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Envoyé par mossad 
La nouvelle propagande antijuive

A paraître le 19 mai 2010 aux Editions PUF

le nouveau livre de Pierre-André Taguieff


Depuis quelques années la critique d’Israël a pris la forme d'une disqualification généralisée du sionisme. Ses enjeux sont désormais, explicitement, non pas la politique des gouvernements israéliens, l’occupation des territoires conquis en 1967 aux pays arabes, ou les implantations juives dans ces territoires, mais la légitimité de l’idée d’un État juif et, donc, l’existence même d'Israël.


Pourtant, la coexistence de deux États – un État juif et un État arabe – selon la résolution de l’ONU du 29 novembre 1947 est non seulement la base juridique de toutes les tentatives pour mettre fin au conflit israélo-arabe, mais aussi la seule base - historiquement, politiquement et moralement – de toute solution juste et durable à ce conflit.


La délégitimation et la diabolisation d’Israël, partagées par de larges couches de l’opinion occidentale, notamment dans l’intelligentsia, apparaissent de fait comme autant d’expressions d’un aveuglement politique.


C’est également, et plus encore, un scandale moral, qui se manifeste particulièrement à travers les différentes manipulations médiatiques qui ont marqué les dernières années, mais aussi à travers le détournement par lequel, paradoxalement, la Shoah est devenue une arme idéologique contre Israël et le sionisme.


Le livre de Pierre-André Taguieff, La nouvelle propagande antijuive (Paris, PUF, 2010) analyse et critique l'idéologie perverse de la diabolisation de la victime (le Juif) et son retournement imaginaire en bourreau (l'Israélien).


Le "Juif nazi" est inventé et diffusé par la nouvelle propagande antijuive. C'est cette invention d’un nouvel antisémitisme qu'il s'agit d'analyser et de dénoncer.
Yves Charles Zarka, directeur de la collection « Intervention philosophique »


À distance du « politiquement correct », Pierre-André Taguieff entreprend de montrer pour la première fois dans ce livre que la haine des Juifs est entrée dans un nouveau régime.


Israël et le « sionisme » sont en effet devenus les cibles d’une guerre médiatique qui vise à criminaliser et à diaboliser l’ennemi, l’antisionisme radical ayant désormais pour objectif proclamé la destruction de l’État juif.


Pour comprendre comment s’est accomplie la mondialisation de cette nouvelle configuration antijuive, Pierre-André Taguieff dissèque au scalpel le nouveau discours de propagande des ennemis déclarés d’Israël tel qu’il s’est développé au cours des années 2000.


Il souligne l’importance de la reformulation « antiraciste » des thèmes judéophobes, qui a dominé les conférences internationales de Durban (2001) et de Genève (2009) et explique comment elle a structuré la nouvelle vision antijuive, qui consiste à « nazifier » les « sionistes » en tant qu’« agresseurs » et à « judaïser » corrélativement les Palestiniens en tant que « victimes », cet amalgame polémique permettant d’accuser les « sionistes » de « génocide.


Ce discours de propagande est resitué dans son contexte international, marqué par la menace islamiste autant que par les divisions et les hésitations du camp occidental/démocratique.


Pour Pierre-André Taguieff, les thèmes d’accusation indéfiniment sollicités peuvent se réduire à trois : le « racisme », le meurtre d’enfants palestiniens (l’opération al-Dura) et la manipulation de la politique mondiale à travers la direction occulte de la politique extérieure des États-Unis (de l’action du « lobby juif » à l’organisation d’un « complot américano-sioniste »).


Analysant les divers matériaux symboliques exploités par la nouvelle propagande antijuive - images ou discours -, Pierre-André Taguieff fournit ici au lecteur les moyens de comprendre comment et pourquoi la haine des Juifs, plus d’un demi-siècle après la Shoah, a pu renaître, notamment sous les habits neufs de l’« antiracisme », et, grâce aux nouveaux médias, se diffuser internationalement en recueillant l’assentiment d’individus souvent convaincus d’être étrangers à tout sentiment antijuif.


S’il peut exister, selon la formule consacrée, un antisémitisme sans Juifs, il existe aussi une judéophobie sans judéophobes déclarés.
Tel est le paradoxe mis en évidence dans cet essai : la judéophobie mondialisée des années 2000 est une judéophobie sans judéophobes.
Même si je suis pas vraiment d'accord avec Taguieff sur son analyse (il fait de très nombreuses erreurs y compris dans les hypothèses de départ), je ne peux qu'applaudir des 2 bras un ouvrage qui vise à lutter contre le racisme et/ou l'anti sémitisme.

Avec l'islamophobie/arabophobie, l'anti sémitisme sont les pires fléaux contre lesquels il faut se battre sans relâche.
Le film scandale de Yoav Shamir sur l'ADL
03 mai 2010, 05:14




L'Anti-Defamation League (ADL, « Ligue antidiffamation ») est une ONG fondée par l'organisation B'nai B'rith aux États-Unis dont le but premier est de soutenir les Juifs contre toute forme d'antisémitisme et de discrimination, par tous les moyens légaux possibles et des campagnes d'information et de sensibilisation. Ses statuts précisent qu'elle « combat l'antisémitisme et toute forme d'intolérance, défend les idéaux démocratiques et sauvegarde les droits civiques pour tous ».

L'association possède 29 antennes aux États-Unis et trois dans d'autres pays. Son quartier général est installé à New York.



































Modifié 1 fois. Dernière modification le 03/05/2010 05:16 par rali.
LE NAUFRAGE DES ELITES !!
02 mai 2010, 10:13
Cette analyse confirme bien le VIDE dans lequel déambulent tous

ces pseudo "refaiseurs du monde", et qui plus que jamais concerne

les signataires de cet "appel à la déraison"

UNE BELLE ANALYSE SUR CES NAUFRAGéS !!





L’Europe entière connaît un profond malaise bien antérieur à l’actuelle crise économique largement lié à la présence de minorités de plus en plus présentes et bien déterminées à s’affirmer par tous moyens au sein des populations d’origine. Ce problème dépasse largement celui de la présence africaine en Europe, même s’il en constitue un des aspects les plus visibles.

Il porte sur le désarroi d’une soi-disant élite intellectuelle européenne, bureaucrates, essayistes, journalistes, enseignants, hommes politiques et philosophes de tout poil qui projettent sur l’Europe toute entière leur désarroi et leur vide intérieur. C’est bien cette « élite » qui doute d’elle-même, de son identité, de son histoire, et, en fin de compte, de son propre destin qui a construit le naufrage européen des trente dernières années.


