Share |

Maroc

Selon des sources concordantes, l’aéroport Menara de la ville ocre est depuis le 8 Avril la destination de plusieurs groupes de marocains juifs venus de tous les coins du monde, et particulièrement de la France. Par ailleurs, quelques uns viennent de l’état de Palestine occupée (appelé communément Israël) mais avec des passeports étrangers…

Savait-on que Casablanca était le laboratoire de l'architecture expérimentale du 20e siècle ? Que le résident général du protectorat français (1912-1956) Lyautey, reproduisant le geste de Napoléon III, a lancé un programme à la Haussmann, ouvert à l'avant-garde de son époque ? Que les jeunes architectes casablancais en sont totalement fiers ? Que les Européens et les Marocains firent ensemble de Casablanca une perle, bien défraîchie aujourd'hui ?

Safi , une ville marocaine sur l'Atlantique, était au début du XXè siècle avec une population juive plus nombreuse que la musulmane. Mais il a fallu moins de dix ans, au début de l'indépendance, pour réduire les hébreux à des habitants qu'on peut compter, à présent, sur les doigts d'une seule main.

Le Maroc "garantit le respect des libertés individuelles et des libertés des cultes", a indiqué le ministère du Tourisme au lendemain d'une polémique suscitée par les propos d'un ministre islamiste sur le tourisme à Marrakech, au sud du royaume.

Me Maroc, le pays ou la coexistence judéo-arabe était la plus parfaite, est en train de sombrer dans les méandres de la haine et de l’ignorance. Triste réalité.

Après le Salon du Livre de Casablanca où des classiques antisémites étaient mis en avant, voilà que le Maroc tombe un peu plus dans l’hystérie anti-judéo-israélienne.

Un vibrant hommage a été rendu à feu S.M. Mohammed V, lors du festival du film sépharade à New York (16-22 mars), à travers la projection du documentaire «S.M. Mohammed V, Juste parmi les Nations», en reconnaissance de l’action héroïque du Père de la Nation dans la protection des Juifs marocains.

C’est avec un Gad El-Maleh très en forme que le public avait rendez-vous, samedi dernier, à l’hôtel Sofitel de Marrakech, le temps d’un spectacle époustouflant. Un show digne du grand humoriste marocain. Décontracté, plus que d’habitude, jovial et hilarant, Gad El-Maleh a réussi à répandre la joie et le bon humour dans la salle qui le suivait avec attention en se laissant volontairement prendre à son jeu d’improvisation, dont il est le maître absolu.

Le suicide, le 10 mars dernier, de la jeune d’Amina Al Filali, 16 ans, mariée de force à son violeur, a choqué le Maroc. La population et la presse appellent à une réforme de la loi loi qui joue en faveur du violeur, lui permettant d’épouser sa victime pour échapper à la justice.

Quiconque a entendu parler de ce qui ce passe dans le monde arabe ne sera pas surpris qu’un récent salon du livre au Maroc a mis en vedette des classiques antisémites tels que «Mein Kampf» et «Les Protocoles des Sages de Sion.

Raphaël Benchimol, rabbin orthodoxe et membre de la Congrégation Sépharade de Manhattan a été décoré dimanche dernier du Wissam Al Arch de l’Ordre du Chevalier, décerné par le souverain marocain. Une distinction qui honore la tolérance entre juifs et musulmans marocains, alors qu’Israël entretient des relations ténues avec ses voisins arabes.

Le chef du gouvernement a commis aujourd’hui un impair envers les Juifs marocains. Abdelilah Benkirane a quelque peu dérapé lors de la séance d’ouverture du comité central de la jeunesse du Parti de la justice et du développement (PJD).

Un tribunal marocain a condamné un homme qui a placé le drapeau israélien au devant de sa maison à six mois de prison. C’est le journal arabe Al-Arabiya qui raconte cette histoire dans ses colonnes du samedi 3 février. « Mohammed Jadidi, 42 ans, a hissé le drapeau israélien sur sa maison située dans la ville de Nador, près de l’aéroport international

L’histoire intime d’Hillary Clinton avec le Maroc remonte à 1999, lorsqu’elle était alors la première dame des Etats-Unis. A l’époque, en pleine tornade médiatique provoquée par l’affaire Monica Lewinsky, Hassan II l’avait invitée en son royaume pour, dit-on, la consoler des infidélités de Bill, le président volage.

