Barack Obama est-il musulman ?
Selon les règles de l’islam, la réponse devrait être « oui », puisqu’il est né de père musulman.
S’il ne l’est plus, c’est qu’il est, selon les règles de l’islam, coupable d’apostasie. Et s’il est un apostat devenu chrétien, ce n’est, de toute façon,
pas très rassurant, puisque la seule Église qu’il ait fréquentée assidûment est la Trinity United Church of Christ où Jeremiah Wright délivrait des sermons
férocement antisémites et anti-occidentaux.
Est-il toujours d’extrême-gauche ? Il l’a été, en tout cas, du temps de son adolescence à celui de son élection au Sénat des États-Unis,
et cela a laissé des traces. A-t-il été élu de manière pleinement régulière ? On peut en douter si l’on prend en considération l’activisme frelaté d’organisations
telles qu’ACORN pendant la campagne électorale, et le jour même du vote.
Tout cela pourrait sembler appartenir au passé si, au cours de l’année qui vient de s’écouler, Obama n’avait fait entrer dans son administration des personnages peu
recommandables, dont certains ont dû démissionner de manière précipitée lorsque des journalistes ont révélé qu’ils s’étaient revendiqués communistes à une date récente
(Anthony Van Jones) ou qu’ils avaient de l’admiration pour Mao (Anita Dunn).
Tout cela serait moins inquiétant si le Congrès ne s’était trouvé peuplé, au moment de l’élection d’Obama, d’hurluberlus sectaires et délirants tels Harry Reid et Nancy Pelosi
: la synergie Obama-Reid-Pelosi a fait passer en moins d’un an des programmes de dépense publique qui relèvent de la volonté de détruire, conformément à la stratégie
Cloward-Piven.
Les ressorts de l’économie américaine ne sont pas cassés, mais détériorés et entravés : la sortie d’un cycle de récession se traduit en général par un retour
fort à la croissance et par de nombreuses créations d’emploi, ce qui ne sera pas le cas cette année.
Le pire pourrait être à venir : les coupes d’impôts décidées sous Bush vont disparaître dans quelques mois, les effets de pénurie découlant du programme
de santé d’Obama n’ont pas encore pris effet. Les projets de taxe carbone ne sont plus à l’ordre du jour pour l’instant, mais il n’est pas certain qu’ils aient été rangés
définitivement dans des placards clos.
Tout cela ne serait qu’anecdotique si les dégâts internationaux provoqués par l’administration Obama n’étaient pas déjà aussi sérieux. De la Russie de Poutine
et Medvedev à la Chine néo-communiste, du Venezuela de Hugo Chavez au Soudan d’Omar El Béchir, de la Syrie de Bachar El Assad à l’Iran d’Ahmadinejad, il n’est pas
un régime sanguinaire sur terre auquel Obama n’ait envoyé un message d’apaisement et de soumission préventive.
[
adv.edintorni.net]
Tout cela pourrait être laissé de côté si Obama ne s’était pas conduit jusqu’à présent en compagnon de route du djihadisme. Suite à l’attentat de Fort Hood, Obama n’a pu
se résoudre à dire que c’était un acte d’assassinat islamiste et a évoqué, pour qualifier le coupable, « un homme qui a craqué ». Après l’attentat raté de Detroit, il lui a fallu une semaine
pour passer d’un discours grotesque évoquant un « passager » qui aurait « mis le feu » à ses vêtements à des propos parlant de guerre, et désignant l’ennemi comme al Qaida –
et seulement al Qaida.
Obama a renoncé à parler de « guerre contre le terrorisme ». Il ne parle jamais d’islam radical, et n’évoque l’islam lui-même que pour en vanter les merveilles.
Les concepteurs des attentats du onze septembre passeront devant un tribunal civil, bénéficieront de la présomption d’innocence, et pourront transformer leur procès en
tribune de propagande. Celui qui voulait tuer trois cents personnes au-dessus de Detroit et qui n’a réussi qu’à se brûler les testicules a reçu immédiatement le droit de garder
le silence et un avocat commis d’office. Les règles d’engagement données aux membres de l’armée, et mises en œuvre, font qu’un terroriste avéré a pu obtenir la comparution en
cour martiale de trois Navy Seals accusés de l’avoir un peu brutalisé lors de son arrestation.
Comme un nombre croissant d’Américains, j’attends avec impatience les élections de mi-mandat et, plus tard, la mise hors d’état de nuire de l’imposteur qui occupe
présentement la Maison blanche.
Obama ne fera pas, apres les prochains mid terms desastreuse pour les Democrat, son Bill Clinton, car Obama ne connait meme pas l'Amerique suffisamment bien pour savoir
comment s'adapter. Il est anti-americain depuis toujours, et le restera. Bill Clinton a su s'adapter apres la perte de Congress car il connaissait l'Amerique, et n'etait pas doctrinaire
autant que narcissiste. Obama est un narcissiste doctrinaire tres ignorant du peuple americain.
Les pires degats vont se sentir a l'etranger, la ou il aura toujours les plus mains libres, ce qui ne l'empechera pas de faire des conneries domestique par les moyens de l'Executif,
genre..mettre KSM devant jurees et cameras...envoyer le EPA a implementer des controles sur le CO2 comme demande par le cours supreme...etc. Je ne peut meme pas imaginer.
La realite sera encore plus bizarre que la fiction avec l'equipe que Obama a mis en place. Mais au moins domestiquement il y a de la resistance bureaucratique, et les
"checks and balances" de la Constitution, et bien sur l'opinion. Obama sera aussi impopulaire dans peu de temps qu'il a ete adule en 2008. Mais pour ce que Obama fera
aux etrangers...ennemis, allies, amis, et neutres a travers la planete..il n y aura que tres peu de repit. Si vous pensiez que l'Amerique etait Mauvais avant l'arrive d'Obama,ben,
Obama laissera sa marque a l'etranger. Ca ne promet pas d'etre pro-liberte, mais plutot pro-misere, pro-dictature, anti-occidentale. Jusquici les degats sont reparables, mais trois années
de plus de ca, hmmm.