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Religion

Le couple Spitzer attendit dix ans avant d’avoir des enfants. Le moment venu, après dix ans de mariage, ils se retrouvent parents de cinq enfants : la maman met au monde des quintuplés.

L’explication habituelle est le “miracle de la cruche d’huile”. (Une cruche est un récipient.) Selon cette légende, la “flamme éternelle” du temple, censée brûler en permanence, s’était éteinte pendant que les Sélucides contrôlaient la ville.

Il y a plus de deux mille ans, à l'époque du Second Temple, alors que la ville de Jérusalem avait été capturée par l'armée grecque, de nombreuses familles juives dans les collines de Judée d'Israël devaient se cacher dans des grottes. C'était une période difficile. Les Grecs persécutaient les juifs dans tout le pays. La vie au quotidien n'était plus la même. Les seuls juifs encore autorisés à rester en ville, étaient ceux qui acceptaient de s'assimiler complètement et de vivre comme les Grecs.

Un Gad Elmaleh qui écoute et qui parle, un Tobie Nathan, à la fois bienveillant et dérangeant, qui dit et qui entend. Et toute cette riche réflexion sur les identités multiples revendiquées et/ou camouflées des exilés

Le week-end dernier, le Rabbin Yoshiyahu Yosef Pinto a relancé les célébrations du Shabbat au Maroc, où il a été suivi par un grand nombre de ses disciples de différentes parties du monde qui étaient impatients d’entendre sa sagesse sobre et ses opinions sobres et de bénéficier de ses conseils et leçons, qui incluent la vie personnelle, le travail, la gestion, les relations et le comportement quotidien.

Au Vème siècle avant Jésus-Christ, après leur exil babylonien, les judéens ne parlent plus l'hébreu. La Torah est traduite en araméen : le Targoum, une tradition orale.

Lors de la dernière draft NBA, Ryan Turell avait prévenu les franchises qu'il ne pourrait pas se déplacer les jours de shabbat. Un mois après ses débuts en pro, Ryan Turell rêve de devenir le premier juif orthodoxe pratiquant à jouer en NBA.

Depuis le Moyen-âge, les pratiques musicales et poétiques juives de l'Occident musulman ont évolue dans le droit fil des pratiques et des traditions musulmanes de la musique et de la poésie, lesquelles se sont développés dans l'aire culturelle hispano musulmane et arabo-berbère. Les raisons de cette connivence culturelle furent nombreuses.

"Je mets devant toi la vie et la mort, la bénédiction et la malédiction, tu choisiras la vie afin que tu vives, toi et ta descendance". (Deut.30:19) La Thora attire notre attention sur le fait que l'on a le choix d'accepter ou de refuser; elle nous recommande seulement d'accepter "la vie et le bien".

La vénération des saints personnages, le pèlerinage à leurs sanctuaires et le recours à leur protection, largement répandus chez les Juifs du Maroc, reste l’une de leurs caractéristiques culturelles la plus importante.

Les représentants des cultes catholique, protestant, musulman et juif n’adopteront pas de front commun dans le débat sur la fin de vie, même si leurs positions sont proches, expliquent-ils dans une interview

” Hiloula ” est un mot hébreu qui signifie en arabe crier de joie et de recueillement. Il s’agit d’une occasion religieuse enracinée dans le noyau de la culture juive, qui nécessite un pèlerinage à certaines saisons, pour visiter les tombes des “Tsadikim”, (comme les gardiens justes pour les musulmans), pour avoir pitié d’eux, à La commémoration de leur mort.

Je n'ai pas ton contact direct, mais je sais qu'Hachem fait toujours ce qu'il faut. De la même manière que le bruit médiatique de ton "aventure spirituelle" est arrivé jusqu'à moi, je me dis que certains de tes proches, qui auront connaissance de ce message, te le transféreront directement.

Treize ans après l'exubérant "Coco", Gad Elmaleh signe avec "Reste un peu" un deuxième film inattendu sur son cheminement de juif séfarade vers le catholicisme, après une révélation pour la Vierge Marie alors qu'il était enfant.

"Ceux qui sont connectés à WhatsApp se distraient de la Torah, c’est de là que vient le trumpisme" Le rabbi de Satmar, Aaron Teitelbaum, a déclaré aux étudiants de la Yeshiva de Satmar à New York que "le trumpisme a infiltré le camp juif et tordu les esprits".

Situé au coeur de ce qui fut le quartier juif ouvert, le mikvé compte parmi les plus anciens et les mieux conservés d'Europe. Il est alimenté par une nappe d'eau souterraine constamment renouvelée

Ann-Gaëlle Attias a grandi dans une famille séfarade originaire du Maroc, proche des milieux traditionalistes et orthodoxes, et a passé sa scolarité dans l’enseignement juif sous contrat.

 Le pacte  conclu entre  le Mensonge et la Destruction pour entrer également dans l’Arche de Noé est un midrash très connu que nous explique le ‘Hafets ‘Haim.

Il  est assez surprenant, en 2022, de voir se côtoyer dans les rayons des libraires, des ouvrages de Sartre, de Camus, de Kafka et de… Maïmonide. C’est au docteur Ariel Toledano, médecin vasculaire qui enseigne l’histoire de la médecine à l’université Paris Descartes, que l’on doit ce retour, aussi inattendu qu’agréable,  sur le devant de la scène du grand philosophe juif.

Le jour de son mariage, elle se lève tôt, s’habille en vitesse, noue un foulard sur ses cheveux et se glisse hors de l’appartement avec son sac plein de bouteilles et de chiffons. A cette heure de la matinée, il n’y a pratiquement personne sur le périphérique, mais elle s’agrippe à son volant avec anxiété.

Cours donné par Rav Nathan Mrejen dans le cadre des matinées pour femmes à Derech Laolim au 32 King George, Jérusalem.

Sa consommation, relativement récente dans l’histoire de l’humanité,  laisse supposer  qu’il ne fit l’objet d’aucun débat religieux  ni d’aucune prohibition d’autant que, si l’on en croit les légendes, sa diffusion doit beaucoup à des  confréries religieuses. Et pourtant, il déchaîna les passions et souleva autant d’enthousiasme que de rejet dans les corps religieux.

Les Asiatiques, qui sont des gens extrêmement intelligents et cultivés, s’intéressent de plus en plus au Talmud qui rassemble la somme des discussions rabbiniques sur l’ensemble des sujets de la Loi juive.

Lekha dodi (en hébreu : לכה דודי, « Va, mon bien-aimé ») est un cantique de la liturgie juive, chanté à la synagogue le vendredi soir à la tombée de la nuit en vue d'accueillir la « fiancée chabbat » avant l'office du soir.

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