Ce désarroi se focalise aujourd’hui sur le phénomène le plus visible qui est celui de l’immigration, et notamment en provenance d’Afrique noire, qui n’en est pourtant, à tout prendre, que le prolégomène (1).


Car l’Europe, repue et rassasiée d’une longue croissance quasi ininterrompue, sûre d’elle-même, de sa sécurité interne et externe, s’était voulue pendant plus de trente ans ouverte à tous les courants du monde et dispensatrice d’un message généreux à l’usage de l’humanité toute entière.


Elle s’était voulue accueillante sur son sol à tous, sans distinction de race, de religion, de coutumes ou de mœurs, convaincue qu’elle était de son invulnérabilité culturelle et de sa capacité à absorber sans heurts ni frictions ces populations hétérogènes venues des coins les plus reculés de la planète. Au demeurant, le Nouveau Monde n’était-il pas là pour faire la leçon à l’Ancien et lui donner le secret magique d’une intégration réussie et porteuse de puissance et de prospérité ?

Allant plus loin sur le chemin du renoncement, l’Europe avait prétendu forger une nouvelle identité sur les décombres des sociétés et des nations qui la composent.


Elle a été victime d’une prodigieuse naïveté sciemment entretenu par ses élites ignares et amplifiée par des médias complaisants sur les bienfaits supposés d’une immigration de masse destinée à combler le déficit des naissances, payer les retraites et sauver la croissance , tout en réalisant une coexistence heureuse entre autochtones et allochtones (2).


Le réveil sera cruel. Car l’Europe se réveille de ce long sommeil onirique profondément menacée de l’intérieur et sans doute bientôt de l’extérieur. Tant il est vrai « qu’aucune civilisation n’est détruite du dehors sans s’être tout d’abord ruinée elle-même, aucun empire n’est conquis de l’extérieur, qu’il ne se soit préalablement suicidé… Une société, une civilisation ne se détruisent de leurs propres mains que lorsque elles sont cessé de comprendre leurs raisons d’être » (3).


La trahison des clercs et l’idéologie dominante


Comment l’Europe en est-elle arrivée là ? Gramsci a ouvert le chemin en montrant comment une idéologie dominante peut littéralement transformer une société de l’intérieur.

Il faut retracer les courants complexes qui ont formé l’idéologique dominante des trente dernière années en Europe avant d’explorer les mécanismes de propagation de cette idéologie dans l’ensemble de la population


Schématiquement, il serait possible d’en identifier trois principaux :

la haine de soi ou le rejet de son identité propre ; la conviction dans le caractère universel des valeurs de l’occident ; et, ce qui en constitue le fer de lance, la religion des droits de l’homme, l’arme incapacitante par excellence, qui permet de pénétrer par effraction dans tous les systèmes de défense érigés par la société pour sa survie.

Ces courants s’entremêlent en se renforçant mutuellement la haine de soi nourrissant et justifiant l’universalisme.


La haine de soi:

Elle est magnifiquement illustrée par un texte de Jacques Attali publié dans Le Monde en date du 7 mars 1997 sous le titre de Géopolitique de l’immigration.

Le jeune Conseiller d’État (4) ose écrire sans rougir que « La France, en raison de ses choix géopolitiques antérieurs est une nation musulmane » (5).

Et voilà le représentant d’une des institutions les plus vénérable de l’Administration d’État, le Conseil d’État, qui raye d’un trait de plume 2000 d’histoire de la France et de christianisme.


Il est vrai que ce chemin lui avait été déjà tracé par rien moins que Nicolas Sarkozy, alors ministre de l’Intérieur, qui déclarait tout de go en 2005

« il ne serait pas anormal qu’un étranger puisse voter » (6) reprenant sans vergogne une des 110 propositions de François Mitterrand énoncées en 1981 (7).

Ce clin d’œil à la gauche n’avait évidemment pour objet que d’inaugurer, déjà, une politique d’ouverture à la gauche visant à démanteler le PS (8).

Mais c’était néanmoins fermer bien imprudemment les yeux sur le poids des mots en ignorant que le vote accordé aux étrangers revient ni plus ni moins qu’à détruire un peu plus la notion de citoyenneté déjà bien écornée, et d’appartenance à la nation par des liens autres que ceux de la sécurité sociale ou du code de la route.


D’où l’affirmation tant de fois répétée par d’autres depuis que l’Europe est par destination musulmane et le refus opposé par l’ancien président Jacques Chirac à reconnaître dans le projet de Constitution européenne les racines chrétiennes de l’Europe.


Mais c’est curieusement dans les pays scandinaves que la haine de soi a atteint des sommets.

Elle reposait sur une vision grandiose fondée sur un superbe dédain pour les notions de culture, de religion et d’histoire propre à une nation.

L’idée d’assimiler l’étranger venu d’ailleurs paraissait même insupportable.

Car une telle entreprise aurait été porteuse de « racisme ».

N’impliquait-elle pas subrepticement, horreur, la notion d’une supériorité culturelle de la population d’accueil sur celle de l’étranger? L’on retrouve ici un des effets collatéraux d’un complexe de culpabilité collective lié au souvenir de l’idéologie nazie abhorrée.


L’universalisme :

L’autre versant de la haine de soi repose sur la conviction bien ancrée de l’universalisme des valeurs élaborées au cours des siècles en occident, démocratie, égalité, liberté, tolérance à autrui et à ses opinions.

Elle a longtemps fleuri aux Pays-Bas.

Selon ce nouvel évangile que Rousseau n’aurait pas récusé, les valeurs de l’occident étaient par définition universelles et donc communes à toute l’humanité.

Il suffisait, en conséquence, d’avoir recours à des recettes éprouvées, l’éducation, la libéralisation des institutions sociales et politiques la démocratie et le respect des droits de l’homme pour que tout un peuple, comme en Irak pour la démocratie, ou les populations musulmanes immigrées aux Pays-Bas pour la tolérance, pouvaient enfin accéder à leur tour à la vérité révélée.

L’unité de l’humanité autour de ce fond commun culturel n’était plus qu’une question de temps.


En réalité, cette idéologie angélique a longtemps oscillé sans vraiment choisir entre deux modèles également inaccessibles :

soit l’idéal d’une assimilation susceptible de faire dans l’instant de tout immigré venu du fin fond du Congo une fille ou un fils de la République selon l’expression favorite de Jacques Chirac ;

soit la constitution d’une société multiculturelle formée d’individus égaux entre eux comme aux Pays-Bas.

Les deux modèles ont l’un et l’autre piteusement échoué.


