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Envoyé par mossad 
Re: INFOS D'ISRAEL 6
02 janvier 2010, 01:33
MONSIEUR FRANSOIS FILLON N' a jamais fait ce discours !!!
les français le pensent,
Lison

Citation
korine15

MONSIEUR FRANCOIS FILLON !

Bien dit .... !
Texte intégral du 17 Mai 2007
Intéressant comme approche ....
Apprendre à vivre en paix et harmonie ...

Les musulmans qui veulent vivre selon la loi de la "Sharia Islamique"
se sont fait dire tout récemment de quitter la France, dans le but de parer à d'éventuelles attaques terroristes,
le gouvernement ayant ciblé les radicaux.
Apparemment, le Premier Ministre, Monsieur François Fillon a choqué quelques musulmans Français en déclarant ceci :

LES IMMIGRANTS, NON FRANÇAIS, DOIVENT S'ADAPTER.
À prendre ou à laisser, je suis fatigué que cette nation s'inquiète de savoir si nous offensons certains individus ou leur culture.

Notre culture s'est développée de luttes d'habileté en victoires par des millions d'hommes et de femmes qui ont recherché la liberté.

Notre langue officielle est le français, ni l'espagnol, ni le Libanais, ni l'Arabe, ni le Chinois, ni le Japonais, ou n'importe quelle autre langue.

Par conséquent, si vous désirez faire partie de notre société, apprenez-en la langue !

La plupart des Français croient en Dieu..
Il ne s'agit pas d'obligation chrétienne, d'influence de la droite ou de pression politique, mais c'est un fait, parce que des hommes et des femmes ont fondé cette nation sur des principes chrétiens, et cela est officiellement enseigné.
Il est parfaitement approprié de les afficher sur les murs de nos écoles.

Si Dieu vous offense, je vous suggère alors d'envisager une autre partie du monde comme votre pays d'accueil, car Dieu fait partie de notre culture.

Nous accepterons vos croyances sans poser de question.
Tout ce que nous vous demandons c'est d'accepter les nôtres, et de vivre en harmonie pacifique avec nous.

Ici c'est NOTRE PAYS, NOTRE TERRE, et NOTRE STYLE DE VIE.
Et nous vous offrons l'opportunité de profiter de tout cela.
Mais si vous en avez assez de notre drapeau, de notre engagement, de nos croyances chrétiennes, ou de notre style de vie, je vous encourage fortement à profiter d'une autre grande liberté Française, LE DROIT DE PARTIR.

Si vous n'êtes pas heureux ici, alors PARTEZ.
Nous ne vous avons pas forcés à venir ici.
Vous avez demandé à être ici.
Alors, acceptez le pays que VOUS avez choisi
Re: INFOS D'ISRAEL 6
02 janvier 2010, 10:50
Citation
Lison2
MONSIEUR FRANSOIS FILLON N' a jamais fait ce discours !!!
les français le pensent,
Lison

Citation
korine15

MONSIEUR FRANCOIS FILLON !

Bien dit .... !
Texte intégral du 17 Mai 2007
Intéressant comme approche ....
Apprendre à vivre en paix et harmonie ...

.........

bonjour,
a cette date c'etait le jour de son investiture en tant que premier ministre; il a eu un autre discours a faire
que de dire "la france, aime-la ou quitte-la" ce n'est tres pas protocolaire pour une occasion pareille;
ceci dit j'attends vivement la source de dsicours
Re: INFOS D'ISRAEL 6
02 janvier 2010, 12:52
oops, j'ai du ecrire a l'interieur du cadre de citation
sorry !
Re: INFOS D'ISRAEL 6
02 janvier 2010, 13:09
non je ne peux retenir ce que j'ai a dire sur ce sujet ...
durant les annees Jiscard et aussi avant, la France est parti les les choisir dans leurs pays: en algerie,au maroc, en tunisie ;
pour comnpler sa main d'oeuvre ouvriere ;
j'ai rencontre des veterans dans des foyers sonacotras qui m'ont raconte comment et de quelle maniere ils etaient venue en France ; ils portaient des panacartes ou etaient marque dessus le lieu de leur destination;
c'est ainsi qui ils sont arrives en France d'une gare a une autre;
accueillis par leur patron, ils etaient directement conduit aux champs et aux chantiers a des prix ou des salaires horaires imbattables sur le marche du travail; les francais, ne voulaient faire ce genre de boulots
les immegres n'avaient suivi aucun cours d'alphabetisation, aucune education civique, aucune formation sur la democratie,
aucune session d'information sur la culture du pays d'accueil,
bref metro-boulot-dodo
cette immigration etait gere de la meme facon qu'une PME ou grande entreprise; on aspirait qu'a tirer profit;
sans aucune perspective humaine , ou d'interagtion de leur enfants, rien n'a ete prepare. rien
evidement, les immigres venu du confin du bled, du sahara, ne se posaient pas de question, ils etaient ravis d'etre dans un confort relatif et de pouvoir gagner un peu d'argent a envoyer a leur famille, ceratine entrain de languir.
mais ils ignioraient leurs droits;
Re: INFOS D'ISRAEL 6
03 janvier 2010, 13:19
a l'injonction conditionnelle " la France, aime la ou quitte la"
j'aurais une similiare mais dans l'autre sens " Je suis la, alors tais-toi ! "

si ma gueule ne te plait pas, alors j'y peux rien pour toi !


qu'est ce qu'elle ma geule?
quelle que chose qui va pas
elle ne te regarde pas ....

aller la suite avec johnny haliday smiling smiley



LA BELGIQUE APPLIQUE LA CHARIA ALIMENTAIRE ...
10 janvier 2010, 12:37
Les autorités belges appliquent la charia alimentaire
mardi 10 novembre 2009, par Guillaume


Les citoyens ne sont généralement pas au courant de ce qui se passe dans leur pays, parce que les médias se taisent parfois là où ils devraient s’exprimer. Le journal « La Dernière Heure » n’a apparemment pas respecté tout à fait le « politiquement correct », en dévoilant que la viande de porc a été supprimée des repas servis dans certaines prisons, comme à la prison de Forest-Bruxelles, et cela depuis plusieurs années. Par contre à la prison d’Ittre, toutes les fantaisies alimentaires religieuses ou pas sont satisfaites.


Selon le journal la « Dernière heure », 8O% des détenus à la prison de Forest sont de confession musulmane. Voilà encore une information audacieuse, qui ne relève pas du « politiquement correct ». De telles informations sont rarement diffusées dans nos quotidiens belges et français. Cela ne va sûrement pas plaire au Mrax et à Kif-Kif.


Comme il est interdit de cuire de la viande de porc, dans des ustensiles de cuisine destinés à la cuisine halal, il faut deux cuisines séparées. Cela constitue évidemment un sérieux problème logistique et est trop coûteux. Pour résoudre ce problème, on a tout bonnement décidé de supprimer le porc jugé impur par l’islam pour tous les détenus.


La Belgique doit s’adapter à l’islam et pas l’islam à la Belgique, cela devient petit à petit la règle dans différents domaines.


La charia alimentaire s’étend de plus en plus à des produits de la charcuterie, aux boissons, aux cosmétiques, aux friandises, etc., mais on parle aussi du steak halal, du poulet halal, etc. La folie religieuse des interdits alimentaires ne connaît plus de limites. Le régime alimentaire musulman pour tous les détenus fait aussi supposer que tous les musulmans mangent halal, ce qui reste à démontrer.


