Amy, la « petite juive » qui arborait souvent une Maguen David à son cou, mais aussi « la petite meuf londonienne » qui se voulait « easy going » avec un côté je-m’en-foutiste exaspéré. Du chewing-gum maché pendant les interviews au besoin intempestif d’uriner, en passant par les vomissements, l’alcool, la drogue et la boulimie tant alimentaire que vestimentaire, les tatouages et les piercings, elle poussa à l’extrême le dédain des conventions et des artifices.
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