Désireux de rompre avec les habitudes du passé, le nouveau gouvernement marocain, dirigé depuis janvier par l’islamiste Abdelilah Benkirane, cherche à projeter une image de vertu en temps de crise. Élu sur la base de ses promesses de rupture avec le bilan contesté du gouvernement précédent, le cabinet se veut en phase avec les difficultés quotidiennes de l’homme de la rue.

Quelque 91 cas d’auto-immolation ont été recensés au Maroc. Si seulement 15 d’entre eux ont été mortels, le chiffre n’en demeure pas moins alarmant. Mais ce que nous avons tendance à oublier, c’est que bien avant la Bouazizimania, devenue une véritable tendance dans de nombreux pays, des jeunes diplômés chômeurs à Rabat pratiquaient cette forme de protestation depuis quelques années déjà afin de réclamer du travail dans la fonction publique.

Enfin une Miss pour le Maroc ! Sara Mouatamid a tout juste 19 ans. Elle vient de passer de l’anonymat aux lustres de reine de beauté nationale. Sur 2 491 candidates, l’étudiante en commerce a décroché la couronne, samedi dernier à l’hôtel Mazagan d’El jadida.

Première destination du Maroc, avec 50 % de la capacité touristique nationale, Marrakech appréhende une saison 2012 difficile. L'an passé, les professionnels ont dû faire face au Printemps arabe puis à l'attentat du 28 avril, qui a fait 17 morts sur la place Jemaa el-Fna, centre névralgique et symbole de la cité. Et la crise économique en Europe, dont sont originaires 67 % des visiteurs, n'est pas pour rassurer.

Pour la première fois de son histoire, le Maroc va élire sa Miss nationale à El Jadida ce samedi soir. C'est un titre qui, bizarrement, ne figurait pas encore au patrimoine culturel du Royaume des... gazelles raffinées. Cette ineptie va enfin être réparée ce samedi. Le concours de beauté le plus réputé du monde va se décliner au Maroc. Et pour la première de son histoire, le pays va élire sa Miss.

QUAND le zellige marocain se distingue à l’international, c’est automatiquement le nom d’Aït Manos qui vient à l’esprit. Primé au concours Morocco Awards 2011, Aït Manos, «la tribu qui façonne à la main», a reçu le trophée de la meilleure marque du terroir.
Une distinction qui revient à l’aptitude de l’exportateur à sauvegarder des techniques ancestrales du patrimoine artisanal du Maroc

En dépit des conflits récurrents qui révulsent le Moyen-Orient, un “dialogue fécond et constructif” entre Juifs et Musulmans n’est pas un voeu chi­mé­rique mais, au contraire, un noble dessein très réalisable. C’est tout du moins le principal credo de la philosophie d’action prônée par les membres, des Juifs et des Musulmans d’origine marocaine, de Mémoires & Dialogue

Il s'appelait Abdelwahab Zeidoun. Titulaire d'un master en documentation de l'université de Fès, dans le centre du Maroc, il participait depuis deux semaines à un sit-in dans une annexe du ministère de l'Éducation à Rabat. Face au refus des autorités de lui accorder un emploi dans la fonction publique, le jeune chômeur s'est aspergé d'essence mercredi dernier, avant de s'immoler par le feu. Atteint de brûlures au deuxième degré, Abdelwahab Zeidoun a succombé mardi à ses blessures.

Les Berbères qui représentent 50 % de la population marocaine se répartissent entre trois grandes régions : le Rif, le Moyen-Atlas et au Sud, la région du Souss. Elles sont régiesrespectivement par trois groupes : le tarifit, le tamazight et le tasoussit ou tachelhit. Initiée par des intellectuels berbérophones de naissance, la revendication berbériste se diffuse maintenant dans toutes les couches de la société marocaine.

Sans surprise, l'état des lieux est également contradictoire selon les destinations avec notamment une chute des ventes sur l'Egypte (-60%), la Tunisie (-40%), et le Maroc (-25%).

Contenu Correspondant