Dans la commune de Molenbeek-St-Jean, l’échevin musulman Daif (PS) prit les mesures nécessaires pour introduire la charia alimentaire dans les écoles publiques de cette commune bruxelloise de 70.000 habitants. Après quelques mois, il a fallu arrêter l’expérience, les surveillantes scolaires ayant trop de problèmes pour séparer les enfants mangeant halal des autres.


Cette expérience d’apartheid alimentaire posant trop de difficultés, l’échevin Daif (PS) a supprimé la viande de porc dans les écoles publiques pour tous les élèves. Une fois de plus, ce sont tous les enfants non-musulmans qui sont ainsi discriminés par un interdit religieux qui bannit la viande de porc dans les repas, comme viande impure. C’est intolérable.


C’est également le cas dans les écoles publiques, en ce qui concerne la tenue vestimentaire des filles musulmanes. Pour les islamistes, la réglementation scolaire belge relative à la tenue vestimentaire des élèves doit céder le pas à la charia vestimentaire. Interdire le voile dans les écoles publiques, c’est, pour les islamistes, de l’islamophobie, du racisme, de la dictature, etc. « Les islamistes » n’acceptent que la « reddition, la capitulation, la soumission » face à leurs exigences islamiques, jamais l’adaptation par eux-mêmes aux lois et aux us et coutume du pays dans lequel ils vivent. C’est pourquoi les règles de la charia progressent bien en Europe et qu’en Angleterre il y aurait déjà 80 tribunaux de la charia, selon les chiffres cités par certains médias.


Selon le journal Elsevier, aux Pays-Bas, les détenus sont obligés de manger exclusivement de la nourriture halal dans de nombreuses prisons. La situation y semble bien pire qu’en Belgique.


Un détenu non-musulman de la prison de Sittard aux Pays-Bas, obligé à manger exclusivement des repas halal, avait introduit une plainte contre la prison de Sittard. Sa plainte a été jugée fondée et la prison a dû mettre fin au régime musulman auquel il était soumis. Le ministère de la Justice néerlandaise a des contrats alléchants avec les fournisseurs musulmans, qui livrent uniquement des viandes halal. Le journal Dagblad Noorden parle de 5 autres établissements pénitentiaires où l’on ne servait que des repas exclusivement halal. Suite à la décision de Justice contre le la prison de Sittard, il y serait mis fin.


Le marché halal est un « business énorme ». La certification halal crée un monopole sur la consommation de la viande halal, et les contrôleurs appliquent une taxe religieuse de certification qui fait entrer des millions d’euros dans la caisse des organisations musulmanes et dont les mosquées sont aussi bénéficiaires. Cela permet aux fournisseurs musulmans de s’emparer d’un marché gigantesque. Rien que pour la France, on cite le chiffre de 4 milliards d’euros pour le « business halal ». Pour la certification de la viande halal en Europe a été créé « l’Institut européen de certification halal - The European Halal Certification institue », soutenu par le Conseil islamique pour l’Allemagne.


Comme tout se passe entre musulmans, les non-musulmans sont nécessairement exclus de ce marché juteux. Le commerce de la nourriture halal est entre les mains des fournisseurs musulmans. Le musulman va chez le boucher musulman, l’épicier musulman, le poissonnier musulman, le boulanger musulman, le coiffeur musulman, le pharmacien musulman, le médecin musulman si possible. Il va à la banque islamique, à l’agence de voyages musulmane, etc. Les Resto-halal proposant une nourriture conforme aux règles de l’islam vont être répertoriés en Belgique et ailleurs, moyennant une redevance de 18,50 euros par mois hors taxe. Voilà encore un organisme islamique qui va rapporter. Ainsi, l’argent gagné n’est pratiquement dépensé qu’entre musulmans qui se partagent les bénéfices à l’intérieur de la communauté, une sorte « d’autarcie musulmane ».


L’apartheid si critiqué en Afrique du Sud, est maintenant apprécié par les partis socialistes et écolos, et c’est dans des communes socialistes comme Molenbeek-Saint-Jean qu’on a supprimé la viande de porc en premier lieu. Les musulmans se plaignent d’islamophobie, etc., mais ils font tout pour vivre en dehors de la communauté européenne, des règles européennes, et de la culture européenne.


Comment prétendre qu’on est victime d’ostracisme, lorsqu’on fait tout pour se différencier des non-musulmans, dans une communauté fermée, où de plus en plus on impose les règles de la charia ici en Europe ? Une telle politique d’apartheid ne peut déboucher que sur une catastrophe.


Le Conseil européen pour la Fatwa, situé en Angleterre, chargé d’introduire la charia en Europe, a de l’avenir.


Pourquoi les défenseurs des droits de l’homme comme « La ligue des droits de l’Homme » ne demandent-ils pas l’interdiction de ce Conseil contraire à la Déclaration universelle des Droits de l’Homme, à la C.E.D.H, au droit européen et à l’ordre public ? La charia barbare serait-elle donc devenue acceptable pour la Ligue des Droits de l’Homme, dans l’Union européenne, comme l’Angleterre semble le confirmer ?
Re: LA BELGIQUE APPLIQUE LA CHARIA ALIMENTAIRE ...
10 janvier 2010, 13:44
bonjour,

Question embarassante: Pourriez-vous citer la source de cet article ? Merci.
en France, Azouz Begag l'a vu juste ! Ce debat fait pleinement profiter au FN ;
il n' y a pas une seule region ou il fait moins de 10 % !!!
Re: LA BELGIQUE APPLIQUE LA CHARIA ALIMENTAIRE ...
11 janvier 2010, 10:54
Une question tres embarassante, cette fois-ci : connais-tu l'arroseur arrose?

On voit bien que cet article est signe par Guillaume Premier; mais ce n'est pas ca qui va nous tromper;
une simple manip de google, tres basic, et l'on voit toute suite ou tu viens de faire ton petit shopping.

Il faut savoir que ces gens, chez qui tu traines les pieds de temps en temps dans leur sites, sont des gens tres dangereux;
il y a un peu plus d'un ans, il avaient tenu un congres a Nice; ils sont partis tres loin dans leur delire;
tellement loin qu'ils ont pu trouver le rapprochement entre la situation en France aujoud'hui et celle de l'allemagne a la veille de la seconde guerre mondiale; et tout en utilisant exatement ces arguments contenus dans cet article ( bing! j'ai gagne un point godwin et sans le vouloir)
Mais il faut savoir une chose, essentielle a mes yeux; ils ont certes un sentiment anti Musulamns et en particulier anti Arabes, oui;
mais seulement dans la mesure ou ces derniers se presentent sous formes des etrangers "bouffeurs du pain des Francais " mais autrement,
si a la limite, ils acceptent de deposer leurs cartes et leurs papiers et de renterer chez eux, l'affaire serait reglee;
cela ne pas au dela de ca ; Par contre, et je reppelle bien que ces gens-la sont dangereux;
ils avaient soutenu Sadam Hussein dans toute sa politique, et sont meme pres s'il le faut a s'allier avec des hammass ou meme pire!
Ils ont une vision mondiale dans leur truc.
Continue, continue a nous arroser, et tu seras arrosee a ton tour avec tes meme arguments!!!
Re: LA BELGIQUE APPLIQUE LA CHARIA ALIMENTAIRE ...
11 janvier 2010, 11:05
La question n'est pas de savoir qui est l'auteur de l'article,mais de savoir si ce qu'il affirme est vrai ou faux.Pour ce qui est du monopole halal et de ses conséquences ,tout est vérifiable,Ainsi que la plainte du détenu mangeur de porc et le pourcentage de détenus musulmans.
Re: LA BELGIQUE APPLIQUE LA CHARIA ALIMENTAIRE ...
11 janvier 2010, 14:02
Ah toi tu devrais aller sans tarder voir un neurologue faire un test;
ce n`est pas un léger doute que j`ai;
mais avec toi, j`exige la certitude que tu ne sois pas atteint, avant de pouvoir continuer a dialoguer. smiling smiley
Re: LA BELGIQUE APPLIQUE LA CHARIA ALIMENTAIRE ...
11 janvier 2010, 23:00
Personne n'a envie de dialoguer,c'est-a-dire de contredire ou d'approuver idées et arguments avec ceux qui
sachant qu'ils ont tort,pratiquent l'insulte .Technique rodée par le gauchisme soviétique et repris par l'islamisme
conquérant.Qui devrait méditer pour vivre en paix sur la votation suisse ou les incidents calabrais.
QUE PEUT ENCORE FAIRE LA COMMUNAUTE JUIVE POUR AIDER à LA REHABILITATION DE L'IMAGE D'ISRAEL ??
PAR EMMANUEL NAVON ..

