Share |

Maroc

Environ 18 pays et quelque 8 000 soldats de l'armée américaine, du Maroc et du Ghana participent à cet exercice

Elle connaît son apogée au XVIe siècle sous l'influence de Mohammed ech-Cheikh qui en fait sa capitale et une base pour ses offensives contre les Portugais installés à Agadir. Elle devient alors un centre caravanier important, célèbre pour l'abondance et la qualité de ses marchandises : sucre, coton, riz, etc. 

Depuis le début du processus de normalisation de leurs relations, le Maroc et Israël ont cherché à tirer le meilleur parti des opportunités liées à leur rapprochement en multipliant les partenariats dans divers secteurs.

La ville de Kénitra a accueilli, du 18 au 23 mai 2023, la 2ème édition du « Festival Abeer Kénitra : Carrefour des cultures ». Organisé par l'Association AFAK de culture, cet évènement a été consacré aux trois cultures, musulmane, judaïque et chrétienne.

L'acteur américain Robert de Niro a inauguré son nouvel hôtel Nobu à Marrakech en partenariat avec son ami le chef japonais du même nom. Au cours de la cérémonie d'inauguration, l'acteur a notamment été vu avec le marteau pour briser le tonneau de saké en symbole d'ouverture.

Un voile d’irréalité couvre la ville ; les vapeurs des hammams se déposent délicatement sur les pavés de votre esprit. Et vous marchez, vous marchez nonchalamment dans les rues d’Essaouira jusqu’à ce que votre corps vous conduise à quelque terrasse ou salon de thé pittoresque où vous laisserez vos pensées divaguer au hasard.

Un voyage dans le passé. Des membres de la communauté juive marocaine ont récemment embarqué dans une aventure extraordinaire, remontant le temps pour se retrouver dans les couloirs emblématiques de l’école Ibn Khaldoun de Meknès. Une réunion où nostalgie et excitation se sont entremêlées.

En 2003, quatorze kamikazes marocains ciblent un restaurant, le bâtiment de l'alliance israélienne, le cimetière juif et le consulat de Belgique. Bilan : 45 morts, dont douze kamikazes et une centaine de blessés. Cet attentat, attribué à al-Qaïda est resté dans les mémoires marocaines et a surtout redéfini la lutte antiterroriste du royaume.

Voilà le vieux cimitière juif d'Essouira , là ou reposent beaucoup de tsadikims et de grands rabbins de la ville .

L'ancienne colonie espagnole est considérée comme un "territoire non autonome" par l'ONU et un conflit y oppose Rabat aux indépendantistes du Front Polisario, soutenus par Alger

Le paradigme des blonds étrangers Shaw demeure la référence obligée dès que l’on évoque les « Berbères blonds ». Il les a décrit dans Travels or observations relating to several parts of Barbary and the Levant (1738), faisant des blonds, les descendants des Vandales de Genséric, après qu’ils eussent été défaits par Bélissaire

Une équipe de chercheurs israéliens et marocains étudie les derniers vestiges d’une communauté juive vieille de plusieurs siècles découverts lors d’une fouille de préservation dans une synagogue en ruine dans les montagnes de l’Atlas au Maroc, dans le désert du Sahara.

Ils étaient 238 000 en 2008, aujourd'hui leur nombre a crû de manière exponentielle : des avenues entières coupées à la circulation. Autrefois limitée aux campagnards poussés par l'exode rural à s'installer en ville, l'activité est aujourd'hui exercée par les diplômés et les moins jeunes : jusqu'à 400 DH de revenus par jour.

La porte est discrète. Une petite plaque indique que nous sommes bien au Centre Maïmonide, du nom d’un des plus grands rabbins de l’histoire séfarade et philosophe, décédé au début du XIIIe siècle. 

A proximité de Guelmime, Porte du Sahara, l’un des tout premiers sites commerciaux du Maroc a destination et en provenance de l’Afrique subsaharienne, se loge un petit village dont l’histoire remonte à des millénaires, il abritait des populations juives qui ont développé une culture voire une civilisation marquée au sceau organique de coexistence, de tolérance et de respect

Soixante-dix-huit ans après la Seconde Guerre mondiale, alors que les événements s'estompent et que le nombre de survivants diminue, l'Holocauste risque lui aussi de tomber dans l'oubli. Cette amnésie naturelle est aggravée par des campagnes visant à réviser ou à enterrer l'histoire de l'Holocauste.

Chaque année, près de 800 pèlerins juifs viennent prier sur la tombe de Haïm Pinto à Essaouira. Son arrière-arrière-petit-fils, David Pinto a adossé au pèlerinage une énorme organisation religieuse, financière voire politique.

C’est dans la ville de Salé que Maguy a fait son pèlerinage ces quatre derniers jours. Mais elle explique que certains juifs choisissent de se recueillir sur telle tombe parce qu’elle se trouve dans la région où ont vécu leurs ancêtres. Néanmoins la tombe la plus importante reste certainement celle de saint Amram Ben Diwane, un rabbin décédé en 1781. Sa tombe est située à Ouezzane dans le nord du pays.

Qu’il soit culturel, historique ou religieux, le patrimoine israélite du royaume vit, depuis plus d’une décennie, à l’heure de la réhabilitation. celle-ci concerne autant la dimension matérielle qu’immatérielle. une politique portée au plus haut sommet de l’état.

Dans la catégorie « Personnalité de l’année », le Prix a a été décerné au Conseiller du Roi et co-président la Fondation des Trois Cultures, André Azoulay, en considération de ses contributions et initiatives exceptionnelles, en faveur de la préservation du patrimoine culturel juif au Maroc et l’intérêt qu’il accorde à la promotion de la ville d’Essaouira et à la rénovation de nombre de monuments et cimetières juifs au Maroc.

Les vertus médicinales de cette plante merveilleuse sont aujourd'hui incontestables. Forme de tatouage varié et éphémère, le rituel du Henné se présente comme un phénomène à la fois esthétique et médicinal.

Portant le nom de Yolande et Boris Toledano, ce lieu est destiné à recevoir les personnes âgées nécessiteuses, et il en héberge actuellement 35 à titre gracieux

Le nouvel espace artistique qui occupe un peu moins de 13 milles mètres carrés ouvrira bientôt ses portes aux visiteurs. Le caractère architectural juif marocain a été pris en compte dans la construction du musée, notant pour ce qui est du bâtiment, était à l’origine un dispensaire et une crèche du temps où la communauté juive était installée dans le quartier Al-Mellah.

Le projet “Hymne à la paix” a été lancé mardi 21 mars au musée de la diaspora à Tel-Aviv, pour intégrer de nombreux livres, ouvrages et archives sonores, ainsi que des morceaux de musique qui harmonisent chants andalous et marocains, en vue de les préserver pour les générations futures et de les numériser pour les mettre à la disposition du grand public.

Contenu Correspondant