignent sur les idées du Président ? Les obliger à chanter ses louanges ne semble pas suffisant, apparemment. Que restera-t-il de l'Amérique si le gouvernement fédéral continue dans cette voie ? Le Président Obama a déjà émis l'idée d'une police nationale, une chose dont on s'est passé avec bonheur pendant deux siècles. Nous avons déjà des forces de police locales dans tout le pays et des forces militaires de défense, aussi bien que le FBI, pour les délits fédéraux, et la Garde Nationale pour les urgences locales. Quel serait le rôle d'une police nationale créée par Barack Obama, dont les chefs seraient nommés par lui ? Cela ressemblerait plutôt aux Chemises Brunes de régimes dictatoriaux et cela n'a rien d'Américain.

Jusqu'où ira le Président dépend évidemment de la résistance qu'il peut rencontrer. Mais la direction vers laquelle il veut nous entraîner est plus éloquente que tout discours ou annonce de médias. Barack Obama n'a pas dit seulement qu'il envisageait de "changer les Etats-Unis d'Amérique", les gens qui l'entourent depuis des années, et qu'il a choisis, ont exprimé clairement leur hostilité aux valeurs, aux principes et à la population de ce pays.

Jeremiah Wright l'a exprimé par ces mots: "Maudite soit l'Amérique!". Bill Ayers l'a dit avec des bombes. Les activistes cinglés de certaines communautés l'ont exprimé par leur mépris des Droits des autres citoyens. Parmi les "tsars" recrutés par le président Obama, il y a des gens qui ont loué des dictateurs ennemis comme Mao Tse Toung, d'autres qui ont considéré les écoles publiques comme un lieu de promotion de certaines pratiques sexuelles, contraires aux valeurs de la plupart des Américains, auprès d'enfants sans défense.

Ceux qui disent que l'administration Obama aurait dû mieux enquêter avant de recruter ces "tsars" n'y sont pas du tout. Barack Obama savait parfaitement ce qu'il faisait : il connaissait depuis longtemps les personnes recrutées, ses amis d'avant la présidence. Bien au contraire, sachant ce qu'il faisait, souhaitant introduire les modèles de sa vie antérieure, c'est-à-dire des gens qui rejettent les valeurs américaines, et qui ont du ressentiment contre les Américains, notamment ceux qui ont réussi, et qui sont opposés à l'influence américaine dans le monde.

D'un autre côté, il aurait fait un mauvais calcul, s'il n'avait pas pensé qu'on découvrirait qui étaient ces "tsars furtifs".

En fait, c'est grâce à la chaîne de TV Fox News qu'on a pu les découvrir, et aujourd'hui cette chaîne est en tête de la liste de celles à abattre par l'Administration Obama.

Promouvoir par la force deux lois de 1000 pages chacune, au Congrès, dès la première année de présidence, est l'image parfaite de ce mépris des valeurs et des traditions américaines. Ces lois sont difficiles à lire et n'ont pas eu le temps d'être discutées.

Les gens commencent à se réveiller. La grande question de cette génération est de savoir s'il y aura assez de monde pour se réveiller à temps, avant que l'Amérique ne soit démolie, morceau par morceau.

Ici, je vais vous donner l'exemple d'une situation que vous avez peut-être subie vous-même. Il y a de nombreuses années dans un milieu universitaire, un programme expérimental devait être voté par la faculté pour être adopté en permanence. Je me suis levé pour dire que ceux qui devaient voter ne pouvaient pas savoir si le programme était bon ou mauvais et que l'information donnée était trop vague. Je suggérai qu'on obtienne plus d'informations avant de voter. Le responsable du programme s'est immédiatement levé pour s'indigner avec sarcasme de mon ignorance et les gens se sont levés pour l’ovationner.

Après le vote, j'ai dit à un collègue que j'étais étonné et confondu par cette réponse de l'auditoire à ma demande d'une plus ample information. Il m'a répondu:

« Tom ! Tu ne comprends pas. Ces gens-là ont besoin de croire en cet homme. Ils ont tellement investi d’espoir et de foi en lui, qu'ils ne peuvent pas te laisser émettre des doutes. »

Des années plus tard et à des centaines de kilomètres de distance, j'ai appris que mes craintes quant à ce programme étaient encore loin de la réalité, qui incluait une activité criminelle.