Si un extra-terrestre atterrissait sur notre planète et qu’il allumait la télévision ou la radio, il arriverait rapidement à la conclusion que la Terre est une planète paisible et que tout irait pour le mieux dans le meilleur des mondes si ce n’était pour les problèmes causés par un pays illégitime et responsable de tous les conflits du Proche-Orient, un pays coupable des pires violations des droits de l’homme, un pays de sadiques qui aiment la guerre et qui prennent plaisir à occuper militairement des peuples sans défense et à tuer leurs enfants. Ce pays, c’est Israël.

Il n’y a bien sûr aucun rapport entre la réalité et la façon dont elle serait perçue, à travers les médias, par cet extra-terrestre. Le problème est que ce fossé entre la réalité et la façon dont elle est perçue ne concerne pas seulement cet extra-terrestre imaginaire. Elle concerne les centaines de millions de personnes bien réelles qui regardent la télévision, écoutent la radio, lisent le journal, et surfent sur Internet. Et le problème est que la représentation imaginaire et mensongère de la réalité a un impact sur la façon dont les gens agissent sur cette réalité. C’est parce que la propagande nazie réussit à convaincre les Allemands que les Juifs œuvraient dans le secret à la destruction de l’Allemagne que l’Holocauste a eu lieu.

La propagande est une arme à la fois redoutable et imperceptible. Comme le disait Victor Hugo: « On résiste à l’invasion des armées, on ne résiste pas à l’invasion des idées. » Et pour reprendre la formule de Mark Twain: « Un mensonge peut faire le tour du monde pendant que la vérité se met en route. » Autrement dit, les idées peuvent être plus fortes que les tanks, et elles n’ont pas besoin d’être vraies pour atteindre leur cible. Joseph Goebbels, le chef de la propagande nazie, l’avait bien remarqué à son époque. Lorsqu’un mensonge est énorme, disait-il, il suffit de le grossir encore plus et de le répéter incessamment, et les gens finissent par le croire.

En 1989, la revue militaire américaine Marine Corps Gazette publia un article intitulé « Fourth Generation War » ( »La guerre de la quatrième génération »). Selon cet article, la première génération de la guerre était une guerre de bataillons où les soldats s’affrontaient directement. La deuxième génération était une guerre d’artillerie. La troisième génération était une guerre de contournement de l’ennemi et d’effondrement de sa base arrière. La quatrième génération consiste à appliquer la tactique de la troisième génération au niveau psychologique. Autrement dit, à vaincre l’ennemi en convaincant sa population qu’elle est dans le tort et qu’elle ne peut pas gagner.

Il ne s’agit pas là d’une simple théorie universitaire qui n’a jamais franchi le pas de la tour d’ivoire. Figurez-vous que lorsque les troupes américaines envahirent l’Afghanistan après le 11 septembre, elles trouvèrent une copie de cet article dans la grotte de Tora Bora, où se cachait al-Qaida. Et en février 2002, Abu Ubeid al-Qurashi, l’un des proches collaborateurs de Bin Laden, publia un article dans le journal Al Ansar dans lequel il expliqua que al-Quaida avait adopté le principe de la guerre de quatrième génération pour vaincre les Etats-Unis.

En fait, al-Qaida n’a fait que reprendre à son compte une tactique qui avait déjà réussi au moment de la Guerre du @#$%&. Comme l’expliqua le général vietnamien Giap: « En 1968, il devint évident que je ne pouvais pas vaincre les 500,000 troupes américaines déployées au @#$%&. Et je ne pouvais pas vaincre la septième flotte avec ses centaines d’avions. Mais je découvris que je pouvais gagner la guerre par la télévision en servant chaque soir aux Américains des images qui les convaincraient de cesser la guerre. »

Les écrits de Giap furent traduits en 1970 par l’OLP, qui excella à mettre la théorie en pratique avec la première guerre du Liban. Par exemple, le 10 juin 1982, le Directeur du Croissant Rouge palestinien fit circuler l’ »information » aux agences de presse internationales selon laquelle 600,000 Palestiniens étaient devenus sans abris durant les premiers jours de la guerre, alors même qu’il y avait 300,000 réfugiés palestiniens dans la zone des combats. L’OLP diffusa également la photo d’un enfant palestinien criblé de balles, une photo qui fit le tour des média. Or cette photo s’avéra être un faux.

Même chose lorsque Arafat lança sa guerre terroriste à l’automne 2000. L’Autorité palestinienne distribua en septembre 2000 une photo aux agences de presse internationales montrant un soldat israélien avec une matraque et un jeune homme au visage ensanglanté. Cette photo fut publiée en première page du New York Times avec le sous titre: « Un policier israélien et un Palestinien sur le Mont du Temple. » Là aussi, il s’agissait d’un montage. Derrière le policier israélien, on peut voir une inscription en Hébreu disant « station d’essence. » Comme vous l’imaginez, il n’y a pas de station d’essence sur le Mont du Temple. Quant au Palestinien soi-disant tabassé par le policier Israélien, il s’agissait d’un jeune Juif américain de Chicago qui étudiait à la Yeshiva en Israël. Le New York Times s’excusa d’avoir publié ce photomontage sans vérifier ses sources, mais le mal était fait.

La liste de ces manipulations est tellement longue, que je pourrais passer toute la soirée à les énumérer. Et cette longue liste inclut bien entendu l’affaire al-Dura. Le 30 septembre 2000, la télévision française France 2 diffusa les images du scène de tirs à Gaza, montrant un enfant tentant en vain de se protéger derrière son père. Le caméraman palestinien Talal Abu-Rahmah affirma que l’enfant, Mohammed Al-Dura, fut tué par les balles israéliennes, une affirmation qui fut reprise par Charles Enderlin, qui n’était pas sur les lieux. Depuis, de nombreuses enquêtes ont prouvé qu’il s’agissait d’une mise en scène, et que Talal Abu-Rahmah a menti. Mais, là encore, le mal fut fait. Et quel mal. Ces images déclenchèrent une vague d’attaques antisémites dans le monde. Et lorsque les bourreaux de Daniel Pearl le décapitèrent devant les caméras, ils montrèrent les images de Mohammed Al-Dura pour bien faire comprendre qu’il s’agissait d’une vengeance.