Car cette vision onirique de la nature de l’humanité ferme complaisamment les yeux sur l’infinie complexité de la nature humaine et notamment le fait que l’homme est plus souvent guidé par la passion que par la raison (9).


Il a donc fallu déchanter.

L’irruption répétée de la violence au quotidien a contraint une fraction de l’élite européenne à s’éveiller lentement, péniblement, douloureusement à la réalité.

Le retour au bon sens a été puissamment aidé par le déchainement de violence et de haine constaté non seulement:

aux États-Unis avec les attentats du 11 septembre 2001

mais aussi ceux de Madrid du 11 mars 2004

enfin ceux de Londres du 7 juillet 2005

sans compter, en France, les émeutes de novembre 2005.

Décidément non, l’immigration de masse n’était pas toujours une bénédiction tombée du ciel.


La doctrine des droits de l’homme.:

Mais l’idéologie dominante a la peau dure et la religion des droits de l’homme refuse encore de céder le terrain malgré les coups répétés portés à sa crédibilité par l’actualité au quotidien.


Cela s’explique.:

Tout d’abord, les droits de l’homme s’incrustent astucieusement dans un des principes les plus profondément ancrés dans la conscience de l’humanité, le sens de la justice.

Depuis les temps les plus reculés l’homme réclame justice avant toute chose.

Par ailleurs, toujours avec beaucoup d’opportunité, cette revendication fondamentale, quelle que soit les abus qui en ont été fait au fil du temps, a été inoculée dans le droit international. Ce qui lui confère de ce fait une sorte d’impunité juridique coulée dans le bronze car protégée par d’innombrables conventions, traités, protocoles tous plus contraignants et catégoriques les uns que les autres.


Désormais le recours aux droits de l’homme permet tout, justifie tout, explique tout.

Quel qu’en soit le domaine d’application, notamment en matière d’immigration.

Certaines institutions internationales s’en sont même fait une spécialité comme le Conseil de l’Europe ou l’Office international des Migrations dont c’est devenu le fond de commerce principal.


Le principe de base qui régit la démarche de ces institutions est d’une simplicité biblique.:

A quelque variante près, tout homme quel qu’il soit et quels que soient ses motifs, a le droit de s’installer partout sur la planète dans le pays qui lui convient, et cela sans tenir le moindre compte des frontières, du droit local ou de la politique du pays choisi ou des préoccupations des populations d’accueil concernées.

La doctrine des droits de l’homme est commodément là pour fournir une justification juridique bien rodée à un état de fait.

A partir de cela, tout devient possible, immigration, légale ou clandestine, droit d’asile, regroupement familial, lutte contre la pauvreté, ou simple convenance personnelle, innombrables sont les motifs qui peuvent justifier l’installation d’une personne, d’une famille ou d’un groupe dans le territoire du pays de son choix.


Omniprésente et omnipotente cette doctrine des droits de l’homme a fleuri en Europe pendant une trentaine d’années, en fait jusqu’en 2005 /2006, pour justifier des flux migratoires toujours plus importants.

Il a fallu la vague d’attentats de cette période, et aujourd’hui la crise économique pour observer un reflux, relatif, de l’idéologie des droits de l’homme.


Les viviers de la doctrine : les institutions nationales ou internationales


Les institutions nationales ou internationales ont joué et jouent encore un rôle important dans l’élaboration et la propagation de la doctrine dominante.

Battue en brèche sur le terrain et contestée dans les enceintes nationales fâcheusement exposées aux aléas des opinions publiques, cette doctrine trouve un refuge dans ces milieux protégés. Il y aurait une étude sociologique intéressante à mener sur ces milieux clos, confortables et irresponsables, fermés au fracas et aux désordres de la rue, où s’élaborent dans la tranquillité des belles consciences de nobles et généreux principes à usage d’autrui


Au niveau international, c’est évidemment l’ONU peuplée de fonctionnaires généreux et menant une existence confortable car dotés de salaires opulents non soumis à l’impôt, circonstance fortuite qui favorise évidemment la générosité intellectuelle.

Mais c’est à Genève à l’Office international des migrations que l’on trouvera un des plus beaux fleurons de cette bonne conscience bureaucratique pétrie d’irresponsabilité quiète.

Cette organisation toujours ardente à défendre par voie de presse ou de colloques toujours plus d’immigration légale ou non, toujours plus de meilleures conditions d’accueil pour les immigrés déjà installés est au premier rang du lobby immigrationniste.

Jacqueline Wecker, sociologue avertie bien entendu, conseiller auprès de cette estimable institution, ne voulait-elle pas étendre le bénéfice du regroupement familial au delà de la famille biologique à la famille élargie, amis, connaissances, voisins etc.

En effet, un village africain ne constitue-t-il pas une grande famille ?


Le Conseil de l’Europe n’est nullement en reste dans ce grand concert humanitaire.

Refuge recherché d’hommes et de femmes politiques recalés de la vie politique, il est un des réceptacles privilégiés où mûrit la pensée unique loin des tristes réalités de l’actualité.


Cette institution se veut l’autorité européenne en chargée du respect des droits de l’homme.

La recommandation 1449 édictée en l’an 2000 stipule expressément que l’immigration est un des droits fondamentaux de l’homme.

En conséquence, elle récuse le droit d’un pays de refuser l’entrée sur son territoire d’immigrés clandestins et réclame l’accroissement des flux migratoires autorisés.

Elle s’autorise à ce titre une ingérence constante dans les affaires intérieures des pays européens comme par exemple à l’encontre de l’Italie qui prétendait en juin 2008 prendre des dispositions pour mieux connaître les déplacements des Roms.

En mai 2009, les Commissaire aux droits de l’homme Thomas Hammasberg critique vertement l’initiative de l’Italie refoulant vers la Libye 500 émigrés clandestins venus de la mer (10).

Et le droit d’asile, s’étrangle d’indignation M. Hammasberg qui n’est évidemment pas chargé de les accueillir, les loger, les nourrir les subventionner etc etc.


Au niveau national, le paysage n’est pas triste non plus.

Rappelons simplement le célèbre arrêt Montcho du Conseil d’État en date du 11 juillet 1980 étendant sans vergogne le bénéfice du regroupement familial aux familles polygames au motif que cette situation,

- la polygamie -, ne constituait nullement un trouble à l’ordre public.

Il a fallu les lois Pasqua de 1993 pour mettre un terme à cette aberration juridique commise par la plus haute instance administrative de la France.


Mais le cas du Conseil d’État mérite qu’on s’y arrête.


Créé en 1799, il est la plus haute instance juridique et administrative de notre pays.

