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moyen-orient

Sous la pression des houthistes, alliés de l’Iran, l’une des plus vieilles communautés juives du monde s’est réduite à peau de chagrin. Ses membres se comptent désormais sur les doigts d’une main. Dans un village du nord du Yémen, les voisins d’un homme juif centenaire mort la semaine dernière se sont mobilisés pour lui assurer un enterrement digne.

Les Occidentaux gobent une propagande présentant comme « résistant » un mouvement dictatorial, réactionnaire et fauteur de guerre.

On ne comprend pas cette poussée de « fièvre palestinophile » si on la déconnecte du poids de l’immigration arabo-musulmane et des groupes de pression qu’elle a réussi à mettre en place depuis une quarantaine d’années, islamistes ou non. C’est pourquoi, ces manifestations estudiantines, aussi bien américaines qu’européennes, n’ont rien de spontané.

Après l’annonce à la télévision d’un accident d’hélicoptère qui transportait le président iranien Ebrahim Raisi (portant le nom illustre d’Abraham – le juste des justes) et sa clique, mon ami Philippe me téléphona de son petit coin du monde, pour me poser la question : Dieu ou le Mossad ?

Avril 1967 : Nasser, à la tête de l'Égypte, exige le retrait des forces de l'ONU du Sinaï et de la Bande de Gaza. Le 27 mai : il bloque le détroit de Tiran, en Mer Rouge, interdisant aux navires israéliens l'accès à Elath. 

Quand Mark Twain visita la Terre Sainte au XIXe siècle, il fut très déçu. Il ne vit pratiquement personne. Il la décrivit comme une vaste terre de désolation. Le pays que nous connaissons aujourd’hui sous le nom d’Israël était pratiquement désert

Le dilemme pour Israël réside dans le choix entre accepter un cessez-le-feu, permettant ainsi au Hamas de continuer à lancer des roquettes sur les civils israéliens à tout moment, ou bien éliminer le danger posé par ces missiles tout en minimisant les pertes collatérales.

Le président américain Joe Biden a affirmé samedi qu’un cessez-le-feu était possible « demain » dans la guerre entre Israël et le Hamas si le groupe palestinien relâchait les otages.

Fabien Azoulay, aurait pu croupir dans les geôles turques pendant 20 ans. Mais le sort et l’acharnement de son frère en ont décidé autrement. Consommateur d’un stupéfiant appelé le GBL, licite en France et interdit en Turquie . Fabien a été emprisonné et considéré comme un dealer. Son livre ‘’Istanbul dernier arrêt, 4 ans dans les prisons turques’’ publié aux Éditions Stock, raconte sa descente aux enfers, en tant que juif et homosexuel, comme si nous étions en prison avec lui.

Les associations culturelles et religieuses devront faire partie intégrante des plans d’élaboration des politiques de la réconciliation diplomatique arabo-israélienne. Ils jouent d’ores et déjà de nombreux rôles, dans le cadre de leur mission d’altérité au service de leurs membres et de la société civile.

Est-il temps de mettre en œuvre la solution à deux États, c'est-à-dire de reconnaître l'Autorité palestinienne (AP) à moitié souveraine comme État, en tant que « Palestine », aux côtés d'Israël ?

Nous savons déjà  que Volney, Alexander Keith, J.S. Buckingham, Alphonse de Lamartine, Mark Twain et Arthur Stanley s’accordent tous sur le fait que la ‘Palestine’ était  » un désert parsemé de rares bourgades ».

Au moment où l’Etat juif mène une rude bataille contre le Hamas islamiste et se défend seul contre les menaces de guerre de l’Iran, des voix s’élèvent en Europe pour la reconnaissance officielle d’un Etat palestinien.

L'idée d'une collaboration entre Israéliens et Gazaouis est courageuse, audacieuse et contestée. Elle se heurte à deux critiques principales. Premièrement, les États-Unis et d'autres gouvernements veulent remettre Gaza à cette Autorité palestinienne qui dirige la majeure partie de la Cisjordanie et cherche à détruire Israël.

Depuis le 7 octobre, nous assistons à un déferlement de haine et d’accusations contre Israël qui est aussi à l’origine de l’explosion des actes antisémites à travers le monde. Il y a une accusation récurrente qui ne cesse d’être exprimée c’est celle du “génocide”…

La guerre contre le terrorisme, les guerres en Irak et en Afghanistan, le conflit israélo-arabe sont autant de crises au Moyen-Orient qui, au XXIe siècle, agitent et intriguent encore et encore les Américains.

Amit Soussana, libérée des geôles du Hamas le 30 novembre, a révélé au New York Times avoir été agressée sexuellement sous la menace d'une arme par l'un de ses gardiens. Il s’agit du premier témoignage public de ce type.

Bernard Henri-Lévy, philosophe et auteur de "Solitude d’Israël" aux éditions Grasset, répond aux questions de Sonia Mabrouk au sujet de la solitude d’Israël, d'un assaut à Rafah, de la lutte contre le terrorisme et de la guerre en Ukraine.

Dans un monde où la dissuasion demeure un objectif central, les spécialistes du Middle East Forum ont fourni des analyses et des recommandations inédites. Leur travail souligne la nécessité impérieuse d'une action claire et décisive pour contrecarrer l'agressivité de ces États qui met à l'épreuve les principes de paix et de sécurité qui nous sont chers.

Depuis tant d’années qu’ils le réclament, qu’est-ce qui empêche l’Union européenne, les Etats-Unis et l’ONU de créer l’Etat de Palestine dont ils rêvent ? Tout simplement le droit international, qui le leur interdit. S’ils avaient ce pouvoir, il y a bien longtemps qu’ils l’auraient utilisé.

Entre ses remparts et ses portes médiévales, la vieille ville de Jérusalem concentre les édifices religieux avec une densité inédite. Sur ces quelques hectares, on passe en dix minutes d'un cimetière chrétien orthodoxe à une synagogue située près d'une école de jeunes garçons

Jonathan Glazer s'est complètement trompé * Israël et son plus grand allié ouvertement et insupportablement en conflit * 10 pensées sur la guerre

Le gouvernement israélien a accepté sous condition la création d'un État palestinien en 2009. En réalité, c'est Benjamin Netanyahou lui-même qui a pris cette mesure. Le gouvernement américain a également accepté sous conditions la création d'un État palestinien, en l'occurrence en 2002

Le ramadan est le nom du 9e mois du calendrier lunaire musulman. Il correspond, pour les musulmans à une période de jeûne (siam) et d'abstinence qui dure toute la journée.

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