Cette propagande ne se limite pas aux médias. Elle se fait également par le biais de l’ONU, où les Arabes jouissent d’une majorité automatique depuis les années 1960, et par le biais des ONG qui sont généreusement financées par l’Arabie saoudite.

Par exemple, l’ONG Human Rights Watch a récemment été prise la main dans le sac en train de recevoir des donations d’Arabie saoudite. Une soi-disant organisation des droits de l’homme financée par l’Arabie saoudite! Il a va de même de Amnesty International qui a récemment publié un rapport accusant Israël de priver les Palestiniens d’eau. Ce rapport est truffé de mensonges, mais les gens le prennent pour argent comptant. Israël est un leader mondial dans les technologies d’économies d’eau. C’est grâce à ces technologies que la consommation israélienne en eau a fortement diminué entre 1967 et 2006, alors que la consommation palestinienne, elle, a augmenté de 300% pendant cette même période.

Même chose à l’ONU. Depuis les années 1960, les Arabes disposent à l’ONU d’une majorité automatique. Comme l’avait dit Abba Eban à l’époque, si les pays arabes voulaient passer une résolution à l’Assemblée générale pour déclarer que la Terre est plate, ils auraient une majorité. C’est cette même majorité qui déclara en 1975 que le sionisme est une forme de racisme. Et c’est cette majorité qui élit au Conseil des Droits de l’Homme des Nations Unies des pays comme la Chine, la Russie, et l’Arabie saoudite.

Le soi-disant Conseil de Droits de l’Homme passe son temps à condamner Israël, mais jamais il ne mentionne les véritables violations des droits de l’homme perpétrées par des pays comme l’Arabie saoudite ou la Chine. Et pour cause: ces pays siègent au Conseil des Droits de l’Homme. La Commission Goldstone est la suite logique de cet univers orwellien. Le même Conseil des droits de l’homme qui a mandaté la Commission Goldstone pour faire un rapport sur la guerre de Gaza, s’est refusé en mai 2009 à nommer une commission pour enquêter sur les crimes de guerre commis par le Gouvernement sri lankais contre les Tamils. L’ONU elle-même estime que plus de 7,000 civils Tamils ont été tués par les forces armées sri lankaises, que des centaines de milliers de Tamils ont été déportés et internés dans des camps, et que l’armée sri lankaise a volontairement visé des civils.

Israël, qui a tout fait pour limiter les pertes civiles, est sur le banc des accusés pour avoir exercé son droit à la légitime défense. Mais le Sri Lanka, qui a écrasé un mouvement de libération nationale et a tout fait pour tuer le maximum de civils, a été félicité par l’ONU pour sa victoire. Et, bien entendu, vous n’avez jamais entendu l’ONU protester lorsque pendant huit années consécutives, le Hamas a bombardé de missiles les villes israéliennes mitoyennes de la Bande de Gaza en visant expressément des cibles civiles.

Afin de contrer la propagande arabe, il faut remettre les pendules à l’heure sur cinq sujets cruciaux:
Les véritables raisons de l’échec du processus de paix;
La reconnaissance d’Israël comme État juif;
La question des réfugiés;
La question des minorités et des frontières;
La question de Jérusalem.

Les véritables raisons de l’échec du processus de paix:

En janvier 2000, le Premier Ministre israélien Ehud Barak et le Ministre des Affaires étrangères syrien Farouk al-Shara étaient réunis par l’Administration Clinton à Shepherdstown (Virginie occidentale) aux Etats-Unis pour négocier un accord de paix entre les deux pays. Sans le vouloir, les deux hommes se retrouvèrent au même moment dans la salle de gym de l’hôtel où se déroulaient les négociations. Tous deux faisaient leur jogging sur un tapis roulant, et Barak ne put s’empêcher de faire la remarque à al-Shara: « Ces tapis roulants, c’est comme le processus de paix. On court, on court, mais on reste sur place. »
C’est une bonne allégorie. Cela fait maintenant plus de seize ans qu’Israël négocie avec l’OLP, et ce que l’on appelle communément le « processus de paix » ressemble à un processus sans fin.

On entend souvent dire, aussi bien en Europe qu’en Israël, que tout le monde sait quels sont les paramètres du futur accord de paix entre Israël et les Palestiniens: l’établissement d’un État palestinien sur la totalité de la Bande de Gaza et de la Judée-Samarie (ou Cisjordanie), le partage de Jérusalem, et la renonciation palestinienne au droit au retour avec cependant l’acceptation par Israël d’un nombre symbolique de réfugiés palestiniens.
Si tel est le cas, comment se fait-il que les Palestiniens aient rejeté cette solution à trois reprises?

À Camp David, en juillet 2000, Ehud Barak accepta l’établissement d’un État palestinien sur la totalité de la Bande de Gaza, sur 91% de la Judée-Samarie, le partage de Jérusalem, et un fonds de compensation pour les réfugiés palestiniens. Arafat rejeta l’offre sans faire de contre-proposition.

En décembre 2000, le Président Clinton soumit à Israël et aux Palestiniens une plan de paix prévoyant l’établissement d’un État palestinien sur la totalité de la Bande de Gaza et sur 95% de la Judée-Samarie avec une compensation territoriale israélienne, la division de la Vieille Ville de Jérusalem avec une souveraineté palestinienne sur le Mont du Temple, et la renonciation palestinienne au « droit au retour. » Le « Plan Clinton » fut accepté par le gouvernement israélien et rejeté par l’Autorité palestinienne.
En novembre 2008, le Premier Ministre israélien Ehud Olmert proposa à Mahmoud Abbas l’établissement d’un État palestinien sur la totalité de la Bande de Gaza, sur 97% de la Judée-Samarie avec une compensation territoriale israélienne de 3%, l’internationalisation de Jérusalem, et l’acceptation par Israël d’un millier de réfugiés palestiniens. Mahmoud Abbas rejeta l’offre. Non seulement il la rejeta, mais il déclara au Washington Post en mai 2009 que la proposition d’Éhud Olmert montre à quel point le fossé entre Israël et les Palestiniens reste « énorme. »

Le fossé est « énorme » entre la position palestinienne et entre ce que tout le monde dit être la solution au conflit. Et l’énormité de ce fossé est due au refus palestinien d’abandonner le soi-disant « droit au retour » qui mettrait fin à l’existence d’Israël comme Etat nation du peuple juif. Ce qui me mène à mon deuxième point.
La reconnaissance d’Israël comme État juif

Dans son « Discours de Bar-Ilan » en juin 2009, le Premier Ministre israélien a déclaré qu’il acceptait l’établissement d’un État palestinien, à deux conditions: 1. Que cet État soit démilitarisé; 2. Que les Palestiniens reconnaissent Israël comme État juif.
Tout le monde comprend ce qu’est un État démilitarisé. Mais certains se posent la question: Qu’est-ce que les Israéliens entendent par « État juif? » N’est-il pas plus démocratique d’avoir un État de tous ses citoyens?