C’est, aux côtés du Conseil constitutionnel, le juge des lois.

Il recrute dans la fine pointe de la « botte » du concours de sortie de l’École nationale d’Administration, donc parmi les esprits les plus fins, les plus aiguisés les plus subtils d’une de nos meilleures écoles, les meilleurs d’entre les meilleurs.

Et voilà que dans la tiédeur d’une après-midi d’été, cette noble institution foule allégrement aux pieds, comme en s’amusant, un des principes les mieux établis du droit de la famille.

Il participe ainsi tristement au dérèglement des consciences et à la corruption des valeurs fondamentales de la société (11).


Le Conseil constitutionnel, de création plus récente, fait également preuve d’excellentes dispositions dans ce domaine.

Depuis qu’il est arrogé le droit de juger pratiquement toutes les lois de la République grâce au droit de saisine élargi et à la doctrine Badinter, le Conseil constitutionnel n’a cessé de censurer toutes les dispositions visant à maintenir l’ordre public et à endiguer les flux migratoires.

Ainsi, entre 1977 et 1993, sur treize décisions concernant l’immigration, les fraudes au mariage ou au droit d’asile, pas moins de 8 ont été jugées contraire à la Constitution et 5 acceptées du bout de lèvres, c'est-à-dire assorties de réserves qui aboutissent à les vider de leur contenu de façon à les rendre inopérantes.


Cela a été notamment le cas récemment pour ce qui concerne le rejet des tests ADN en matière de regroupement familial visant à limiter les nombreuses fraudes constatées en ce domaine qui faisaient de ce droit une des filières les plus fructueuses pour l’immigration illégale.

La proposition13 présentée par le député Thierry Mariani concernant la loi du 23 octobre 2007 a été jugée non conforme à la Constitution et donc rejetée.


Last but not least, la Commission de Bruxelles, l’institution la plus malthusienne de la planète, pourtant riche en espèces de ce genre.

L’Europe de Bruxelles célèbre l’homosexualité, ignore la famille et encourage l’immigration de masse.

Le Commissaire Franco Frattini, chargé de la Justice et des Affaires intérieures rappelle que l’économie européenne comptera bientôt un déficit de 20 millions de la population active et de réclamer à cor et à cris « des flux migratoires plus soutenus » (12).

Pas question bien évidemment d’évoquer une solution d’évidence : relancer une politique familiale européenne susceptible de favoriser la natalité.


Cela ne devrait pas surprendre.

Relisons les traités fondateurs de l’Europe, le traité de Maastricht ou d’Amsterdam.

On y trouvera rien sur la démographie, rien sur l’enfant, rien sur la famille.

Mais ces textes se préoccuperont abondamment de l’égalité des sexes, du droit d’asile, de l’immigration, de la sécurité sociale des migrants et même, au passage, du bien-être des animaux.

On ne peut songer à tout.

Et les rédacteurs de ces textes prétendent ingénument s’intéresser au développement durable, devenu à la mode, sans s’interroger au préalable sur la relève des générations.


Les relais de la doctrine dominante


Ces mécanismes sont bien connus, au moins en France, qui a toujours été en tête du peloton européen dans ce domaine.

Ce travail de fond a d’ailleurs porté à la longue ses fruits comme en témoigne les statistiques concernant sur les statistiques ethniques.


A tout seigneur, tout honneur, il faut décerner le prix d’excellence à l’INSEE qui n’a cessé depuis 30 ans d’abreuver la presse et les médias et l’opinion de statistiques byzantines, entendons par là rigoureusement inaccessibles au grand public, quand elles n’étaient pas tronquées, mutilées ou carrément mensongères.

Son frère jumeau est l’INED qui sous la férule de François Héran est devenu, d’un centre de recherches démographiques respecté dans le monde entier qu’il était du temps d’Alfred Sauvy, une officine de propagande pitoyable au service du lobby de l’immigration.


Mais il y a bien d’autres canaux multiples et hautement vascularisés de la diffusion de cette idéologie mortifère qui a régné sur la France depuis 30 ans :

partis de gauche : le PS au premier rang, mais ardemment secondé par le PC ou ce qu’il en reste ..

syndicats : qu’elle qu’en soit la couleur, toujours prêts à prendre le parti des immigrés au mépris des intérêts des travailleurs qu’ils ont la prétention de défendre .

associations de gauche : Ligue des droits de l’homme, Licra, SOS racisme toujours prompts à se porter au secours des « sans papiers » évidemment persécutés sans raison.

« intellectuels » : de gauche virulents à la plume abondante et facile, Hervé Le Bras, François Heran (encore), Patrick Weill, Régis Debray à l’occasion, assurés qu’ils sont d’avoir toujours une tribune ouverte dans la presse de gauche (comme les artistes de Proust avaient en permanence leurs couverts mis chez Madame Verdurin) .

belles consciences du 16° : comme les « bobos » du 7° disposés à s’enflammer pour toute cause noble pourvu qu’elle soit dépourvue de tout danger.

personnalités et artistes du monde du spectacle : voulant à tout prix et à tout propos se hisser sur les barricades pour s’y faire photographier et exhiber leurs bons sentiments aux yeux du public ; et bien sûr,

les grands médias, radios et télévision : dont les journalistes interprètent le monde au travers de lunettes spécialement taillées sur mesure, à gauche naturellement.


Une mention spéciale doit être réservée à la presse française dont le rôle dans l’anéantissement de la pensée libre grâce à l’omerta, l’arme du silence, empruntée, et à juste titre, à la maffia sicilienne mérite d’être salué.


Citons au premier rang de la presse de gauche camouflée:

Le Monde, le grand quotidien du soir dégénéré tombé du haut du piédestal où l’avait juché son fondateur Beuve Méry.

Ce journal n’a-t- il pas mis 25 ans pour découvrir un soir de novembre 2005 que les « Jeunes » tant célébrés n’étaient pas tous des petits saints ?


Mais le crime ne paie plus.

Ainsi La Croix tombe en quenouille entre les mains de Bruno Frappat qui avait voulu en faire l’organe des chrétiens de gauche bien pensants, au grand dam de son compte d’exploitation :

Libération : recapitalisé et sauvé in extremis du naufrage par Édouard de Rotschild promu sauveteur de la presse de gauche ,

cependant que Claude Perdriel : le père fondateur du Nouvel Observateur, voit avec inquiétude ses recettes d’abonnement fondre comme neige au soleil.

Le Gotha de la gauche caviar parisienne serait-il enfin rattrapé par la réalité ?