Ce souvenir m'est revenu maintes fois depuis que j'observe les agissements de l'administration Obama et les réactions agressives des inconditionnels de sa politique envers ceux qui la critiquent ou simplement posent des questions. Ces réactions ne comportent presque jamais des arguments factuels ou logiques. Par il y a de l'indignation, des accusations de mauvaise foi, et même des accusations de racisme.

Ici aussi, tout se passe comme si tant de gens avaient investi tant d’espoir et de confiance en B. H. Obama, qu’il leur était intolérable que quelqu’un puisse émettre des doutes qui menaceraient leur château de cartes. Parmi les emails et les courriers pathétiques que je reçois il y en a qui me demandent pourquoi je n’écris pas plus positivement sur Obama, ou pourquoi je ne lui « laisse pas le bénéfice du doute ».

Personne et pas même le président des Etats-Unis ne peut être jugé positivement avant d'avoir eu des résultats positifs. Cette mentalité laxiste du "droit de faire" sans objection a tué notre croyance en l'effort, car on ne peut gagner le respect, l'honneur ou l'acceptation que par l'effort et le résultat. On ne peut pas faire une confiance aveugle, notamment au Président des Etats-Unis, lorsque ses actes mettent en péril les droits de 300 millions d'Américains dans le pays, et la sécurité d'une nation dans la jungle internationale, alors que l'arme nucléaire risque de tomber, incessamment sous peu, entre les mains de fanatiques suicidaires. Faut-il attendre un nuage atomique au-dessus d'une ville américaine pour que cela soit clair ? Le 11/9 ne suffisait-il pas ?

Quand un Président des Etats-Unis commence à démolir son pays de l'intérieur et l'expose à ses ennemis à l'extérieur, il n'est plus temps de se préoccuper de son image publique. Le Président a ses propres agents de presse pour cela.

Sur le plan international, Mr Obama a commis toutes les erreurs faites par les démocraties dans les années 30 - erreurs qui ont incité Hitler à déclencher la Seconde Guerre mondiale, qu'il a failli gagner. Au cœur de ces erreurs se trouvent les tentatives de conciliation avec ses ennemis, en jetant ses amis aux loups. L'administration Obama a déjà fait cela en reniant les engagements de notre pays de placer un bouclier de défense anti-missiles en Europe de l'Est et en faisant traîner, avec nonchalance, la décision d'arrêter la course à l'armement nucléaire de l'Iran. Et cela signifie que, pour des raisons pratiques, on jette Israël aux loups. Les pays du monde qui doivent veiller à leur survie nationale avant tout ont compris qu'Obama a considérablement réduit la confiance qu'on peut avoir dans les engagements américains.

Ainsi l'Irak, par exemple, sait que l'Iran sera toujours son voisin, après le départ des Américains. De même, la Corée du Sud sait que la Corée du Nord est à sa porte en permanence ; mais sait-on quand l'administration Obama aura la brillante idée de déménager ? Les pays d'Amérique latine savent qu'Hugo Chavez a lié le Venezuela à l'Iran. Oseront-ils s'allier avec des Etats-Unis non fiables ? Ou préfèreront-ils rejoindre nos ennemis contre nous?

La question est trop sérieuse pour qu'on se réfugie dans un silence gêné.
Re: LE DEMANTELEMENT DE L'AMERIQUE.....par THOMAS SOWELL
16 novembre 2009, 03:10
Article dénué d'argument et n'hésitant pas à utiliser des arguments godwinesque.... Ce qui en fait des non arguments.
Re: LE DEMANTELEMENT DE L'AMERIQUE.....par THOMAS SOWELL
16 novembre 2009, 03:29
"votre" avis n'est pas REQUIS , vous êtes IMPERMEABLE à l'information OBJECTIVE qui contrecarre votre théorie haineuse envers tout ce qui DECRYPTE les MENSONGES répétés à l'encontre d'Israel .

Il y aura de plus en plus d'articles dans le même sens que celui de cet excellent THOMAS SOWELL , les Américains n'ont plus de Voile devant les yeux concernant hussein obama.
Re: Obama
16 novembre 2009, 11:01
essayez le traducteur google ! meme si c'est mauvais! le but de cette femme extraordinaire sera marqué. Elle a tout compris !

anglophones !! vous allez vous régaler.