La solution de deux États pour deux nations (un État nation pour les Juifs israéliens et un État nation pour les Arabes palestiniens) est incompatible avec la définition palestinienne du « doit au retour » puisque celle-ci ferait des Juifs une minorité dans leur propre pays. Tant que les Palestiniens n’auront pas renoncé au « droit au retour » (et ils n’y ont toujours pas renoncé), cela prouvera qu’il n’acceptent pas la solution de deux États pour deux nations et qu’il ne reconnaissent pas le droit des Juifs à leur propre État nation. Inversement, tant qu’ils refuseront de reconnaître Israël comme État juif, cela sera la preuve qu’ils n’ont pas renoncé au « droit au retour. »

C’est pourquoi les Palestiniens et leurs alliés tentent de délégitimer le concept même d’État juif, en particulier au sein de l’opinion publique européenne. Ils tentent de convaincre le monde que l’idée d’un État juif est raciste, discriminatoire et anti-démocratique, et qu’Israël devrait être un « État de tous ses citoyens. »

Il s’agit là d’un argument sophiste, puisque Israël est à la fois un État juif et un État de tous ses citoyens, de la même manière que la France est à la fois un État français et un État de tous ses citoyens, ou que le Japon est à la fois un État japonais et un État de tous ses citoyens. Comme la plupart des pays du monde, et comme la plupart des pays Européens, Israël est un Etat nation. C’est-à-dire un État qui incarne l’identité et la liberté nationales d’une peuple. L’Etat nation est l’expression du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes. Dans le cas d’Israël, cela signifie que le peuple juif constitue une majorité, qu’il se gouverne lui-même, que l’Hébreu est la langue nationale, que les fêtes juives sont des fêtes nationales, et que les symboles nationaux tels que le drapeau et l’hymne expriment l’indépendance du peuple juif. Mais l’Etat nation juif est également un État de tous ses citoyens, puisque tous les citoyens israéliens, qu’ils soient juifs ou non, jouissent des mêmes droit civiques et font partie intégrante de la souveraineté nationale –qu’ils soient Arabes, Druzes, Bédouins, Musulmans, ou Chrétiens.

Le statut des minorités en Israël est le même que celui des minorités dans les autres Etats nation démocratiques: l’État n’exprime pas leurs aspirations nationales, mais il préserve leurs droits civiques. Prenez la France, par exemple. La langue officielle est le Français; les fêtes nationales sont les fêtes catholiques et les dates qui commémorent des événements importants de l’Histoire de France; le drapeau tricolore et la Marseillaise sont des symboles de la Révolution française et ils expriment l’indépendance du peuple français. Lorsque je vivais en France, l’Etat nation français n’exprimait pas mes aspirations nationales en tant que Juif, mais il respectait mes droits civiques en tant que citoyen. Comme Israël, la France est à la fois un Etat nation et un État de tous ses citoyens.

Donc l’argument selon lequel Israël ne peut pas être à la fois un Etat nation et un État de tous ses citoyens, ou un État juif et démocratique, est un argument sophiste. Les pays européens qui se laissent tenter par ce raisonnement ne semblent pas réaliser qu’il remet en cause leur propre légitimité nationale. Comme l’a dit l’écrivain israélien Aleph Beth Yéhosoua, est-ce que le Danemark est prêt à ajouter un symbole musulman à son drapeau pour donner une expression aux aspirations nationales ou religieuses de sa minorité musulmane?

Les Palestiniens ont le culot d’avancer cet argument alors même que les droits civiques des minorités ne sont pas reconnus dans les pays arabes. Théoriquement, un État peut être à la fois arabe et démocratique, mais dans les faits cela n’existe pas. Et je ne parle pas seulement l’Arabie saoudite ou du Soudan. Au sein de l’Autorité palestinienne, les minorités ne sont pas respectées, et les Chrétiens sont persécutés. Les Palestiniens veulent qu’Israël devienne uniquement un État de tous ses citoyens, mais l’État palestinien qu’ils disent vouloir établir ne serait pas, lui, une État de tous ses citoyens. Ce serait un Etat nation arabe, non démocratique, et dans lequel pas un seul juif ne sera toléré. Ce qui me mène à mon troisième point.

La question des réfugiés:

Comme nous l’avons vu, le véritable obstacle à la conclusion d’un accord de paix entre Israël et les Palestiniens est la question du soi-disant « droit au retour. » Entre le sommet de Camp David en juillet 2000 et la proposition d’Éhud Olmert en novembre 2008, Israël a cédé sur la question de Jérusalem et sur la question des frontières, mais pas sur la question des réfugiés palestiniens.

L’exigence palestinienne sur la question des réfugiés se traduirait par l’entrée en Israël d’environ 10 millions d’Arabes (un chiffre, entre parenthèses, qui semble être indexé au taux d’inflation puisqu’il augmente d’année en année). Cela signifierait que les Juifs ne constitueraient plus que 40% de la population de leur propre pays et donc qu’Israël cesserait d’être l’Etat nation du peuple juif. Comme l’avait clairement expliqué le Ministre égyptien des Affaires étrangères Muhammad Salah al-Din dans une interview avec le quotidien Al Misri le 11 octobre 1949: « Il est évident que les Arabes exigent le retour des réfugiés en Palestine pour liquider Israël. » Ou comme le déclara le Président égyptien Gamal Abdel Nasser au journal Zuercher Woche le 1er septembre 1961: « Si les Arabes reviennent en Israël, Israël cessera d’exister. »

Même un journal comme The Economist, qui ne mâche pourtant pas ses mots sur Israël, a écrit récemment à ce sujet qu’accepter l’exigence palestinienne sur le « droit au retour » consisterait à réparer une injustice en en créant une autre.

Les Palestiniens savent que les Etats-Unis et l’Europe ne les soutiennent pas sur la question du « droit au retour. » Il y bien sûr des franges relativement marginales des opinions publiques américaine et européenne qui les soutiennent sur cette question, mais il ne s’agit pas d’un soutien au niveau des dirigeants.
D’où la tentative palestinienne de présenter le retour des réfugiés palestiniens comme un droit de l’homme reconnu par le droit international. L’idée et de présenter le refus israélien sur la question des réfugiés palestiniens comme une violation des droits de l’homme et une violation du droit international. Cette idée fait son chemin, lentement mais sûrement.

Les Palestiniens affirment que d’après les résolutions de l’ONU, et en particulier la Résolution 194 de l’Assemblée générale (adoptée en décembre 1948), Israël a l’obligation de réintégrer les réfugiés palestiniens de 1948, ainsi que leurs descendants. C’est faux. Les résolutions de l’Assemblée générale ne constituent que des recommandations et n’ont pas force exécutoire en droit international. Donc Israël n’est en aucun cas tenu d’exécuter une résolution qui n’est pas exécutoire. Mais au-delà du fait que la Résolution 194 est une recommandation non exécutoire, elle ne recommande pas à Israël de réintégrer les réfugiés arabes de 1948, ainsi que leurs descendants.

Voilà ce que dit la Résolution 194 de l’Assemblée générale des Nations Unies: « Les réfugiés qui souhaitent retourner dans leurs maisons et vivre en paix avec leurs voisins doivent être autorisés à le faire (…) Ceux qui décident de ne pas revenir seront indemnisés pour la perte de leurs biens. »

La résolution ne parle pas de réfugiés palestiniens, mais de réfugiés. Et pour cause: le conflit israélo-arabe de 1948 a créé un double problème de réfugiés, à savoir 900,000 réfugiés juifs expulsés des pays arabes et des territoires de l’ancien mandat britannique sur la Palestine conquis par les armées arabes, et 600,000 réfugiés arabes palestiniens ayant fuit leurs maisons sous l’injonction des armées arabes pendant le conflit de 1948. Les pays arabes exigent d’indemniser les réfugiés palestiniens, mais ils refusent d’indemniser les réfugiés juifs.