Les temps ont changé


Ce que des années de publications, de discours et de colloques n’avaient pas réussi à faire, des attentats féroces et stupides comme l’assassinat de Pym Fortuyn en 2002 puis de Théo van Gogh en 2004 aux Pays-Bas l’ont obtenu en un clin d’œil (13).

L’Europe si sûre d’elle-même se découvre frileuse.

Les « bobos » ne tiennent plus le haut du pavé et leurs bobards se vendent mal.


Le « retour de bâton » a été sévère en France avec les deux lois du 26 juillet 2006 puis celle du 23 octobre 2007 voulues par Nicolas Sarkozy.

Mais on retrouve les mêmes tendances aux Pays-Bas (où les ressortissants étrangers sont fichés), au Danemark, en Angleterre et en Italie.

Les immigrés ne sont plus les bienvenus et l’intégration à marche forcée des immigrés déjà installés se met en route.

L’Europe se ferme à l’immigration et envisage des règles communes.


Le message a été bien reçu par les communautés immigrées qui ont mis un bémol à leurs démonstrations et à leurs revendications.

Pas un attentat n’est venu troubler l’ordre public depuis 2006.

Mais une hirondelle ne fait pas le printemps.

Le temps de la contrition n’est pas encore venu même si le Handelsblat hollandais reconnait piteusement :

« nous prétendons inculquer notre identité propre à nos immigrés mais nous ne sommes même pas sûrs d’en avoir conservé une ». Bel aveu.


Et cela d’autant plus qu’un sondage de 2008 publié par l’International Herald Tribune fait état d’une hostilité forte et croissante envers les musulmans dans les pays européens ce qui présage assez mal d’un avenir commun.

Le chemin risque d’être long.
Re: LE NAUFRAGE DES ELITES !!
03 mai 2010, 22:45
Quelque sympathie que l'on eprouve pour la personne de ces intellectuels, et pour le contenu de leur message, l'immense majorite des Israeliens "de l'interieur" ont une position inebranlable:

"Vous autres, Juifs de le Diaspora, vous avez une seule facon de meriter votre etiquette de "sionistes", c'est de faire votre ALYAH. Pour le reste, si vous faites partie des "people" et autres "celeb's", vous pouvez chanter ou danser sur des plateaux afin de recueillir des fonds pour Israel, publier des bouquins savants ou vous combattrez l'antisemitisme, travailler dans vos laboratoires pour augmenter la liste des Prix Nobel juifs, militer pour le cause de l'ecologie en Allemagne ou pour le socialisme a la francaise. Bref, continuer encore et encore votre vie de Juifs parmi les Nations, ce qui est l'exacte antithese de l'ideal sioniste".

J'ai parcouru les archives de Dafina, et j'ai trouve une formule a l'emporte-piece qui a suscite bien des commentaires: "JUIFS DE LA DIAPORA, PAYEZ ET TAISEZ-VOUS! OU BIEN VENEZ VIVRE EN ISRAEL."

Cette formule me semble valable pour les Juifs "de gauche", comme ceux de Jcall, aussi bien que pour les Juifs "de droite" depuis le Betar jusqu'au CRIF.
SAVOIR DIRE "MERDE" sign? PIERRE LEFEBVRE....
04 mai 2010, 13:32
IL SERAIT TEMPS POUR ISRAEL DE DIRE à hussein obama et au monde entier ceci :


Savoir dire "Merde" !


Tout d’abord, ils ne sont pas venus en masse, en 1945. Certains n’y croyaient pas et n’ont pas voulu faire le voyage.

Résignés, accablés, à peine sortis des cendres, ils ont préféré penser qu’une vie nouvelle était encore possible dans
la vieille Europe.

Aujourd’hui, coiffés de leurs kippas, ils sont frappés, humiliés et recommencent à raser les murs.

Les cheminées d’Auschwitz n’étaient pas encore tièdes que les premiers ont pourtant entamé le
« grand dérangement », un nouvel exode, pour parvenir dans des marais infestés et dans des orangeraies
faméliques, sur une terre que leurs ancêtres avaient quittée en 70, soit 1875 ans auparavant.

D’autres ont dû fuir les pays arabes qui les « protégeaient », dont certains les toléraient au prix d’un petit
impôt spécifique et de beaucoup d’humiliations petites et grandes.

Dans ces pays, au sud de la Méditerranée, il leur a fallu partir de nuit, sans chaussures, pour ne pas réveiller
les voisins et abandonner leurs maisons, leurs hôpitaux, leurs cimetières, leurs biens et leurs photos de famille.

D’Irak, de Jordanie, de Lybie, de Syrie, du Maroc, de Tunisie, d’Algérie, ils sont partis en guenilles pour rejoindre
leur terre mille fois confisquée.

A peine installés, ils ont entrepris les travaux urgents: parer au plus pressé, répondre aux besoins vitaux.

Vergers, jardins, potagers, champs ont créés un peu partout dans la pierraille, le désert ou les marais asséchés
pour nourrir une population sans cesse croissante: leur peuple, mais aussi des travailleurs attirés par l’amélioration
des conditions de vie, immigrant depuis les pays arabes voisins.

Pas de droit du sol pour l'éternel voyageur

Mais la jalousie, la haine n’ont pas mis longtemps à renaître de la cendre. Malgré leurs cendres.
Des chefs arabes ont décrété que la présence d’Israël en terre musulmane était un affront insupportable.

Le vocabulaire a évolué depuis ces années. Aujourd’hui, Ahmadinejad parle du « cancer sioniste ».

Aux origines du racisme hitlérien, il y a d’abord l’affirmation de la supériorité de la race aryenne, le Nord
contre le Sud (déjà !).

Mais un autre volet, moins connu est une accusation (plus sensible originairement chez Drumont et Céline),
de racisme (un racisme juif imaginaire, pas le racisme anti-juif industriellement organisé).

Les Juifs étaient (sont toujours dans la propagande islamiste) le groupe solidaire, qui cherche à corrompre
les autres et à installer sa dictature.

En 1948, une histoire recommence

Un chef, Ben Gourion, se lève et proclame l’indépendance de leur peuple, telle qu’elle a été votée par l’ONU,
“la communauté internationale”. Le 14 mai 1948, les Juifs ont enfin un Etat, pauvre mais tourné vers la modernité.

Un petit, tout petit chez-eux dont ils rêvaient quand ils étaient parias ou boucs émissaires chez les autres, une
démocratie comme ils avaient eu le temps de l’imaginer : respectueuse des droits et consciente de ses devoirs.