Anne Wortham


Anne Wortham is Associate Professor of Sociology at Illinois State University and continuing Visiting Scholar at Stanford University 's Hoover Institution.. She is a member of the American Sociological Association and the American Philosophical Association. She has been a John M. Olin Foundation Faculty Fellow, and honored as a Distinguished Alumni of the Year by the National Association for Equal Opportunity in Higher Education.

In fall 1988 she was one of a select group of intellectuals who were featured in Bill Moyer's television series, "A World of Ideas." The transcript of her conversation with Moyers has been published in his book, A World of Ideas.

Dr. Wortham is author of "The Other Side of Racism: A Philosophical Study of Black Race Consciousness" which analyzes how race consciousness is transformed into political strategies and policy issues.

She has published numerous articles on the implications of individual rights for civil rights policy, and is currently writing a book on theories of social and cultural marginality.

Recently she has published articles on the significance of multiculturalism and Afrocentricism in education, the politics of victimization and the social and political impact of political correctness. Shortly after an interview in 2004, she was awarded tenure.

This article (below) by her is something worth your time to read.

Fellow Americans,

Please know: I am Black; I grew up in the segregated South. I did not vote for Barack Obama; I wrote in Ron Paul's name as my choice for president. Most importantly, I am not race conscious. I do not require a Black president to know that I am a person of worth and that life is worth living. I do not require a Black president to love the ideal of America .

I cannot join you in your celebration. I feel no elation. There is no smile on my face. I am not jumping with joy. There are no tears of triumph in my eyes. For such emotions and behavior to come from me, I would have to deny all that I know about the requirements of human flourishing and survival - all that I know about the history of the United States of America , all that I know about American race relations, and all that I know about Barack Obama as a politician. I would have to deny the nature of the "change" that Obama asserts has come to America .

Most importantly, I would have to abnegate my certain understanding that you have chosen to sprint down the road to serfdom that we have been on for over a century. I would have to pretend that individual liberty has no value for the success of a human life. I would have to evade your rejection of the slender reed of capitalism on which your success and mine depends. I would have to think it somehow rational that 94 percent of the 12 million Blacks in this country voted for a man because he looks like them (that Blacks are permitted to play the race card), and that they were joined by self-declared "progressive" whites who voted for him because he doesn't look like them.

I would have to wipe my mind clean of all that I know about the kind of people who have advised and taught Barack Obama and will fill posts in his administration - political intellectuals like my former colleagues at the Harvard University 's Kennedy School of Government.

I would have to believe that "fairness" is the equivalent of justice. I would have to believe that a man who asks me to "go forward in a new spirit of service, in a new service of sacrifice" is speaking in my interest. I would have to accept the premise of a man that economic prosperity comes from the "bottom up," and who arrogantly believes that he can will it into existence by the use of government force. I would have to admire a man who thinks the standard of living of the masses can be improved by destroying the most productive and the generators of wealth.

Finally, Americans, I would have to erase from my consciousness the scene of 125,000 screaming, crying, cheering people in Grant Park, Chicago irrationally chanting "Yes We Can!" I would have to wipe all memory of all the times I have heard politicians, pundits, journalists, editorialists, bloggers and intellectuals declare that capitalism is dead - and no one, including especially Alan Greenspan, objected to their assumption that the particular version of the anti-capitalistic mentality that they want to replace with their own version of anti-capitalism is anything remotely equivalent to capitalism.

So you have made history, Americans. You and your children have elected a Black man to the office of the president of the United States , the wounded giant of the world. The battle between John Wayne and Jane Fonda is over - and Fonda won. Eugene McCarthy and George McGovern must be very happy men. Jimmy Carter, too. And the Kennedys have at last gotten their Kennedy look-a-like. The self-righteous welfare statists in the suburbs can feel warm moments of satisfaction for having elected a Black person.

So, toast yourselves, 60s countercultural radicals, 80s yuppies and 90s bourgeois bohemians. Toast yourselves, Black America. Shout your glee, Harvard, Princeton , Yale, Duke, Stanford and Berkeley. You have elected not an individual who is qualified to be president, but a Black man who, like the pragmatist Franklin Roosevelt, promises to - Do Something! You now have someone who has picked up the baton of Lyndon Johnson's Great Society. But you have also foolishly traded your freedom and mine - what little there is left - for the chance to feel good.

