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Je suis le vent qui souffle dans les arbres  Je suis le scintillement du diamant sur la neige  Je suis la lumière du soleil sur le grain mûr  Je suis la douce pluie d'automne... 

En arrivant au pouvoir, le président turc Erdogan a joué la carte de l’islam modéré et démocratique. Il a graduellement érodé la démocratie et l’héritage laïque d’Atatürk. Pour atteindre ses buts, soit une réélection qui lui permettrait de rester au pouvoir jusqu’en 2029, Erdogan a eu recours à maints atouts démagogiques.

Tout commence à Paris il y a une dizaine d'années, au cœur du quartier historique des Grands Boulevards rebaptisé aujourd'hui le "Boulevard du rire", lorsqu'Emmanuel Smadja lance son café-théâtre, le "Pranzo" qui deviendra au fil des années une pépinière de talents de la scène humoristique française.

Israël et la Russie auraient signé un accord qui donne aux avions-chasseurs israéliens le « feu vert » pour frapper des cibles iraniennes en Syrie et qui spécifie également le retrait des troupes appuyées par l’Iran de la frontière syrienne avec l’Etat juif, a fait savoir le journal Asharq Al-Awsat.

Interview très intéressante de Bernard Henri Lévy sur sa relation au judaïsme. Lui qui se dit agnostique, voire athée, vient de prouver à travers cette interview, qu’il n’a jamais cessé de se considérer comme juif dans son action quotidienne, qu’elle soit politique ou intellectuelle.

Intitulée dans un premier temps, en 1948, « La création des Etats palestiniens », cette thèse, publiée sous le titre plus conforme à ce que l’Histoire a finalement choisi, « La création de l’Etat d’Israël », apporte un éclairage irremplaçable sur les étapes qui, au fil des ans, a permis ce véritable miracle qu’aura été la renaissance d’un Etat juif en terre d’Israël.

Il semble loin le temps des discours triomphalistes annonçant la victoire de l’axe pro-iranien dans toute la région. C’était il y a quelques mois seulement, pourtant. L’Iran et son obligé libanais considéraient qu’ils avaient gagné la guerre en Syrie, et se félicitaient, non sans une certaine arrogance, de la formation d’un corridor chiite reliant Téhéran à la Méditerranée, en passant par l’Irak, la Syrie et le Liban. 

Des images chocs, des commentaires tronqués, des réactions déséquilibrées, ont fait des soldats d’Israël des bourreaux sanguinaires, sans prendre la peine d’analyser, d’écouter et de juger les faits qui ont conduit à cette catastrophe.

Bernard-Henri Lévy : "le premier à l'avoir compris c'était le plus grand philosophe français Jean-Paul Sartre (...) qui disait qu'il voit un avenir glorieux à sa propre oeuvre depuis qu'il a découvert la pensée juive..."

Avec Izza Genini, on peut parler d'une Agnès Varda marocaine. Grâce à cette dame, le cinéma n'a pas perdu sa mémoire.  Et l'association Anouarts a eu raison de lui consacrer toute une semaine spéciale où Ijja, d'origine judéo-Imazighen, a relevé un défi et un seul: immortaliser la mémoire et sauver une partie de la création immatérielle de la déperdition. 

Surplombant le quartier juif ..., le Kotel domine la vue et la vie de Jérusalem, englobe toutes ses histoires et rythme le temps des habitants.

Après les rumeurs sur les tensions entre Lalla Salma et la famille royale relayées notamment par Ignacio Cembrero, voila que le magazine espagnol ¡Hola! titre ce 21 mars : «Mohammed VI et la princesse Lalla Salma ont divorcé»

Je comprends que vous soyez opposé à la politique du gouvernement israélien ; beaucoup d’Israéliens le sont aussi, mais pratiquement aucun d’eux n’aurait réagi différemment pour s’opposer à ce qui était une tentative soigneusement organisée et pas pacifique du tout d’envoyer des militants en Israël pour tuer et/ou enlever des civils israéliens.

Joseph Toledano n’a pas seulement écrit un ouvrage sur la communauté juive de Meknès mais une véritable encyclopédie sur l’histoire et la culture des Juifs du Maroc. Meknès a été fondée en 711 par la tribu amazighe des Meknassas, qui lui a donné son nom.

A l’occasion du mois sacré de Ramadan, la Fondation du Patrimoine Culturel Judéo-Marocain organise au sein du Musée Juif de Casablanca une distribution d’aide financière à plus de 300 personnes défavorisées. 

En effet, selon les données des Nations unies, les exportations israéliennes vers le Maroc s’élevaient déjà à environ 39,62 millions de dollars américains, tandis que la liste des importations de matériaux et de biens présentait une grande diversité dans les exportations de l’Etat hébreu vers le Maroc. 

Récit bref sur la vie des juifs à Laghouat raconté par le petit-fils de Jacob Lalou. Ce dernier était commerçant puis maire de la ville de Laghouat.

Les inventeurs du “peuple palestinien” ont pensé que présenter les choses comme une “lutte de libération nationale” serait une excellente opération de propagande. Il fallait pour cela inventer un peuple opprimé. Ce fut fait. Il fallut inventer une organisation de lutte de libération nationale du peuple inventé. Ce fut fait également.

Une demi-douzaine de pays se positionnent en mer Rouge, établissant des bases militaires en vue d’une éventuelle conflagration dans le futur.

Quatre ans après l’attentat, le souvenir reste douloureux et les messages de soutien sont nombreux. "C’est émouvant. Il suffit de lire ces textes qui sont à chaque fois avec beaucoup d’émotion, beaucoup de tristesse."

C'est un chapitre étonnant de l'histoire d'Israël et de l'Ethiopie, qui tient à la fois du roman d'espionnage rocambolesque et de l'épopée migratoire.  

Yahya Sinwar, chef du Hamas à Gaza, a déclaré dans une interview accordée à la chaîne télévisée libanaise Al-Mayadeen qu’avec l’aide de l’Iran, le Hamas est parvenu à développer ses capacités de manière considérable. 

C’est le Hamas, et derrière lui le Djihad islamique, qui ont envoyé des gens brûler des pneus près de la frontière de Gaza, et des manifestants servant de boucliers humains à des islamistes djihadistes se faire tuer moyennant rémunération pour les familles des morts et des blessés. 

Noémie Halioua, journaliste, dirige les pages « Culture » de l’hebdomadaire Actualité Juive. C’est un jeudi 18 mai, à 13 heures, alors qu’elle est de permanence au journal, que son téléphone sonne. Au bout du fil, une voix mal assurée, émue, celle de William Attal, le frère de la malheureuse Sarah Halimi. Il veut parler à quelqu’un car depuis la tragédie qui a foudroyé sa malheureuse sœur, les portes se  ferment, les oreilles, notamment dans le monde de la presse, se bouchent.

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