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Moyen-Orient

Un haut responsable israélien a déclaré que la décision de la Russie de fournir un système anti-aérien avancé à la Syrie constituait un sérieux défi pour l’État juif, mais qu’Israël cherchait des solutions afin d’empêcher que la situation devienne une menace majeure pour la sécurité du pays.

Dans ce document détaillant les circonstances de l'incident, la Russie a déclaré qu'Israël avait délibérément induit la Russie en erreur sur les frappes aériennes prévues sur la ville syrienne de Lattaquié, empêchant l'avion abattu de voler dans un espace sûr.

Sans qu’on n’en connaisse tous les détails, on sait que le plan aura des ressemblances avec la “solution à trois Etats” proposée il y a longtemps par John Bolton, et qu’aucun des trois Etats concernés n’est un Etat palestinien, qui n’existe et n’existera que dans les fantasmes des anti-israéliens les plus fervents.

Enorme bévue de l’armée syrienne lors de la dernière attaque aérienne attribuée à Israël lundi dans la région de Lattaquié. Après avoir annoncé que le contact avait été interrompu avec un appareil Iliouchine-20. le ministère russe de la Défense a confirmé qu’il avait été abattu par erreur par la DCA syrienne. 

Yossi Beilin, ancien ministre Israelien de la Justice qui a travaillé avec Shimon Peres, alors Premier ministre de l'Etat hébreu en 1993 au moment de la signature des accords d'Oslo, en constate aujourd'hui l'échec notamment en raison de la mise en scène médiatique qui avait été faite à l'époque

Plusieurs attaques au missile ont été rapportées dans la soirée de lundi visant des objectifs situés dans la province de Lattaquié (Syrie) aux alentours des bases russes qui s’y trouvent, ainsi qu’à proximité des villes du nord-ouest que sont Homs et Hama.

Les accords d’Oslo ont vingt-cinq ans. L’historien Ephraïm Karsh les a décrits il y a deux ans comme le plus effroyable désastre des dernières sept dernières décennies pour Israël, autrement dit, depuis que l’Etat d’Israël a été fondé en 1948.

Les objectifs étaient des missiles arrivés très récemment d’Iran par les airs à destination du contingent iranien en Syrie et de la milice chiite libanaise du Hezbollah. Ces armes étaient temporairement stockées dans des entrepôts souterrains.

Quasiment aucun article ne rappelle quelques points essentiels concernant l’UNWRA. Le premier de ces points est que, quelques mois à peine après la création de l’UNWRA, en 1949, destiné à s’occuper spécifiquement des réfugiés “palestiniens”, les Nations Unies ont créé un organisme chargé de s’occuper de tous les réfugiés sur la Planète, l’UNHCR.

La célèbre chanteuse arabe née musulmane Nasreen Qadri qui fête ses 32 ans vient d’achever son processus de conversion au judaïsme, a rapporté le quotidien israélien Yediot Hah’aronot.

Il semble ainsi que les chasseurs-bombardiers du Khe’l Avir ont traversé l’espace aérien libanais, volant à très faible altitude avant de larguer des missiles sur leurs objectifs. Parmi ceux-ci, des installations iraniennes à proximité du village de Wadi al Ayoun [carte et photo] ont été touchées avec certitude, de même qu’un important centre des Gardiens de la Révolution khomeyniste dans la ville de Banyas [carte], sur la côte méditerranéenne.

Le gouvernement jordanien a rejeté dimanche un plan de paix américain qui aurait été présenté aux palestiniens sur la base du concept d'une confédération palestinienne-jordanienne.

Aux premières heures de ce dimanche matin, la base aérienne de Mezzé, également appelée al Mezzé, située dans la partie nord-ouest de Damas [carte], a été la cible d’une attaque au missile, attribuée à Israël par la plupart des media arabes et syriens.

Lorsqu’ils franchissent nos frontières et demandent l’asile, la prochaine étape est qu’ils signent un document qui les oblige à respecter tous les droits et règles de nos pays, et qui précise qu’en cas de violation de cet accord, ils seront condamnés, avec une procédure accélérée

Les succès économiques de la Turquie depuis 2002 ont contribué aux succès électoraux du président Erdogan par le passé. Or, aux dernières élections tenues en 2018, les indices économiques étaient préoccupants. Erdogan a su jouer sur la corde sensible turque de la fierté nationale, a subjugué les esprits avec les théories conspirationnistes en fustigeant « l’islamophobie » des sociétés occidentales

"De nombreux pays arabes considèrent dorénavant Israël, non pas comme leur ennemi, mais comme leur allié essentiel pour repousser l'agression iranienne", a affirmé Benjamin Netanyahou, le Premier Ministre israélien.

Tout d'abord, bien que la construction des colonies israéliennes soit incontestablement une question très litigieuse, la problématique centrale du conflit a toujours été le refus des Palestiniens et de leurs partisans de reconnaître la légitimité d'Israël et de négocier de bonne foi un accord de paix durable.

Des deux côtés, Hamas tronc traditionnel et gouvernement israélien, on n’est pas très fier et partant, pas disert, concernant les négociations en cours au Caire visant à des changements fondamentaux dans la bande de Gaza. Pourtant, celles-ci se poursuivent grâce aux bons offices de l’Egypte, et des résultats sont d’ores et déjà visibles sur le terrain.

Un accord avec l’ennemi juré d’Israël qui a toujours affirmé ne jamais négocier avec cette organisation terroriste ? Incroyable ! Il faut pourtant bien l’admettre. Les temps changent. Les situations évoluent. Les idées se bousculent.

Le “courageux” chef du Hezbollah, qui se terre dans son bunker depuis douze ans, a prononcé un nouveau discours guerrier à la chaîne de télévision Al-Manar, porte-voix de l’organisation terroriste chiite, à l’occasion du 12e anniversaire de la “victoire sur Israël” lors de la 2e Guerre du Liban…

Une alliance révolue. Le nouveau califat turc d'Erdoğan et la menace djihadiste grandissante pour l'Occident.

La livre turque, à l'agonie depuis plusieurs jours, connaissait vendredi une chute abyssale accélérée par l'annonce d'une forte hausse des droits de douane aux Etats-Unis sur l'acier et l'aluminium turcs et la virulente dénonciation par le président Recep Tayyip Erdogan d'une "guerre économique".

Officiellement, il s’agit de mettre sur pied une trêve de longue durée entre l’organisation terroriste islamique de Gaza et l’Etat hébreu, ce, sur la base d’une proposition égyptienne. Ce n’est vrai qu’en partie. En réalité, les services du Maréchal al Sissi organisent le transfert du contrôle de la bande côtière à l’Autorité Palestinienne. L’idée se trouve sur la table depuis au moins quatre ans, et elle a souvent été présentée comme la "réconciliation" entre le Hamas et l’Autorité Palestinienne.

Le rial iranien a atteint un plus bas niveau historique contre le dollar dimanche alors que la dictature islamique est confrontée à l'inflation et à la réimposition imminente des sanctions américaines.

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