Par ailleurs, comment peut-on imaginer que les descendants des réfugiés palestiniens de 1948 souhaiteraient, comme le dit la résolution 194, « vivre en paix avec leurs voisins? » Comme le disaient clairement Salah al-Din et Nasser dans les interviews que je viens de citer, le but du retour des réfugiés est de mettre fin à l’existence d’Israël par la démographie et pas de vivre en bon voisinage. Cela fait trois générations que les réfugiés palestiniens et leurs descendants vivent dans des camps au Liban et ailleurs et qu’ils sont éduqués dans la haine d’Israël. À l’évidence, ils n’ont aucune intention de vivre en paix avec leurs voisins, et ne se conforment donc pas à l’exigence explicite de la Résolution 194.

Le droit international ne reconnaît pas de droit au retour collectif, mais uniquement un droit individuel. Comme l’explique le juriste suédois Stig Jägerskiöld, la Déclaration universelle des Droits de l’Homme de 1948 et la Convention internationale sur les Droits civils et politiques de 1966 ne s’appliquent « qu’à des individus faisant valoir leurs droits individuels. Il n’y a jamais eu ici aucune intention de répondre aux demandes des masses humaines qui ont été déplacées par suite d’une guerre ou d’un transfert politique de territoire ou de population, tels que la transplantation de populations ethniquement allemandes d’Europe de l’Est pendant et après la Seconde Guerre mondiale, la fuite des Palestiniens de ce qui allait devenir Israël, où l’exode des Juifs des pays arabes. »

Donc le droit international ne reconnaît pas un droit collectif des réfugiés palestiniens de 1948 de revenir en Israël. Mais si un tel droit existait, cela ne devrait pas poser problème. Des 600,000 réfugiés palestiniens de 1948, probablement 200,000 sont encore en vie aujourd’hui, et la plupart sont âgés. Pour en finir avec le conflit, Israël serait prête à les réintégrer. Mais d’après les « calculs » des Palestiniens, ils sont aujourd’hui plusieurs millions –entre 4 et 10 selon les versions. Comment sommes-nous passés de 600,000 à 10 millions?

Tout simplement à cause d’une définition aberrante qui ne s’applique qu’aux réfugiés palestiniens. Il y a aujourd’hui dans le monde deux types de réfugiés: les réfugiés, et les réfugiés palestiniens. Tous les réfugiés du monde, sauf les réfugiés palestiniens, sont sous la responsabilité du Haut Commissariat des Nations Unies pour les Réfugiés. Il n’y que pour les réfugiés palestiniens qu’une agence spéciale des Nations Unies, l’UNWRA, a été créée en 1949. Inutile de dire qu’aucune agence spéciale de l’ONU n’a été créée pour les réfugiés juifs expulsés des pays arabes et musulmans. Mais cette discrimination n’est pas uniquement institutionnelle. Elle a trait avant tout à la définition même du statut de réfugié par le Haut Commissariat et par l’UNWRA.

Pour le Haut Commissariat, un réfugié est une personne expulsée de son pays. Point. Mais pour l’UNWRA, cette définition se transmet de génération en génération à tous les descendants des réfugiés palestiniens de 1948 ad vitam æternam. C’est pourquoi le nombre de réfugiés dans le monde ne cesse de diminuer, tandis que le nombre de réfugiés palestiniens ne cesse d’augmenter. Les chiffres parlent d’eux-mêmes. De 60 millions en 1948, le nombre de réfugiés dans le monde est passé à 17 millions aujourd’hui. Mais dans le cas des réfugiés palestiniens, le nombre est passé de 600,000 en 1948 à 10 millions aujourd’hui.

Mais l’absurdité des définitions de l’UNWRA de s’arrête pas là. D’après l’UNWRA il suffit, pour être considéré comme réfugié palestinien, d’avoir résidé pendant au moins deux ans dans le Mandat britannique en Palestine avant la guerre de 1948. Autrement dit, un ouvrier égyptien venu trouver du travail à Jaffa en 1946, et qui serait reparti en Égypte en 1948 pour fuir les hostilités, est aujourd’hui considéré par l’UNWRA comme un réfugié palestinien. Et s’il n’est plus en vie, ses enfants, petits-enfants, arrière-petits-enfants (bref, tous ses descendants ad vitam æternam) sont considérés comme des réfugiés palestiniens. Et il ne s’agit pas là de chiffres anecdotiques, puisqu’il y a eu une forte immigration arabe vers la Palestine ottomane puis britannique dès le début du 20e siècle, en particulier à cause des opportunités offertes par l’économie créée par le Yishuv (la communauté juive de Palestine). Comme l’avait écrit le Président Roosevelt à son Secrétaire d’État dans une note datée du 19 mai 1939: « Depuis 1921, l’immigration arabe en Palestine a été bien plus élevée que l’immigration juive. »

Imaginez si le Haut Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés appliquait les définitions de l’UNWRA aux 25 millions de réfugiés nés du partage du sous-Continent indien en 1947, aux 15 millions de réfugiés allemands expulsés d’Europe de l’Est en 1945, ou au million et demi de Grecs expulsés de Turquie en 1922. D’après cette même logique, un pays comme la Pologne devrait accueillir les dizaines de millions de descendants des réfugiés allemands de 1945. Et il faudrait également que les centaines de millions de descendants des réfugiés hindous et musulmans de 1947 retraversent en sens inverse les frontières de l’Inde et du Pakistan.

Et la liste des aberrations ne s’arrête pas là. Pour les Palestiniens, pour l’UNWRA, le petit-fils d’un ouvrier égyptien ayant quitté Jaffa en 1948 après y avoir vécu pendant deux ans a le droit de s’installer aujourd’hui à Jaffa. En revanche, le petit-fils d’un Juif de Hébron qui a été assassiné lors du pogrom organisé par Hadj Amin al-Husseini en 1929, et dont la famille vivait à Hébron depuis plusieurs dizaines de générations, lui, n’a pas le droit de revenir à Hébron.
Autrement dit, l’État juif devrait intégrer des millions de réfugiés arabes fictifs, mais l’État palestinien, lui, ne tolérera pas un seul juif en son sein et expulsera tous les Juifs qui vivent actuellement au-delà de la ligne verte. Ce qui me mène à mon quatrième point.
La question des minorités et des frontières
Le conflit israélo-palestinien n’est pas unique en son genre. Il s’agit d’un conflit entre deux nationalismes qui se disputent un même pays et qui ne veulent pas vivrent ensemble dans le cadre d’un État binational. Bien que différent à de nombreux égards, ce conflit est semblable à celui qui oppose jusqu’à aujourd’hui les Hindous et les Musulmans dans le sous-Continent indien. La Grande-Bretagne, qui était la puissance coloniale aussi bien en Inde qu’en Palestine, porte une lourde part de responsabilité dans l’aggravation des tensions entre Hindous et Musulmans, et entre Juifs et Arabes. Fidèle à sa stratégie de « diviser pour mieux régner » ( »Divide and Rule »), la Grande-Bretagne proposa l’idée de partage entre deux pays, tant en Inde qu’en Palestine.