Mais les armées de six pays arabes, renforcés par des volontaires d’une dizaine d’autres, se sont rués sur eux,
le jeune Etat qui n’avait que des armes légères et une poignée de véhicules, pas mêmes blindés.

Ils ont adapté les tôles de leurs poulaillers sur les camions pour ne pas mourir sous les balles des tireurs embusqués.

En 1967, rebelote ! En 1973, dix de der ?

Israël a été attaqué par trois fois (1948, 1967, 1973), sans autre provocation de sa part que sa volonté d’exister.

Par trois fois, il a vaincu.

Il a regagné des territoires au détriment de l’expansionnisme colonialiste arabe.

Et c’est au nom même de ces victoires israéliennes que le monde musulman se prétend aujourd’hui humilié,
donc légitimé dans sa soif de reconquête.

Par trois fois, Israël était en principe sous la sauvegarde de l’ONU.

En 1967, les Casques Bleus se sont retirés pour ne pas gêner les manœuvres égyptiennes.

Nasser le leur avait demandé poliment.

Pas étonnant qu’Israël ne croie plus aux déclarations et garanties de l’ONU, aux promesses solennelles
« de frontières sûres et reconnues », celles qu'on ne cesse de vouloir lui grignoter.

Il lui faut du concret.

Que les pays qui l’entourent cessent de l’abreuver de cris de haine.

Qu'ils cessent surtout de l’inculquer à leurs enfants.

Quand Israël était en danger, personne n’est venu à son secours. Il s’est débrouillé seul.

Réclamer l’aide internationale, appeler au cessez-le-feu est l’apanage, la marque de fabrique de ses
puissants voisins qui viennent pleurer dans les jupes de l’ONU chaque fois que les attaques qu’ils ont
lancées se soldent par une raclée.

Les appels au cessez-le-feu ne sont émis que lorsqu’Israël prend l’avantage, jamais pendant que les
armées arabes gagnent du terrain.

Et, en plus, ils se sentent légitimes, confortés par le droit international, ceux qui exigent d’Israël qu’ils
rendent les territoires.

La plupart d’entre eux est bien incapable de préciser de quels territoires il s’agit. "Israël envahisseur",
"colon" est devenu LE DOGME infaillible.

Hors lui, point de salut !

Israël, vainqueur contre toute attente, devrait rendre sa capitale, les portions de terre reconquises.

Reconquises sur qui ?

Pas sur “la Palestine”: ce pays n’a jamais existé.

Mais sur l’Egypte (Gaza) et sur la Jordanie qui avait annexé la Cisjordanie jusqu’en 1967, ce dont
personne ne lui a jamais tenu grief.

Et d’ailleurs pourquoi lui aurait-on reproché quelque chose, à la Jordanie, créée de toutes pièces par
les Anglais en 1926 sur 75% du territoire que la SDN, l’ancêtre de l’ONU, leur avait confié en 1922 pour
y installer le Foyer National Juif ?

Si les décisions internationales n’ont pas force de loi, alors le Pakistan doit retourner au sein de l’Inde:

il a été créé la même année qu’Israël, sur le seul critère de la religion musulmane.

Et puis la Russie doit rendre l’enclave de Kaliningrad aux Allemands.

Les USA doivent rendre le Texas au Mexique.

La Bessarabie est roumaine, le Banat est hongrois.

La France doit rendre la Savoie, le comté de Nice, la Corse.

Plus loin encore dans l'Histoire, le Maghreb pourrait être rendu aux Berbères et aux Kabyles.

Obtenir par le droit ce que l’on ne parvient pas à obtenir par la force.

En 1975, au milieu de centaines de guerres qu’elle préférait ignorer, l’ONU réunissait des assemblées
générales qui pleuraient, se lamentaient en se tordant les doigts, bien au chaud car novembre était frisquet,
cette année-là.

Le 10 du mois était votée à l’ONU la résolution assimilant le sionisme au racisme, résurgence de la propagande
hitlérienne.

Les Juifs, ce groupe solidaire qui défiait les lois communes de la guerre en accumulant les victoires, ne devait plus être toléré.

Son ciment, son concept de « nation » lui était alors nié.

Aucun autre pays n’avait jamais subi le même sort et aucun ne l’a subi depuis.

Les juifs sont racistes. La meilleure preuve, c'est que l’ONU le dit, le vote.

Vote facile :

cela s’appelle la majorité automatique.

Ajoutez les pays musulmans aux non alignés, soustrayez les Etats-Unis absents ou étourdis et vous

pouvez même faire voter une condamnation d’Israël pour avoir rendu la terre plate.
Ou ronde. Ou pour avoir inventé le capitalisme. Ou le communisme. Ou les deux.

A l’origine de la délibération sur “sionisme = racisme”, le “droit du retour” qui permet à tout Juif qui en fait
la demande d’obtenir immédiatement la nationalité israélienne.

Pour matérialiser le “Plus jamais ça” prononcé du bout des lèvres par les nouveaux antisémites, les antisionistes,
ceux qui condamnent Hitler pour les 6 millions de Juifs européens d’il y a 70 ans, mais qui rêvent de “recommencer ça”
avec 5 millions de juifs israéliens et le plus tôt sera le mieux.

S’ils reviennent au pouvoir, ceux-là, alors les Juifs pourront se réfugier en Israël.

Si un non Juif veut faire comme eux, rien ne l’en empêche. Mais il devra accomplir les formalités d’usage
dans les autres pays du globe.

Enfin pas en Arabie Saoudite ou au Soudan (où la religion musulmane est une condition sine qua non),
pas en Jordanie où la Loi n°6 stipule que quiconque peut acquérir la nationalité sauf s’il est juif, mais
par exemple en France.

Cela prend plus longtemps, mais c’est moins grave pour ceux qui ne sont pas en danger d’extermination...

Même annulé quelques années plus tard, le vote continue d’alimenter les fantasmes antisémites

Depuis ce vote de 1975 où l’ONU s’est déshonorée, les antisémites s’affichent fièrement.

La haine s’est démultipliée. Aujourd’hui, elle s’appelle antisionisme.

Cela fait plus chic dans les salons parisiens, les salles de rédaction et les banlieues chaudes soumises
à des imams analphabètes.

62 ans, LE BEL ÂGE !

Survivre à 62 ans de haine sans faiblir, à 62 ans d’incessantes déstabilisations, d’attentats, de récriminations
et se retrouver en tête des pays développés pour sa recherche scientifique, son expertise médicale, ses
découvertes informatiques.

Magnifique performance !

Comme l’est celle qui fait de lui le champion olympique des pays accumulant le plus de votes de l’ONU
contre lui, toutes catégories confondues.

