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moyen-orient

Aujourd’hui, alors que la confrontation avec les organisations terroristes islamiques de Gaza glisse vers une guerre généralisée, tous les spécialistes militaires et les media de l’Etat hébreu ont soudain adopté cette explication : la stratégie de Binyamin Netanyahu consiste à maintenir la gouvernance du Hamas dans la bande côtière afin d’exclure Gaza de la discussion politique quant à l’avenir des Palestiniens. 

Pendant deux jours les populations civiles du sud d'Israël ont subi les bombardements de 600 roquettes, expédiées depuis Gaza, par le Hamas et le Jihad islamique. Il y a quatre morts et des dizaines de blessés. Aucune protestation, aucune pétition indignée. 

L’ambassadeur de France à Washington, Gérard Araud, a accusé Israël d’être un «État-apartheid». Pour Stéphane Amar, journaliste vivant en Israël, la comparaison avec l’Afrique du Sud ne tient pas, et l’enjeu pour ce pays porte plutôt sur l’avenir des colonies en Cisjordanie.

Voilà deux ans que le plan de paix proposé par le président Trump en vue de résoudre le conflit israélo-palestinien a fait surface et jusqu'à présent on peut remarquer qu'il est encore le seul, avec une poignée de collaborateurs, à en connaître la teneur précise. Toutefois, certaines fuites corroborées par des conversations avec des représentants de l'administration Trump, ont permis d'accumuler une série d'indices donnant du contenu de ce plan une idée assez fiable.

Le 4 avril 2019, le général Haftar a décidé d’envahir la Tripolitaine avec 10 000 troupes, pensant pouvoir conquérir rapidement la capitale Tripoli aux mains de Fayez al-Sarraj, premier ministre du Gouvernement d’union nationale libyen.

Le Président Trump a aboli les permissions spéciales octroyées à certains pays de poursuivre l’importation de brut iranien. Ces pays, dont la Chine et l’Inde, n’ont pas la capacité d’aller à l’encontre de la décision de Washington. La perte de sa principale source de revenus va rapidement étrangler le régime des ayatollahs et ses supplétifs armés du Hezbollah libanais.

Trois pays sont principalement concernés : la Chine, l’Inde et la Corée du Sud, qui achètent à elles trois les deux tiers des exportations iraniennes de pétrole, soit 1 millions de barils par jour (mb/j) sur les 1,5 millions exportés par l’Iran.

Dans le contexte de la reconnaissance par le président américain Trump, le 25 mars 2019, de la souveraineté d’Israël sur le Golan, et du 40e anniversaire des accords de paix entre Israël et l’Égypte, la presse arabe, et notamment égyptienne, a publié des articles critiquant la gestion par les Arabes et les Palestiniens du conflit avec Israël.

L’objectif visé, parmi d’autres, était une usine de fabrication de missiles sol-sol de conception iranienne, située à 1.2km au nord de l’extrémité de la ville de Masyaf comptant environ 35 000 habitants.

"Le président Poutine a cette force de rapatrier le corps d'Elie Cohen, mais la question est de savoir quel est le prix qu'Israël devra payer?" Yoni Ben Menahem, journaliste spécialiste du Moyen-Orient 

Selon Tasnim, les pluies diluviennes et les inondations sont dues à une manipulation du climat par les ennemis de l’Iran – allusion aux Etats-Unis et à Israël – qui cause un changement drastique du climat et des inondations sans précédent dans l’histoire du pays.

La joie a envahi les rues des villes d’Algérie, après l’annonce tant attendue : Bouteflika renonce à briguer un cinquième mandat. C’est une grande victoire pour le mouvement de masse qui s’est développé depuis le milieu du mois de février.

Des informations quant au contenu du Plan Trump ont été révélées par le quotidien libanais Al-Akhbar, indiquant que le plan préparé depuis deux ans par l’Administration Trump prévoit une implication significative de pays arabes dans la solution du « problème palestinien » qu’ils ont finalement créé de toutes pièces depuis 1948.

Continuant la tradition diplomatique anti-israélienne française mise en place au temps du Général de Gaulle, le trop célèbre auteur des propos antisémites qualifiant les Juifs de “peuple dominateur et sûr de lui”, se pliant à la “politique arabe de la France” mise en œuvre au Quai d’Orsay depuis des décennies, Emmanuel Macron a pris position contre la reconnaissance par les Etats-Unis du plateau du Golan comme territoire israélien.

L e 30e Sommet arabe de Tunis n’a pas dérogé à la règle d’être une rencontre entre frères vivant nombre de différends, pour ne pas dire ennemis. Le soutien classique à la Palestine et à la Libye mais, point d’entente sur la Syrie.

Je ne suis ni juif, ni musulman, seulement né chrétien et de philosophie bouddhiste attaché viscéralement aux principes de vie et de liberté de conscience. J’ai des amis en Israël, mais aussi en Palestine, en Égypte, au Liban, en Syrie; comme organisateur, j’ai participé activement aux conférences de Genève et de Lausanne pour la paix au Liban 

Il s’agit d’une attaque majeure ayant ciblé plusieurs objectifs distincts lors de plusieurs vagues d’assaut. Nous savons avec certitude que l’aéroport militaire de Nayreb, à l’est d’Alep, principalement utilisé pour acheminer du matériel militaire et des soldats depuis l’Iran a été atteint, de même que des entrepôts d’armes juste au nord de cette installation. 

Les dirigeants arabes et musulmans ont souligné la responsabilité qui incombe à l’Occident et à la communauté internationale de protéger les musulmans contre le terrorisme et de combattre l’extrême-droite ainsi que le racisme et l’islamophobie qu’elle répand.

Téhéran en a donné l’ordre au Jihad Islamique qui est son organisation supplétive dans la bande de Gaza. Ce haut responsable a précisé que les Iraniens étaient « passés au-dessus » de la direction du Hamas en s’adressant directement au Jihad Islamique.

Faute de prévoir des frappes de nature à faire taire les lanceurs de roquettes djihadistes, il est préférable de ne pas déclencher d’opération militaire.

Le Hamas, qui régit la bande de Gaza (mais ne la régit pas entièrement, car le Djihad islamique palestinien peut agir sans que le Hamas ait apparemment les moyens de l’en empêcher), obéit aux ordres de ceux qui le financent. Aujourd’hui, c’est essentiellement l’Iran et, secondairement, le Qatar.

Mouallem a passé en revue les dimensions du complot tramé contre la Syrie et le rôle de certains pays régionaux et occidentaux bien connus par leur soutien aux organisations terroristes, soulignant la nécessité d’exercer des pressions sur ces pays pour arrêter leur soutien.

Le jeune joueur d’échecs de l’équipe nationale iranienne, Aryan Gholami, qui a refusé d’affronter un rival de l’entité sioniste lors d’un récent tournoi international, a rencontré aujourd’hui, avec sa famille, le Guide de la Révolution islamique, l’ayatollah Khamenei. Le Guide l’a félicité pour ce qu’il a fait.

"Le président Sissi n’a pas seulement parlé avec affection du vibrant passé de la communauté juive en Egypte, il a également dit que s’il y avait une renaissance ce cette communauté en Egypte, le gouvernement fournirait les infrastructures religieuses nécessaires", a indiqué l’Américain au Jerusalem Post.

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