En 1937, la Commission Peel proposa la division de la Palestine entre un État arabe et un État juif. Elle proposa également des échanges de populations pour que Juifs et Arabes soient respectivement réintégrés dans leurs futurs États. La Commission prit d’ailleurs pour exemple l’échange de populations entre la Grèce et la Turquie en 1922.
Le principe de la partition, cependant, n’implique pas l’absence de minorités. Il y a une minorité musulmane en Inde et une minorité hindoue au Pakistan. Mais lorsqu’il s’agit du conflit israélo-palestinien, la solution de la partition (ou ce que l’on appelle aujourd’hui « deux États pour deux nations »), exclut a priori l’idée qu’il puisse y avoir une minorité dans chaque État. Ou plus exactement, il doit y avoir une minorité arabe dans l’État juif (elle est aujourd’hui de 20%), mais pas de minorité juive dans l’État arabe.
Et si un Juif de Hébron, dont la famille y vit depuis des dizaines de générations (avant même l’invasion de la Palestine par les Arabes au 8e siècle), préférerait y rester en tant que citoyen de l’État palestinien? Pour lui, vivre à Hébron est plus important que de réaliser ses aspirations nationales dans le cadre d’un Etat nation juif. Pourquoi le choix (qui n’est pas un choix facile) entre vivre en tant que minorité dans la ville de ses grands-parents et vivre comme majorité dans une autre ville doit-il exister uniquement pour les Arabes palestiniens mais pas pour les Juifs israéliens?

En théorie, il n’y aucune raison pour qu’il y ait une minorité arabe en Israël et pas de minorité juive en Palestine. Mais en pratique, nous savons pourquoi cela n’est pas réaliste. Tandis qu’Israël est à la fois un État nation et un État de tous ses citoyens (c’est-à-dire un Etat nation où la minorité arabe jouit des même droits civiques que ceux de la majorité juive), l’État palestinien, lui, sera uniquement un Etat nation (ou même un État islamique au vue de la montée du Hamas) qui ne tolérera pas le moindre juif.
Il suffit de se souvenir du sort des Israéliens qui furent lynchés à Ramallah le 12 octobre 2000 sous les acclamations d’une foule en délire. Après quinze ans d’une propagande antisémite haineuse dans les médias, les écoles et les mosquées de l’Autorité palestinienne, on voit difficilement comment une minorité juive pourrait être tolérée et vivre en sécurité dans l’État palestinien.

Donc le partage territorial prévu entre Israël et les Palestiniens, contrairement au partage du sous-Continent indien entre l’Inde et le Pakistan, est unique en son genre puisqu’il n’envisage l’existence de minorités que dans l’un des deux pays issus dudit partage.

Au moment du retrait unilatéral israélien de la Bande de Gaza en 2005, certains habitants juifs de la Bande de Gaza avaient publiquement exprimé leur préférence de rester dans leurs villages après le retrait israélien et de devenir des citoyens palestiniens. Il leur était plus important de rester dans leurs maisons en tant que minorité que de vivre ailleurs en tant que majorité dans leur propre Etat nation. La réponse du Gouvernement israélien était que leur sûreté et leur vie même en tant que minorité juive sous souveraineté arabe serait menacée. Malheureusement, c’est vrai. Mais je pose la question: Pourquoi l’Europe, pourquoi le monde, tolèrent cette intolérance palestinienne à l’égard des Juifs qui expriment leur désir de vivre en tant que minorité dans le futur État palestinien?

Et ce partage, comment doit-il se faire? Sur la base de quelles frontières? À cette question, la plupart des gens répondent: « Sur la base des frontières de 1967, bien entendu. » Encore une réponse qui prouve à quel point il faut remettre les pendules à l’heure.

D’abord, je me pose une question. S’il suffit de revenir à ce que l’on appelle à tort « les frontières de 1967? pour arriver à la paix avec les Palestiniens, comment se fait-il qu’il n’y avait pas la paix avant 1967? Les Palestiniens ont fini par convaincre le monde que l’occupation est la cause du conflit. Mais, en réalité, l’occupation est la conséquence du conflit. C’est précisément parce qu’on était en état de guerre avant 1967 et que les pays arabes déclenchèrent la guerre de juin 1967 qu’Israël s’est retrouvée en situation d’occupant.

Par ailleurs, l’expérience des quinze dernières années prouve que l’équation entre conflit et occupation est fausse. D’abord l’occupation israélienne en Cijordanie et à Gaza a pris fin en 1995 avec le retrait israélien de tous les villes et villages palestiniens et avec l’établissement d’un gouvernement autonome palestinien. Est-ce que cela a mis fin au conflit? Au contraire: c’est précisément après le retrait israélien que les vagues de terrorisme palestinien ont commencé a frapper les civils israéliens dans des proportions sans précédent. Même chose dans la Bande de Gaza: en 2005, Israël a déraciné des centaines de familles juives et rasé tous les villages juifs. Israël voulait prouver qu’elle était prête à faire des concessions douloureuses pour la paix et à démanteler ce que les Palestiniens appellent « les colonies. » Et qu’avons-nous eu en retour? Des milliers de roquettes tirées quotidiennement sur nos maisons, nos écoles, et nos usines.

Encore une fois, s’il suffisait de se retirer aux lignes de 67 et de démanteler toutes les habitations juives de Judée-Samarie pour arriver à la paix, comment se fait-il qu’il n’y avait pas la paix avant 1967? Tout simplement parce que cette théorie simpliste est fausse.

Alors, vous me direz: avec l’Égypte, on est revenus à la frontière de 67, et on a eu la paix. C’est vrai. Ou, plus exactement, c’est partiellement vrai, puisque la paix entre Israël et l’Égypte est purement formelle. C’est une paix froide, sans échanges commerciaux et culturels. Depuis trente ans qu’Israël et l’Égypte ont signé un accord de paix, aucun chef d’État égyptien ne s’est rendu en Israël (à l’exception de la visite éclair de Moubarak pour les funérailles de Rabin).
Avec les Palestiniens, les choses sont plus compliquées, car il y a un contentieux sur la question des réfugiés et sur la question de Jérusalem. Mais il y a également un contentieux sur la question des frontières.

Avec l’Égypte, la question des frontières ne posait pas problème, puisqu’il y avait une frontière internationale reconnue entre l’Égypte et Israël avant la guerre de juin 1967. Mais entre Israël et les Palestiniens, le concept même de « frontières de 67? est inexact.

Il n’y a jamais eu de frontière internationale reconnue entre Israël et les Palestiniens et il n’y a jamais eu d’État palestinien indépendant conquis et occupé par un pays tiers.
En 1947, la commission spéciale des Nations Unies créée pour trouver une solution au conflit en Palestine britannique, l’UNSCOP, recommanda le partage du Mandat britannique entre un État arabe et un État juif. Le 29 novembre 1947, l’Assemblée Générale des Nations Unies approuva cette recommandation par un vote majoritaire. Mais, comme nous l’avons vu tout à l’heure, les votes de l’Assemblée Générale ne sont que des recommandations et n’ont pas force exécutoire en droit international. Donc, contrairement à une idée reçue, l’ONU n’a en rien créé Israël. L’ONU n’a d’ailleurs pas le pouvoir de « créer » des États.

Les frontières proposées par le plan de partage de l’UNSCOP auraient pu théoriquement devenir des frontières internationales reconnues si le plan avait été accepté et mis en place par les parties. Mais ces frontières potentielles devinrent nulles et non avenues dès l’instant où les pays arabes et les Palestiniens rejetèrent le plan de partage et engagèrent une guerre d’extermination contre la population juive de la Palestine britannique. À l’issue du conflit, le nouvel État d’Israël réussit à repousser l’agression arabe. Conscientes de leur défaite, les armées arabes (à l’exception de l’armée irakienne) signèrent des accords d’armistice avec Israël à Rhodes en 1949.