There is nothing in me that can share your happy obliviousness.
God Help Us all...
Re: Obama
16 novembre 2009, 12:07
C'est bien! En Chine, Obama a eu le courage de parler des droits de l'homme, de la liberté de presse et de manifester pour tous (comprenez pour les musulmans de Chine). (Sarkozy n'a pas osé). Mais je me demande bien pourquoi il ne l'a pas fait devant le parterre de musulmans au Caire.
Reconfused smiley'IL FALLAIT ENCORE DOUTER DE LA HAINE D'OBAMA ENVERS ISRAEL !!!!!!!
27 décembre 2009, 02:19
Obama : un ennemi d’Israël



dimanche 29 novembre 2009
source tongue sticking out smileyar Guy Millière © Metula News Agency

La cause est entendue depuis longtemps. Obama est un ennemi d’Israël. La cause était entendue, en fait, bien avant que l’actuel pensionnaire de la Maison Blanche n’ait été élu. Je n’ai pas été du tout le seul à le dire alors ; je me suis trouvé en une compagnie qui incluait Norman Podhoretz, David Horowitz, Daniel Pipes, Bill Kristol ou Elliott Abrams, pour ne citer que quelques noms.

Certains entendaient qu’on accorde à Obama le bénéfice du doute, et considéraient qu’il pouvait avoir fréquenté des antisémites, des ultragauchistes, adeptes de la violence, et des « pro-palestiniens » radicaux pendant plus de vingt ans et changer d’orientation après avoir prêté serment sur la Bible : on peut espérer pour leur salubrité mentale ou leur intégrité intellectuelle qu’ils ont changé d’avis.

S’ils ne le font pas, il deviendra nécessaire de les classer dans la cohorte des adeptes du mensonge et de l’aveuglement volontaire.

Obama est un ennemi d’Israël, donc. Il ne peut pas le manifester ouvertement, explicitement, de manière tranchée, et doit utiliser des circonlocutions et des détours pour donner cours à son inimitié.

Il ne peut dire sans détour qu’il souhaite la disparition d’Israël, et doit adopter un projet flexible, par étapes. Il ne peut pas heurter de front l’ensemble de la classe politique israélienne et doit tenter d’y trouver des alliés sur qui s’appuyer. Il ne peut pas, non plus, dire tout ce qu’il pense, aux représentants de la communauté juive américaine, sous peine que celle-ci ne se sente insultée. Mais il avance ses pions.

En moins d’un an, les actes d’hostilité d’Obama au détriment de l’Etat hébreu ont été si nombreux, qu’en dresser l’inventaire serait très long. On n’en citera ici que quelques-uns.

* Traitement insultant des dirigeants israéliens en visite à la Maison Blanche : de l’accueil de Shimon Peres par la porte de service, comme s’il s’agissait d’un domestique, à la visite glacée accordée voici peu à Netanyahu, reçu, très tard, par la porte de service, encore, avec interdiction des photographes et cameramen et refus de la moindre conférence de presse commune.

* Promotion d’un lobby juif américain anti-israélien, censé entraver l’action de l’AIPAC, appelé J Street (les dirigeants de J Street se disent « pro-israéliens », bien sûr, mais leurs positions sont aussi « pro-israéliennes » que celles du Council on American-Islamic Relations).

* Discours incriminant Israël comme responsable de tous les blocages et de toutes les difficultés présents au Proche-Orient, en raison d’activités de « colonisation » qui, si on suit le regard d’Obama, pourraient mener à considérer la seule présence de Juifs au Proche-Orient comme une activité « coloniale ».

* Autres discours reprenant en compte des falsifications de l’histoire d’Israël, et recourant à des comparaisons insultantes, destinées à renforcer la propagande anti-israélienne : comparaisons d’Israël à l’Afrique du Sud de l’ère de l’apartheid, ou au Sud esclavagiste d’avant la guerre de Sécession, par exemple.

* Messages très ambigus transmis à l’Autorité Palestinienne, incitant les dirigeants de celle-ci à des attitudes de plus en plus extrémistes, ayant abouti, ces derniers jours, aux propos de Salam Fayyad parlant de proclamation unilatérale d’un Etat palestinien dans les « frontières » de 1967.

