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Moyen-Orient

Selon des informations parues dans certains médias, le président de l’Autorité palestinienne Mahmoud Abbas a appelé le groupe terroriste Hamas, soutenu par l’Iran, à « remettre ses armes à l’Autorité palestinienne ».

Affirmer qu’il y a un génocide à Gaza n’en fait pas une réalité. Ni les images sordides, ni les comptabilités macabres, ni les témoignages morbides ne constituent une preuve. Un génocide est une "intention programmée d’exterminer" un peuple, ou un groupe humain déterminé, et la "mise en œuvre de cette extermination".

Pour ceux qui s'intéressent à l'actualité politique internationale, les jours qui ont suivi l'attaque du 13 juin menée par Israël contre l'Iran se sont traduits par une vérification addictive du smartphone pratiquement à chaque heure en vue de connaître le dernier rebondissement.

Le slogan « Make America Great Again » de Donald Trump ne relève pas seulement de la rhétorique politique : il traduit une réorientation fondamentale de la politique étrangère des États-Unis. Le Moyen-Orient n’est plus un théâtre d’engagement militaire direct, mais un échiquier sur lequel Washington entend ménager ses efforts tout en consolidant son hégémonie économique et stratégique.

La caravane partie de Tunis à destination de Gaza, avec pour objectif d’atteindre les frontières du territoire palestinien pour symboliquement « briser le blocus israélien », a été stoppée en Libye, ont annoncé vendredi ses organisateurs.

Les slogans « Mort à l’Amérique » et « Mort à Israël » ont de nouveau retenti, cette année encore en présence du Guide suprême iranien, l’ayatollah Ali Khamenei. Ce dernier multiplie les déclarations incendiaires, promettant l’anéantissement d’Israël avec une constance inquiétante.

Des organisations juives de tous horizons ont apporté leur soutien sans réserve à Israël après le lancement, dans la nuit de jeudi à vendredi, d’une attaque préventive menée contre des installations nucléaires iraniennes.

La Qatar Investment Authority a acheté à Steve Witkoff, un investisseur immobilier, l'hôtel Park Lane à New York pour la somme de 623 millions de dollars. Désormais émissaire du président Trump, Witkoff a fait l'éloge du Qatar dans une récente interview avec Tucker Carlson : « Ce sont des gens convenables et corrects.

Dans 90 % des cas, j’ai affaire à des personnes, le plus souvent, sincèrement indignées… mais qui ne savent pas qu’elles le sont par pure ignorance. Elles ont des « opinions », oui, mais rarement, très rarement, de la connaissance : ni culture historique, ni compréhension géopolitique, ni même mémoire des faits.

Trump s'est radicalisé au cours des quatre années où il n'était plus au pouvoir, particulièrement lors de sa comparution humiliante en tant qu'accusé dans une morne salle de tribunal. C'est très déterminé qu'il est revenu à la présidence, accompagné d'une équipe qui lui est dévouée (plusieurs ont fait de la prison pour lui) et est tout aussi déterminée.

1949, après la guerre d’indépendance d’Israël : l’Égypte annexe Gaza, la Jordanie occupe la Judée-Samarie. Aucun État palestinien n’est créé. Quand Israël reprend ces territoires en 1967, ce n’est pas à un “État palestinien”, mais à des puissances arabes.

Cette vidéo qui reflète l’horreur et le tourment endurés par ces innocents est le cruel témoignage de la barbarie islamiste que rien, aucune loi, aucune cause, aucune souffrance, ne saurait justifier. Se confondre en plaintes, jérémiades et lamentations envers le peuple gazaoui tout en vilipendant Israël pour la « brutalité » et « l’inhumanité » de sa réplique est effarent.

"Le territoire actuel d'Israël ne représente que 23% de son étendue prévue lors des accords de San Remo." Vous connaissez cette fausse carte qui prétend qu'Israël aurait "grignoté" progressivement les territoires arabes ? Le célèbre guide Yossi Touitou y répond dans cette vidéo.

La blogueuse musulmane Hoda Janat a été choquée par ce qu'elle a appris sur Gaza depuis le début de la guerre. Dans un message audacieux, elle décrit ce qu'il a appris du processus de guerre et révèle la vie belle et confortable à laquelle les habitants de Gaza et les dirigeants de l'organisation Hamas se sont habitués grâce à la considération d'Israël.

Depuis le 25 mars, des foules de Gazaouis, majoritairement jeunes, défilent par milliers dans les rues jonchées de bâtiments détruits, et hurlent des slogans en brandissant des pancartes. Ils marchent pacifiquement, à visage découvert, en plein jour, et parlent avec colère devant des caméras vidéo en gros plan.

Invité de la Grande interview Europe 1/CNews ce mardi, Georges Bensoussan, historien spécialiste du conflit israélo-arabe partage ses inquiétudes quant à l'attaque sans précédent de l'Iran contre Israël ce week-end. Pour le spécialiste la "menace génocidaire" liée à la puissance nucléaire de l'Iran est bien réelle et ne peut être ignorée.

L’attaque du 7 octobre a bouleversé le visage du Proche-Orient. Ce qui a suivi a redessiné la carte régionale : invasion de Gaza, démantèlement du Hezbollah au Liban, prise du pouvoir en Syrie par les salafistes, retrait précipité des milices chiites soutenues par l’Iran, contrôle israélien des zones frontalières nord et nord-est, attaques des Houthis en mer Rouge et riposte occidentale.

Après Al-Qaïda filmant l'égorgement de Daniel Pearl, après Daech et ses décapitations postées sur YouTube, le monde s’habitue aux mises en scène du Hamas.

Pourquoi crier « C'est une honte ! » aux enfants qui suivent un traitement au Memorial Sloan Kettering Cancer Center de New York en les accusant de « complicité de génocide » ? Pourquoi attaquer un restaurant McDonald's en lui reprochant d'avoir préparé des « repas pour le génocide » ? Pourquoi défigurer le Lincoln Memorial à Washington ?

Selon Me Zimeray, qui a expliqué ne pas avoir eu de visa pour se rendre en Algérie afin de voir son client, Boualem Sansal aurait pris cette décision «en raison des pressions exercées contre lui pour changer d’avocat».

Le Proche-Orient vient de basculer dans une ère nouvelle. La chute brutale du régime de Hafez Al-Assad, longtemps considéré comme inébranlable grâce au soutien de la Russie, de l’Iran et du Hezbollah, a pris le monde par surprise. Pourtant, une convergence de facteurs a précipité sa chute

La quantité d’armes accumulées par le Hamas dans ses tunnels fortifiés ne laisse guère de doute sur leur provenance : la frontière égyptienne, plus précisément l’axe de Philadelphie qui a servi de corridor stratégique à ce trafic. L’idée que l’Égypte, signataire d’un traité de paix avec Israël depuis 1979, ait pu ignorer cette réalité semble peu crédible.

Victimes de la barbarie nazie, nous voici piégés par les barbares islamiques qui nous dénient le droit de vivre, quel que soit le pays choisi, Israël ou ailleurs. Je me suis longtemps tue, perdue dans le récit des Femmes d’Auschwitz. Mais j’ai suivi la guerre, les incohérences des soulèvements, manifestations, flambées de haine de nos rues

Dans The Secret Apparatus: The Muslim Brotherhood's Industry of Death [L'appareil secret : l'industrie de mort des Frères musulmans] (New York: Bombardier Books, 2022), Cynthia Farahat affirme que les Frères musulmans (FM), fondés il y a près d'un siècle, présentent une menace bien plus grande qu'on ne le pense habituellement,

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