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histoire

Pour Georges Bensoussan, la tolérance de l'islam n'est qu'un mythe. La preuve, les souffrances subies par les juifs en terre musulmane.

Je suis très étonné à chaque que j’entends quelqu’un dire : « Les juifs vivaient bien dans les pays arabes, ils ont été bien traités ».

Après avoir perdu sa sœur jumelle dans le camp d'extermination de Treblinka, il n'eut de cesse de se venger. Il participa à diverses actions de sabotage, fomenta des attentats et commit plusieurs assassinats.

Il s'agit d'un chapitre relativement méconnu de l'histoire du IIIe Reich : selon des recherches présentées, mardi 29 avril, à Jérusalem, les nazis s'apprêtaient à exterminer les juifs d'Afrique du Nord lorsque leurs armées ont été défaites par les Alliés, en 1942

A la veille de l'indépendance du Maroc en 1956, il existait plusieurs centaines de communautés juives à travers tout le pays, représentant une population totale d'environ 280000 personnes et constituant la plus importante entité juive du monde musulman.

Né en 1919 en Tunisie, dans une famille de marchands juifs, David Galula fut naturalisé français en 1929 et élevé au Maroc. Se destinant à la carrière des armes, il entre à l’Académie militaire de Saint-Cyr. Durant l’occupation allemande, les autorités françaises de Collaboration envoient les officiers juifs à l’étranger pour les soustraire à la répression nazie. Il part donc faire du renseignement dans le Maroc de son enfance.

L’Operation mural , c’est l’histoire incroyable d’un jeune juif anglais que le destin va mettre sur la route du Mossad , pour organiser l’évacuation clandestine, en 1961 de cinq cent trente enfants juifs de Casablanca.

Au début du XVIIIe siècle, le Maroc répondait à la croissance de la puissance anglaise en Méditerranée ; Ali b. Abd Allah al-Ḥamami, l’un des plus puissants ministres du sultan Moulay Ismail, a tenté de coopérer avec les Anglais afin de gérer leur influence et de consolider sa propre position politique. Cela leur a offert un moyen potentiel de surmonter les obstacles

D’aucuns pensent que flotte autour de nos démocraties occidentales un parfum qui nous rappelle les années 30 du siècle dernier. De fait, les indices en ce sens ne manquent pas ; en particulier, une fracture sociale qui, à l’époque, était liée aux conséquences de la révolution industrielle et aux crises qui l’accompagnaient, alors qu’aujourd’hui elle découle des effets de la mondialisation

Évoquant ses souvenirs avec Corinne Bensimon, dans la série « Grands entretiens », Benjamin Stora revient notamment sur son enfance juive à Constantine – dans un monde qu’il a vu disparaître après 1962 –, sur son engagement militant après Mai-1968, et sur ses choix d’historien.

Le 4 juin 1917, quelques mois avant la déclaration Balfour, Jules Cambon, alors Secrétaire général du Quai d'Orsay, signe une lettre qui soutenait publiquement l’établissement d’un foyer national juif en Palestine.

 L’émirat ottoman du début du XIVe siècle devient un véritable empire au XVe siècle. Les Ottomans prennent Constantinople en 1453.Au XVIe siècle, ils conquièrent le sultanat mamelouk d’Égypte et de Syrie-Palestine (1517) et s’installent progressivement au Maghreb.

Au total, près d'un million de juifs ont été contraints de quitter les pays arabes où ils vivaient parfois depuis des siècles.

La première apparition des grandes colonies juives sur le littoral africain date de l’an 320 av. JC, lorsque Ptolémée Soter, fondateur de la dynastie des Lagides, envahit la Palestine et transplante plus de cent mille captifs juifs en Afrique. 

Avec la déclaration de l'établissement d'Israël en 1948, l'Union soviétique n'a pas tardé à reconnaître l’Etat sioniste, déclenchant une vague de reconnaissance des partis communistes du monde arabe qui s’étaient démarqués du consensus sur la question palestinienne et justifiaient la décision soviétique, à l’instar du Parti communiste marocain.

Si l’appartenance de la Sicile à l’Occident peut aujourd’hui sembler aller de soi, elle n’en a pas moins constitué de 831 à 1071 un des hauts lieux de développement de la culture musulmane. Loin des préoccupations politiques de l’Europe, elle fut alors l’objet d’une lutte d’influence entre le califat abbasside de Bagdad, l’Empire byzantin et les Fatimides d’Egypte. 

Sous-dhimmis, traités comme les femmes, victimes de pogromes, alors qu'ils fournissent médecins, avocats, rattrapés par l'antisémitisme nazi au sortir de la deuxième guerre mondiale, les Juifs sont expulsés sans Avis

A l’initiative de l'Espace Francophone d'Ashdod, l'agence de communication easyCom et le magazine francophone israélien Meteorlemag ont produit ce clip qui présente différents olims hadashim d'Ashdod avec également des archives de 1961.

Aujourd'hui, pour la septième année consécutive, l’État d’Israël et les communautés juives du monde entier commémorent la Journée dédiée au souvenir de l'expulsion des Juifs des pays arabes et de l’Iran. A cette occasion, Jean-Pierre Allali, vice-président de la JJAC (Justice for Jews from Arab Countries), répond à nos questions.

C'est un magnifique ouvrage collectif dirigé par Nadia Sabri qui vient de paraître aux éditions Le Fennec. Un livre aussi fondamental de par le thème qu'il traite que poignant par la force des récits qu'il déploie.

Ce lieutenant-colonel français, juif casablancais mort il y a cinquante ans (11 mai 1967), « touche-à-tout d’un incroyable talent et à la vie accomplie, est un peu un oublié de l’histoire », raconte le Marocain Driss Ghali, qui vient de lui consacrer une biographie.

A l'origine, seuls les sultans et leurs épouses avaient le privilège de se procurer un vêtement aussi onéreux, vu que les artisans couturiers passaient des mois à le façonner, à le broder, à le perler à la main, dans des tissages nobles et avec du fil d'or et d'argent.

Du nom d'Isaac Adolphe Crémieux (de confession israélite), chef du Parti républicain et ministre de la Justice dans le gouvernement de Défense nationale, qui a succédé au Second Empire, le décret marque les prémices de la fracture entre les deux communautés algériennes, juive et musulmane, ces derniers conservant leur statut d'indigène…

Dès le début des années 60, le Maroc et les services secrets israéliens ont tissé des liens. Ils débutèrent avec la question de l’exode des juifs marocains vers Israël pour s’étendre à une coopération plus étroite.

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