OUJDA, ville frontaliere, son histoire,ses origines..

.Sous un autre angle
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Bonsoir Maurine.

Tout à fait d'accord avec toi. A mesure qu'on avance dans le livre, on s'aperçoit que l'auteur n'est pas méchant.
Si j'ai souligné la phrase en question, c'est parce qu'elle m'a choqué. Le Monsieur n'étant plus, on lui pardonne.

Voici la photo sans l'école

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Citation
Debdoubi
Bonsoir Maurine.

Tout à fait d'accord avec toi. A mesure qu'on avance dans le livre, on s'aperçoit que l'auteur n'est pas méchant.
Si j'ai souligné la phrase en question, c'est parce qu'elle m'a choqué. Le Monsieur n'étant plus, on lui pardonne.

Voici la photo sans l'école

......sic !!!

Bonjour Meskellil.

Mon message n'est ni ambigu ni étrange, il suffit de lire le message de Maurine du 07/08/2010 à 16h24 pour comprendre qu'elle voulait la photo originale sans l'incrust de l'école.

Amitié.

Meskellil

Rien ne t'oblige au style télégraphique, développe ta pensée, en plus d'un mot si possible c'est gratuit

voici une photo de l'hôtel Simon a ses heures de gloire ...
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Bon Ramadan
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Oujda 16 Août 1953 - article d''Ali Kharroubi, ALM paru sur Oujda.ma
-

Un soulèvement populaire qui conforta le patriotisme authentique d’une ville et d’une région engagées dans la défense de l’intégrité territoriale du Maroc et des symboles de sa souveraineté. Oujda qui fut la première ville marocaine à tomber entre les mains des forces de l’occupation en 1907 fut aussi la première à s’insurger contre la présence coloniale. Ce fut un dimanche 16 aout 1953 à 18 H lorsqu’ un groupe de patriotes bravèrent haut leur refus au dictat du protectorat. Jeunes, adultes et militants déterminés dans leur cause et résolus à aller jusqu’au bout dans leur revendication se soulevèrent contre l'ordre établi dans l’ensemble des quartiers de la ville. Les partisans qui ont reçu le feu vert le même dimanche à 10 H ont à 18 H embrasé toute la ville qui était déjà en ébullition contre les manoeuvres coloniales à l’égard du symbole de la souveraineté marocaine : feu Mohammed V. Une population déjà préparée grâce aux réunions clandestines encadrées par des nationalistes convaincus de leurs droits en un pays libre et indépendant. Des tracts incitant à l’insurrection faisaient déjà l’effet d’un feu de paille, alors que le bouche à oreille a réussi la sensibilisation parfaite : « Donnez votre sang pour sauver la patrie et le roi » « Menez une tutte farouche pour l’honneur des marocains » mots d’ordre que la population a appris et appliqué.
« La grande marche est celle qui s’est déclenchée à partir de Jnanate Al Ouniya et Sidi Yahia et ce en parallèle avec l’ensemble des manifestations provoquées dans les quatre coins de la ville. Un soulèvement populaire usant d’armes blanches pour marquer le point du non retour : haches, couteaux, bâtons, faucilles. Tout était utilisé pour dissuader l’occupant et ses acolytes. Les militants de la gare ont reçu l’ordre de déclencher des actes de sabotage dans las hangars des chemineaux afin de surprendre l’occupant et ses forces » a rapporté à ALM, Mohammed El Arabi un dirigeant de l’Istiklal et membre actif de la mutinerie d’Oujda. L’intifada d’Oujda, selon Mr El Arabi , était marquée par la participation massive des jeunes qui ont fait preuve d’une grande bravoure et d’un patriotisme sans limite. Les femmes de leurs cotés assumaient la logistique communicative à l’instar de la militante Amina Berhili qui a joué un rôle d’intermédiaire entre les différentes composantes de la résistance.............


Ce que ne dit pas ce partisan, c'est que ces héroïques résistants ne s'en prenaient ni aux militaires, ni aux autorités, mais à d'innocents concitoyens qui se trouvaient en ville l' après-midi d'un dimanche en plein coeur de l'été.

S'en prendre aux hangars de cheminots relevait certainement du sabotage, mais quelle en était la finalité ?

Qui connaît le nom des victimes dites "francophiles" de ce 16 août 1953 ?

A noter que la déposition du Sultan n'est effective que le 20 août 1953





Modifié 1 fois. Dernière modification le 16/08/2010 05:52 par Maurine.
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1909 toujours un 16 août, un autre résistant au régime.