62 ans de sionisme, cette valeur de gauche maintenant foulée au pied par ceux-là mêmes qui soutiennent
TOUS LES AUTRES mouvements d’émancipation nationale dans le monde entier.

Car celle-ci est juive, donc suspecte.

62 ans, et avoir encore à prouver qu’on existe, qu’on veut vivre, qu’on a vécu et qu’on a sa place
sur une portion de la planète grande comme deux départements français.

BON ANNIVERSAIRE ISRAEL !

Ils sont nombreux, ceux qui ne veulent pas qu'il disparaisse, noyé par un flot de nouveaux envahisseurs,
ou vitrifié par la bombe thermonucléaire qu’un dictateur lui promet depuis longtemps, avec la complicité
avérée ou passive des grandes puissances.

Puisse ce pays vivre longtemps, cette bien plus ancienne civilisation que toutes les nôtres réunies.

Qu’il continue à dire "Merde" à ceux qui veulent sa mort.

Et surtout, qu’il n’écoute pas les fourvoyés de JCALL, JSTREET,
qui affirment haut et fort qu'il n’en fait jamais assez pour la paix.


signé : Pierre Lefebvre
Re: Point de vue, humeur, debat, articles.....
05 mai 2010, 03:34
bonjour a tous,

Je crois malheuresement qu'Israel,l'Egypte,la Jordanie,et( l'Irak,le pakistant,l'afganistant) et peut etre d'autres ne sont que les pions dans l'echiqier Americain, et pour absorber l'Iran ils sont pret a mon avis de l'accepter dans le clan nucleaire,tout ca pourquoi pour que l'Amerique ai la supremacie du petrole dans le monde,et ainsi freiner la Chine et la Russie.
Les Iraniens renacklent a entrer dans ce club ils ont certainement leurs raisons.L'avenir nous en diras plus
la seule aide qu'Israel peut recevoir des Etats Unis ce sera grace a L'AIPAC ( j'espere le sigle correct)
quand je pense que Rali m'avais demande sur j'aurais voter contre une decision de l'AIPAC,!!!!!
Re: Point de vue, humeur, debat, articles.....
05 mai 2010, 04:19
Les pauvres arabes comme Rali conduisent sans retroviseurs.
Ont-ils voulu vivre en paix avec le minuscule Israel de 1947 ? Ont-ils appris les leçons des defaites consécutives ? Ils ont oublié l'histoire,et vaincus ils veulent imposer leurs conditions qui ne conduisent pas à la paix,mais à la tentative d'obtenir les moyens géographiques et militaires de réaliser leur sinistre projet d'anéantissement d'un Israel affaibli et vulnérable.
La paix,pour ces insensés est celle des cimetières,pas de la coexistence pacifique et constructive.
Et ils a raison ,le petit islamiste honteux,nous ne voulons pas de cette paix arabe.
Re: Point de vue, humeur, debat, articles.....
05 mai 2010, 05:32
Citation
gil009
Les pauvres arabes comme Rali conduisent sans retroviseurs.
Ont-ils voulu vivre en paix avec le minuscule Israel de 1947 ? Ont-ils appris les leçons des defaites consécutives ? Ils ont oublié l'histoire,et vaincus ils veulent imposer leurs conditions qui ne conduisent pas à la paix,mais à la tentative d'obtenir les moyens géographiques et militaires de réaliser leur sinistre projet d'anéantissement d'un Israel affaibli et vulnérable.
La paix,pour ces insensés est celle des cimetières,pas de la coexistence pacifique et constructive.
Et ils a raison ,le petit islamiste honteux,nous ne voulons pas de cette paix arabe.

Lorsque je suis né, Camp David était déja signé depuis pas mal de temps.
On est pas de la même génération. Vous avez peut être connu ces guerres. Désolé pour vous.
Mais aujourd'hui on en est plus là. Il faut être pragmatique et changer totalement de paradigme.
L'archaïsme doit être annihilé.

Il y a une chose intangible : Quelque soit la situation, l'évolution du monde et de la démographie, les voisins d'Israel seront TOUS arabes et Israël comptera toujours en son sein une minorité arabe ( à moins qu'il y ait un néttoyage ethnique mais j'ose même pas l'imaginer, c'est inimaginable).
Croire qu'on ne peut vivre qu'en jouant sur le rapport de force, c'est se tromper. Car en agissant ainsi, on ne construit pas de rapport de confiance. Et qui dit pas de rapport de confiance signifie qu'il suffirait d'une faille pour que ce rapport de force soit inversé.
Re: Point de vue, humeur, debat, articles.....
05 mai 2010, 06:31
Les dirigeants arabes sont ceux qui ont déclenché les guerres et eux se réfèrent au passé dans toutes les harangues
qui endoctrinent leurs jeunesse née après camp David.À un passé qui les présentent en victimes d'une occupation
étrangère à laquelle ils se sont opposés dès le jour de la création de l'Etat juif.Et dont la disparition était,est et sera l'objet de tous leurs efforts,de leurs atermoiements,de tous leurs mensonges,de toutes leurs simagrées,de toutes leurs traitrises

Si par mallheur le rapport de force leur donne la victoire,il n'y aura plus d'Israeliens pour négocier la paix.Ils seraient tous egorgés ou jetés à la mer.
Re: Point de vue, humeur, debat, articles.....
05 mai 2010, 07:45
Je réfute ce point de vue.
Israël sera un voisin comme un autre.

On sait a quel point l'histoire évolue, les rapports de force changent.
Il ne faut jamais dire : FOntaine je ne boierai pas de ton eau.
Re: Point de vue, humeur, debat, articles.....
05 mai 2010, 09:50
tu es un gentil garçon Rali, que ce rêve se réalise amen,




sur ce je ne vais pas chercher ce genre de vidéo, on me les envoies. j'ai peur pour mes petits ! ils sont français et americains, ils ne viendront certainement pas en Israel y vivre, seulement si ils en sont contraints.