Les Accords de Rhodes n’établirent pas des frontières, mais des lignes d’armistice. Non seulement des lignes d’armistice, mais des lignes d’armistice qui furent clairement et explicitement définies comme « temporaires » dans les accords, parce que les pays arabes l’exigèrent. Ils ne voulaient pas, en effet, que ces lignes d’armistices puissent être considérées comme permanentes ou, pire, comme des frontières, ce qui pour eux aurait constitué une reconnaissance de facto d’Israël. Aujourd’hui, les Palestiniens et les pays arabes parlent de « frontières de 1967? alors qu’à l’époque ils ne voulaient surtout pas entendre parler du mot « frontière. » Ils ont complètement retourné leur position à ce sujet.
Après la signature des Accords de Rhodes en 1949, les Palestiniens et les pays arabes auraient pu établir un État palestinien en Cisjordanie et à Gaza. Pendant les dix-huit années qui s’écoulèrent entre les Accords de Rhodes et la Guerre des Six Jours, les Palestiniens et les pays arabes s’abstinrent de créer un État palestinien. Au lieu de cela, l’Égypte et la Jordanie s’emparèrent des territoires destinés aux Palestiniens d’après le plan de partage de l’ONU (ou plutôt ce qu’il en restait après les Accords de Rhodes).
Déclaration du premier ministre de l'Australie, John Howard :


Les musulmans qui veulent vivre selon la loi de la Sharia Islamique se sont fait dire tout récemment de quitter l'Australie, dans le but de parer à d'éventuelles attaques terroristes, le gouvernement ayant ciblé les radicaux.


Apparemment, le premier ministre John Howard a choqué quelques musulmans australiens en déclarant "citation" : LES IMMIGRANTS, NON AUSTRALIENS, DOIVENT S'ADAPTER. À prendre ou à laisser, je suis fatigué que cette nation s'inquiète à savoir si nous offensons certains individus ou leur culture. Notre culture s'est développée en luttes, d'habileté et de victoires par des millions d'hommes et de femmes qui ont recherché la liberté. Notre langue officielle est l'ANGLAIS pas l'Espagnol, le Libanais, l'Arabe, le Chinois, le Japonais, ou n'importe quelle autre langue. Par conséquent, si vous désirez faire partie de notre société, apprenez-en la langue ! La plupart des Australiens croient en Dieu. Il ne s'agit pas d'obligation chrétienne, d'influence de la droite ou de pression politique, mais c'est un fait, parce que des hommes et des femmes ont fondé cette nation sur des principes chrétiens, et cela est officiellement enseigné. Il est parfaitement approprié de les afficher sur les murs de nos écoles. Si Dieu vous offense, je vous suggère alors d'envisager une autre partie du monde comme votre pays d'accueil, car Dieu fait partie de notre culture.

Nous accepterons vos croyances sans poser de question. Tout ce que nous vous demandons c'est d'accepter les nôtres, et de vivre en harmonie pacifiquement avec nous. Ici c'est NOTRE PAYS, NOTRE TERRE, et NOTRE STYLE DE VIE. Et nous vous offrons l'opportunité de profiter de tout cela. Mais si vous en avez assez de vous plaindre, de vous en prendre à notre drapeau, notre engagement, nos croyances chrétiennes, ou de notre style de vie, je vous encourage fortement à profiter d'une autre grande liberté Australienne, LE DROIT DE PARTIR.....

Si vous n'êtes pas heureux ici, alors PARTEZ. Nous ne vous avons pas forcés à venir ici.

Vous avez demandé à être ici. Alors, acceptez le pays que VOUS avez accepté.

(Peut-être que si nous faisions circuler ceci parmi nous, les Américains, les Canadiens,
les Européens, tous les citoyens du monde trouveraient le moyen de se tenir debout et
commenceraient à parler et à répandre les mêmes vérités).

Si vous êtes d'accord FAITES SUIVRE CE MESSAGE
Belle déclaration raisonnable alors qu'on se le dise et bravo monsieur le premier ministre.
Nous sommes Arabes Israeliens et nous Aimons Israel !
18 janvier 2010, 07:04
Selon un sondage d'opinion récent organisé par l'École Kennedy de l'Université de Harvard, 77 % des Arabes israéliens préfèrent vivre en Israël plutôt que dans un pays arabe ou autre pays du monde, quel qu'il soit.

Pour ses citoyens arabes, Israël fait mieux que les pays voisins.












[www.lepost.fr]
Re: Nous sommes Arabes Israeliens et nous Aimons Israel !
18 janvier 2010, 09:01
Si tout le monde parlait comme ça !!
Re: Nous sommes Arabes Israeliens et nous Aimons Israel !
18 janvier 2010, 10:32
On lui a rien donner à lire, il parle avec son coeur et son intelligence. Voila la difference.

je me souviens d'un arabe Israelien de Jerusalem, qui était venu à Ball State University à Muncie dans l'Indiana, pour étudier pour être prof d'anglais et de mathematique, j'avais des contacts avec les étudiants étrangers de l'University, c'était dans les années 70, donc apres la guerre des 6 jours, cet homme ne parlait pas avec les étudiants du Yemen et des autres pays arabe, il avait des autorisations de l'Etat d'Israel, Il n'y avait que moi et une étudiante Marocaine avec qui il parlait et se confiait. Le meme genre que ce jeune qui parle sur la vidéo.
Enfin, c'est bien que ces jeunes peu à peu sortent et racontent ce qu'ils pensent.

Lison
Re: Nous sommes Arabes Israeliens et nous Aimons Israel !
19 janvier 2010, 04:43
? Je vois pas ce qu'il y a d'étonnant.

Israël est leur pays, celui de leur parent, grands parents, arrières grands parents.... C'est leur pays depuis des dizaines de génération.
Re: Nous sommes Arabes Israeliens et nous Aimons Israel !
19 janvier 2010, 05:32
Tout est normal pour toi Rali, cet homme est soldat dans l'armée d'Israel, il connait son peuple mieu que toi.
si il parle c'est qu'il sait que ce qu'il dit n'est pas chose acquise et normale.

Les bourgeois marocains à la sauce de gauche à la française, tu ne vas pas t'en sortir facilement, tout s'apprends avec l'experience et le temps !
sorry about that !

Lison
Re: Nous sommes Arabes Israeliens et nous Aimons Israel !
19 janvier 2010, 10:33
bonjour,

Les deux nattes de ce bonnet bleuâtre, nouées ensemble donneraient bien la tête d`un de ces lapins goinfrés, mais dont le taux de natalité suscitent tant d`appréhension électorale en Israël. A entendre certains propos réverbérant dans les coulisses, le transfert de ce bonnet de l`autre cote du mur est plus qu`une simple hypothèse.
Bénéficiant des même droits que les citoyens juifs, ce monsieur se proclame heureux sous leurs symboles nationaux. Alors qu`au fond de la question, il n’est pas plus authoritaire qu`un bouc qui broute de l`herbe dans un champ abondant, mais sous la veillance du bâton son Shepherd.
Telle est sa liberté qu`il semble prendre sous son bonnet !!!

bonne journee !

Fitavaliz
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