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Et toujours dans le registre des "résistances oujdies" bien aidé par les Beni Snassen dissidents, en 1903 le même Bou Hamra qui contestait l’autorité du sultan, massacrait les populations, dévastait l'oriental et Oujda en particulier, réduisait non seulement l'amalat à demander asile à Marnia mais à requérir de surcroît pour le makhzen, l'aide des troupes françaises....
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A propos de l'été 1953 à OUJDA:
Merci, Maurine, de citer cet article, si peu journalistique au demeurant, que je ne connaissais pas. Il est à ajouter à mon récit personnel évoqué en page 31 et daté du 29.08.2009. Nous n'avons pas lu beaucoup de témoignages sur cette période chez les lecteurs de DAFINA.
Cordial salut à chacune et chacun.
P'tit Jacques

L'oudji fait de la résistance devant la télé , attendant le prochain film pour se faire une opinion

Pour être moins évasifs, et toujours avec les mêmes sujets, comment ne pas relater les résistances des Beni Snassen vis à vis du Sultan ?


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Voilà un aperçu, suivent 35 pages du même tonneau.
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vive oujda je suis fiére d'etre un ouajdi

Citation
Maurine
Oujda 16 Août 1953 - article d''Ali Kharroubi, ALM paru sur Oujda.ma
-

Un soulèvement populaire qui conforta le patriotisme authentique d’une ville et d’une région engagées dans la défense de l’intégrité territoriale du Maroc et des symboles de sa souveraineté. Oujda qui fut la première ville marocaine à tomber entre les mains des forces de l’occupation en 1907 fut aussi la première à s’insurger contre la présence coloniale. Ce fut un dimanche 16 aout 1953 à 18 H lorsqu’ un groupe de patriotes bravèrent haut leur refus au dictat du protectorat. Jeunes, adultes et militants déterminés dans leur cause et résolus à aller jusqu’au bout dans leur revendication se soulevèrent contre l'ordre établi dans l’ensemble des quartiers de la ville. Les partisans qui ont reçu le feu vert le même dimanche à 10 H ont à 18 H embrasé toute la ville qui était déjà en ébullition contre les manoeuvres coloniales à l’égard du symbole de la souveraineté marocaine : feu Mohammed V. Une population déjà préparée grâce aux réunions clandestines encadrées par des nationalistes convaincus de leurs droits en un pays libre et indépendant. Des tracts incitant à l’insurrection faisaient déjà l’effet d’un feu de paille, alors que le bouche à oreille a réussi la sensibilisation parfaite : « Donnez votre sang pour sauver la patrie et le roi » « Menez une tutte farouche pour l’honneur des marocains » mots d’ordre que la population a appris et appliqué.
« La grande marche est celle qui s’est déclenchée à partir de Jnanate Al Ouniya et Sidi Yahia et ce en parallèle avec l’ensemble des manifestations provoquées dans les quatre coins de la ville. Un soulèvement populaire usant d’armes blanches pour marquer le point du non retour : haches, couteaux, bâtons, faucilles. Tout était utilisé pour dissuader l’occupant et ses acolytes. Les militants de la gare ont reçu l’ordre de déclencher des actes de sabotage dans las hangars des chemineaux afin de surprendre l’occupant et ses forces » a rapporté à ALM, Mohammed El Arabi un dirigeant de l’Istiklal et membre actif de la mutinerie d’Oujda. L’intifada d’Oujda, selon Mr El Arabi , était marquée par la participation massive des jeunes qui ont fait preuve d’une grande bravoure et d’un patriotisme sans limite. Les femmes de leurs cotés assumaient la logistique communicative à l’instar de la militante Amina Berhili qui a joué un rôle d’intermédiaire entre les différentes composantes de la résistance.............


Ce que ne dit pas ce partisan, c'est que ces héroïques résistants ne s'en prenaient ni aux militaires, ni aux autorités, mais à d'innocents concitoyens qui se trouvaient en ville l' après-midi d'un dimanche en plein coeur de l'été.

S'en prendre aux hangars de cheminots relevait certainement du sabotage, mais quelle en était la finalité ?

.................Je crois qu'il faudrait respecter les opinions des indigènes !!!

Pour un esprit ouvert : le respect est dû à tous et à chacun ; les opinions sont individuelles, et la liberté d’expression fondamentale.

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Est-ce que vous avez des données sur le parcours de l'abbé Gérard à Oudjda ?