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Entretien de Ran Harnevo avec le professeur Eran Halperin, avec sous-titrages en français.
Eran Halperin est professeur de psychologie sociale et politique et fondateur du centre Accord. L'année dernière, il a publié un livre qui enquête sur la haine en Israël et souligne l'échec profond des cercles libéraux, qui prônent la réconciliation et l'unité comme objectif suprême et qui, au nom d'une fausse "modération", servent en réalité la radicalisation.

La musique et les rituels gnaouas auraient pour origine les cultes d'adorcisme (possession acceptée et cultivée) sahéliens réadaptés par les descendants des esclaves subsahariens au Maroc.

Ce que subit la communauté juive en France est devenu insupportable. Je n’arrive pas à comprendre ce que les Juifs ont encore à chercher en France. Ils doivent monter en Israël. Il est tout simplement impossible de mener une vie juive de manière libre en France

 A travers ce rite, le citadin sédentaire retrouve, un tant soit peu, la dimension nomade de ses ancêtres hébreux. Par-delà cette spécificité cultuelle, la tradition rabbinique met en évidence la dimension universelle que recèle cette solennité « écologique ».

J’ai décidé de fouiller parmi les mots de notre langue pour trouver ceux que je considère être non seulement beaux mais aussi riches, plaisants, agréables. Ces mots donnent le plaisir de se les prononcer, de les entendre, voire de les écrire. Je les préfère à leurs synonymes, ces derniers ne me donnant pas la même satisfaction.

Dans la culture populaire juive, un dibbouk désigne une âme errante qui prend possession d’un vivant, selon une croyance qui s’est développée en Europe orientale à partir du XVIIIe siècle. Le dibbouk fait partie des créatures surnaturelles qui ont dépassé le domaine de la superstition, pour devenir un thème inspirant les artistes d'hier et d'aujourd'hui.

Ce chiffre représente une augmentation d'environ 100.000 personnes sur l'année dernière. L’étude a été réalisée par l’Université hébraïque de Jérusalem et dirigée par le démographe Sergio Della Pergola, de l’Université hébraïque de Jérusalem.

Racisme et antisémitisme à l'école : "La question se pose dans tous les foyers juifs : où est-ce qu'on scolarise nos enfants ? (...), en France, être un parent juif n'est pas facile" Me Patrick Klugman, avocat au Barreau de Paris, au micro d'Yves Calvi

Ces deux mots en hébreu ont une relation très étroite avec les fêtes de Tichréi et Yom-Kippour. Kippour veut dire "expiation" et les mots de la même racine sont, entre autres, le mot Kofer qui veut dire "rachat" / "Contrepartie" / "Rançon", ou alors le mot "Kappara" veut lui aussi dire "expiation".

Voilà maintenant un an qu'Israël réagit à l'atrocité du 7 octobre. Non seulement le gouvernement n'était pas prêt ce jour-là mais en plus, il n'avait pas de plans d'attaque du Hamas, il disposait de renseignements relativement maigres sur les actifs ou les dirigeants de l'organisation, et faisait face à un puissant lobby au niveau national et international qui insistait pour que le retour des otages soit la première priorité.

Dans les lointaines montagnes de l’Atlas, à près de 100 kilomètres à l’est d’Agadir, au sud du Maroc, près de la province de Taroudant, s’étendent  des hectares de terre fertile et luxuriante : Damder. Pendant des générations, cette terre semi-déserte, bordée d’imposantes montagnes, a été une terre d’élection pour la culture des Étroguim.

Cette coutume consiste à prendre, la veille de Yom Kippour, un poulet vivant (un mâle pour les hommes, une femelle pour les femmes) et à le faire tourner au dessus de la tête en disant un formule qui charge la bête de nos péchés, en souhaitant que sa mort se substitue à la notre au cas où on la mériterait.

Dans une société américaine où la fortune et la religion peuvent paraitre moins tabous, une figure de la NBA n’a pas cherché à cacher sa richesse, ni sa confession juive. Or, ces deux caractéristiques ne lui auraient pas permis d’obtenir un drôle de privilège.

Il est en effet difficile de se pardonner les erreurs commises, qui nous ont entrainés dans des souffrances, parfois irréparables ou  simplement qu’elles ont occasionné des ruptures dans nos relations avec les autres. 

Les trois fêtes de pèlerinage , en hébreu Shalosh Regalim (שלוש רגלים), sont trois fêtes majeures du judaïsme — Pessa'h ( Pâque ), Chavouot ( semaines ou Pentecôte ) et Souccot ( tabernacles , tentes ou cabanes ) — quand tous les anciens Israélites qui pouvaient ferait un pèlerinage au Temple de Jérusalem , comme l'ordonnait la Torah.

Le but de tout ce que l'on fait a Yom Kippour (jeune, prieres et autres) est d'obtenir l'atonement, la decision Divine de suspendre le jugement pour nos mauvaises actions. Et pour cela, il faut eprouver une sincere repentance, c'est a dire identifier ces actions, les avouer et regretter ce que l'on a fait. Il est evident qu'un profond desir de ne pas retomber dans ces memes erreurs doit accompagner toute repentance.

Elément indispensable dans la tradition juive, le shofar est instrument fabriqué à partir d’une corne d’un animal cacher, généralement le  bélier. Les fidèles entendent résonner 100 sonneries différentes  lors des 2 jours de prières de Roch Hachana.

Il y a un an, la suffisance israélienne avait permis au Hamas de se livrer à un pogrom. Aujourd'hui, Israël riposte, le Hezbollah paie le prix de son excès de confiance - avec l'Iran qui est sur la sellette

Selon la tradition, le nouvel an hébraïque vient marquer la naissance de l’univers. Il constitue également un moment d’évaluation des actes de l’année écoulée et de résolutions à prendre pour la nouvelle année. Il se veut également avoir une portée collective de la destinée d’Israel et de l’humanité. 

Le coing est le fruit de l’automne par excellence . Il est le symbole de Kippour dans beaucoup de communautés. 

Dans le judaisme la raison et la connaissance font a chaque individu responsable de ses actes depuis l'âge de 13 ans, age de la bar-mitsva, on est tous responsable par les actes que nous commettons, le repentir doit servir a effacer nos fautes et peut nous permettre de continuer en paix notre existence.

Les lois de dhimmitude, instaurées au VIIIe siècle dans l'Islam, sont méconnues malgré leur importance cruciale pour comprendre le monde musulman. Depuis plusieurs années, Alexandre Feigenbaum s'est penché sur cette question complexe. Grace à cette doctrine, il nous explique ce qui s'est passé le 7 octobre et sur la situation actuelle en Europe et en France.

«Citoyens d’Israël, aujourd’hui vers 14 heures les armées syriennes et égyptiennes ont lancé une attaque contre Israël. Ils ont mené des séries d’attaques dans les airs et au sol dans le Sinaï et sur le plateau du Golan. 

*En hébreu, le pardon se dit mé’hila, mot dont la racine est celle de me’hol, qui signifie « un cercle ». La vie a pour dessein d’être un cercle rassemblant toutes nos expériences et nos relations en un tout harmonieux. Lorsque quelqu’un nous blesse, le cercle est brisé. Le pardon est le moyen par lequel nous réparons cette fracture.

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