* Attitude d’Apaisement systématique vis-à-vis de l’Iran d’Ahmedinejad, équivalant à entériner l’avancée du régime vers l’arme atomique, et à entériner aussi la mainmise du Hezbollah sur le Liban.

* Encouragements donnés au gouvernement turc en vue du rapprochement de son fondement civilisationnel musulman, qui ont accentué et accéléré le glissement de la Turquie vers l’orbite islamique et vers une hostilité de plus en plus marquée à l’encontre d’Israël.

* Retour des Etats-Unis au Conseil des droits de l’homme des Nations Unies, équivalant à lui proférer un surcroît de légitimité, et présence dans ce Conseil au moment même où le tristement célèbre Rapport Goldstone se trouvait entériné.

* Affirmations répétées que le « plan de paix saoudien » (qui, en réalité, n’est pas un plan de paix du tout, puisque sa mise en œuvre déboucherait sur la disparition d’Israël à moyen terme) est une base légitime de discussion et de « règlement » du conflit.

Les retombées de ces mouvements dans le cadre de la guerre médiatique et politique menée contre Israël sur le continent européen sont elles-mêmes très claires. Les gouvernements français, britannique, suédois, norvégien n’ont plus à manifester de retenue dans les remontrances et les accusations multiples dirigées contre Israël. Et, dans certains cas, dans les menaces de boycott qui parfois se concrétisent.

Plusieurs journaux et chaînes de télévision, en Europe, ont, au cours des derniers mois, franchi des limites supplémentaires dans la diffamation d’Israël, en reprenant, à leur compte et à l’état brut, certaines des pires abjections issues de la propagande palestinienne.

Le résultat d’ensemble doit être énoncé sans périphrases. Il l’a été, en ces colonnes, par Stéphane Juffa : Israël est très seul. Plus seul que jamais depuis longtemps. Et soumis à des menaces qui s’accentuent, se précisent, et s’exacerbent.

Faut-il s’inquiéter ? Oui, bien sûr, répondrai-je. Mais entre s’inquiéter et céder à l’inquiétude, il existe une marge qu’il faut se garder de franchir. D’une part, ce n’est pas la première fois, hélas, qu’Israël se trouve isolé. La situation était bien plus désespérée au moment de la Guerre d’Indépendance qui a suivi immédiatement la (re)naissance d’Israël.

Et la différence avec la situation de l’époque consiste en ce qu’Israël, aujourd’hui, n’a pas seulement les moyens de se défendre, mais dispose d’une supériorité technologique immense en matière militaire.

D’autre part, Israël peut compter sur des amis nombreux de par le monde : si les amis d’Israël sont rares en Europe aujourd’hui, ils existent aux Etats-Unis, où le mouvement conservateur et les courants évangéliques sont de fermes défenseurs d’Israël. Parce qu’ils voient en Israël une terre de liberté, de démocratie, d’éthique et de prospérité, à laquelle les lie le sentiment très puissant d’une communauté de destin.

Enfin, et c’est l’un des thèmes centraux du dernier livre publié par George Gilder, dont j’ai déjà parlé dans ces colonnes, The Israel Test ; c’est le thème essentiel d’un livre de Dan Senor et Saul Singer sur lequel je reviendrai, Start-up Nation : The Story of Israel’s Economic Miracle ; c’est un thème qui parcourt en filigrane l’ensemble du livre que je viens de publier, La septième dimension.

Ce n’est pas seulement en matière de technologie militaire qu’Israël est en position de supériorité, mais dans tous les domaines de l’innovation, qui font l’économie du futur en ce qu’elle a de plus fécond.

Toutes les contrées, tous les pays du monde qui entendent œuvrer pour s’intégrer au mieux dans cette économie et trouver ou retrouver le chemin de la prospérité ont, au delà des idées et des valeurs, un intérêt concret à développer des synergies avec Israël et à choisir leur camp.

Obama a choisi le sien, et sa politique vis-à-vis d’Israël va de pair avec une politique générale d’abandon de la défense des droits de l’homme : le peuple israélien fait l’objet du même dédain que le peuple iranien, les habitants du Darfour ou du Zimbabwe.

Sa politique vis-à-vis d’Israël peut être reliée aussi à sa politique intérieure : de gaspillages financiers, qu’il faudra des générations pour rembourser, en faiblesse générique face à l’islam radical, puisque le successeur de George Bush à la Maison Blanche ne sait toujours pas, semble-t-il, pourquoi le major Hasan a tué quatorze personnes à Fort Hood, et se refuse, jusqu’à cette heure, à dire qu’il s’agit d’un attentat.

Et puisqu’il vient aussi, par l’entremise de son ministre de la justice, Eric Holder, de décider que les stratèges des attentats du onze septembre étaient de simples civils devant bénéficier de la présomption d’innocence dans le cadre d’un tribunal de la ville de New York ; décision que de nombreux commentateurs considèrent comme la plus désastreuse à avoir été prise par un président depuis la naissance des Etats-Unis.

L’Europe pusillanime, déclinante et tremblante devant l’islam radical, a choisi son camp aussi. La position de l’administration Obama ne reflète en rien les choix ultérieurs des Etats-Unis. Et, en attendant que le désastre Obama soit relégué dans le révolu, Israël peut tisser davantage de liens avec des pays d’avenir, tels l’Inde. Israël doit, d’ores et déjà, se préparer à l’après Obama. C’est ce qui est en train de se faire. C’est ce qui se fera.
Re: Reconfused smiley'IL FALLAIT ENCORE DOUTER DE LA HAINE D'OBAMA ENVERS ISRAEL !!!!!!!
27 décembre 2009, 06:19
L'Eternel se charge d'avertir Obama qu'il est dans l'erreur:l'attentat avorté d'hier dans l'avion est un avertissement
sans frais,car Il n'a pas voulu que des innocents courageux soient victimes de cette erreur.Cependant,s'il persiste
il risque de payer plus cher que le père Bush,et le sinistre Carter qui n'ont perdu que leur reélection.
Re: Obama
28 décembre 2009, 13:33
gil009,

Que D... vous entende !

Je forme l'espoir qu'une opposition forte se fasse entendre contre la politique

que mène cet indigne individu, l' Amérique mérite mieux que ce pantin !

Son incapacité à gouverner ce magnifique pays est flagrante, et le

seul objectif qu'il poursuit pour se "refaire" une "stature" qu'il ne possède

nullement , se concentre sur un "DIKTAT" en direction d' ISRAEL , et

j'espère bien que ses plans seront réduits à néant .

D'ailleurs les "langues" commencent à se "délier "et les "yeux" des stupides

obamaniaques , à se "desciller", on entend de ci , de là , quelques critiques

qui commencent à s'élever ,
Re: Reconfused smiley'IL FALLAIT ENCORE DOUTER DE LA HAINE D'OBAMA ENVERS ISRAEL !!!!!!!
08 janvier 2010, 08:12
Citation
gil009
L'Eternel se charge d'avertir Obama qu'il est dans l'erreur:l'attentat avorté d'hier dans l'avion est un avertissement
sans frais,car Il n'a pas voulu que des innocents courageux soient victimes de cette erreur.Cependant,s'il persiste
il risque de payer plus cher que le père Bush,et le sinistre Carter qui n'ont perdu que leur reélection.

bonjour,

dans son discour adresse aux americains le 7 janvier 2010, obama repond: "
«I am less interested in passing out blame than I am in learning from and correcting mistakes to make us safer…for ultimately, the buck stops with me. As president, I have a solemn responsibility to protect our nation and our people. And when the system fails, it is my responsibility»

video: [www.cnn.com]
Re: Reconfused smiley'IL FALLAIT ENCORE DOUTER DE LA HAINE D'OBAMA ENVERS ISRAEL !!!!!!!
08 janvier 2010, 11:47
Pourquoi me citer?Ton rappel du discours ne répond pas à la préoccupation de l'Exilée et moi-même au sujet de l'attitude. d'Obama vis a vis d'Israel.Ceci dit il ne fait que son devoir d'assumer la responsabilité de ses services,ce n'est que normal ,même s'il est rare de l'entendre .
Re: Obama
08 janvier 2010, 22:27
Un départ comme J.F.K. ne serait pas négligeable. Good look
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