>>> Cher(e)s ami(e)s>>>>>> Vous ne verrez pas ce film à la télévision française, on ne montre pas>>> ce qui peut fâcher.>>>>>> Ce sont des américains de passage à Paris qui ont filmé cette>>> manifestation et, vue de province, on a du mal à se rendre compte>>> combien cela devient inquiétant, c'est le moins que l'on puisse dire !>>>>>> Je vous incite donc à visionner le site you tube ci-dessous et vous>>> verrez comment en février 2010, Rue de Rivoli à Paris, devant la>>> police et en totale liberté, la foule crie, entre autres, ""Juifs>>> Juifs Volà l'armée d'Allah"*>>>>>> Encore à réfléchir pour ceux et celles qui sont toujours très >>> optimistes.>>>>>> Quand on parle d'islamisation de notre pays et sans doute de l'Europe,>>> nombreux sont ceux, juifs et non juifs, qui pensent que nous>>> exagérons, que nous sommes obsédés et pourtant ouvrons les yeux, le>>> temps ne joue pas pour nous.....>>>>>> Sans nullement chercher à dramatiser, soyons néanmoins très vigilants.>>> On ne pourra pas dire on ne savait pas, on n'imaginait pas, on ne>>> pouvait pas croire que....>>>>>> Quand on cherche à culpabiliser les juifs dans un pays, que les non>>> juifs se "rassurent", l'histoire a toujours prouvé que ce n'était pas>>> forcément les juifs qui étaient uniquement visés mais tous les>>> représentants de la démocratie.>>>>>> Très amicalement>>> François Guguenheim


François Guguenheim>>>>>>

O.C.D.E et ECOSOC
08 mai 2010, 06:17
Deux Organisations internationales font parler d'elles ce week-end: l'OCDE, organisation qui regroupe une trentaines de pays definis comme "developpes et democratiques", et l'ECOSOC, qui est le Comite de l'ONU pour les questions sociales.

Quel point commun entre ces deux Organisations? Elles vont accepeter en leur sein deux pays (Israel pour l'OCDE et l'Iran pour l'ECOSOC) qui VIOLENT deliberement leurs propres statuts.

Pour faire partie du club exclusif de l'OCDE, un pays doit fournir des statistiques precises sur son economie non comprises les colonies que ce pays pourrait dominer. Or l'Etat d'Israel passe outre cette obligation. Les colons de Cisjordanie, du Golan et de Jerusalem-est sont inclus dans les statistiques fournies a l'OCDE. Il a fallu le "lobbying" du Gouverneur de la Banque d'Israel, Stanley Fischer, pour que l'OCDE ferrme provisoirement les yeux sur ce passe-droit.

L'ECOSOC, quant a lui, a elu comme membre de son comite pour l'egalite de femmes dans le monde une representante de...l'Iran, pays bien connu pour la facon dont sont traitees lespersonnes de sexe feminin.

Il n'y a donc pas de limites au cynisme des Organisations internationales?
Re: O.C.D.E et ECOSOC
08 mai 2010, 11:33
Faut-il te remercier de ne pas citer les colonies implantées au-delà des limites du partage ,seules internationalement et officiellement reconnues ? car le veritable cynisme des nations est de faire semblant de reconnaitre celles de l'armistice de 1949,dites à tort de 1967,pour permettre aux arabes de reprendre leurs exigences après avoir,peut-être obtenu satisfaction.
Pièces jointes:
carte-israel-1947-1949.jpg
Re: Point de vue, humeur, debat, articles.....
08 mai 2010, 12:19
Ah ce que je sache aucun pays arabe ne demande les frontières du plan de partage de 47.

Les plans de paix (Clinton, Geneve, Abdalah etc...) partent du postulat que si État palestinien devait exister, cela se ferait sur la base du 4 juin 67.

C'est ridicule ta rhétorique.
Re: Point de vue, humeur, debat, articles.....
08 mai 2010, 14:33
Rali..pourquoi les arabes demanderaient-ils ce plan de partage de 48..? Il est un dicton marocain qui dit "li marda b'khobza irda b'nasha"(celui qui n'accepte pas,qui ne veut pas d'un pain,acceptera,voudra bien(un jour) un demi-pain). Les arabes donc devaient accepter le partage.

Et puis les arabes n'avaient pas à s'immiscer dans une affaire qui ne les concernaient pas.
Re: Point de vue, humeur, debat, articles.....
08 mai 2010, 14:44
Tu ne sais rien,malheureusement .
Et tu participes,à l'hypocrisie et au cynisme des intervenants occidentaux dans la recherche d'une solution.Ecoute bien ce que disent les palestiniens.Si le partage de 1947 est caduque,la légitimité des frontières que les négociations directes définiraient peut-être un jour,ne serait reconnue que par un vote rectificatif de l'ONU .
Et les Arabes ne l'accepteraient jamais,parce qu'ils n'ont pas accepté celles de 1947.Et qu'ils ne veulent pas d'un Israel
fut-il réduit à Tel-Aviv et Ashdod.A la limite supporteraient-ils la présence de Naturei Karta !!!
Re: Point de vue, humeur, debat, articles.....
09 mai 2010, 05:40
Etant donné que l'heure (et des fois la date) n'a pu être rectifiée depuis l'incident sur dafina, je vais mettre la date et l'heure de ce message afin d'avoir une idée de la différence entre les heures inscrites sur les messages et l'heure réelle. Nous sommes le 9 mai et il est 14:40.
Re: Point de vue, humeur, debat, articles.....
09 mai 2010, 05:42
Il faut donc ajouter 9 heures à celles indiquées sur les messages.
Re: Point de vue, humeur, debat, articles.....
09 mai 2010, 08:07
Pour gill009

Tes subtilites juridico-legalisto-capillo-tractees ( en francais: tirees par les cheveux ) ne sauraient camoufler le fait patent suivant: l'OCDE a mis pour condition a l'acceptation d'Israel parmi ses membres qu'Israel fournisse des statistiques ACTUALISEES dont les Territoires occupes seront exclus. La definition de "Territoires occupes" se trouve non seulement dans la resolution 242 de l'ONU, mais surtout chez chaque Israelien que tu peux rencontrer et interroger dans la rue. Lui, l'Israelien "lambda", sait tres bien ce qui est "a lui", et ce qui a ete conquis par la force en 1967. Meme David ben Gourion exigeait, des juillet 1967, de "rendre les Territoires".

Ceci rejoint l'idee d'obliger Israel a mentionner sur tous ses produits manufactures et exportes en direction de l'Europe si ces produits sont fabriques A L'INTERIEUR des frontieres de1967, ou bien dans les Territoires occupes.

Peu a peu, bon gre mal gre, envers et contre tout, nolens volens Israel se voit oblige de devenir ce qu'il a toujours reve d'etre: un pays aux frontieres clairement definies. Sans parler de la desastreuse influence de l'Occupation sur les soldats Israeliens eux-memes: des gosses de 18-19 ans ivres de pouvoir et de puissance, qui sont les "maitres" de citoyens palestiniens peres et meres de famille, qui les controlent dans des barrages, qui usent quotidiennement sinon de violence, du moins de pleins-pouvoirs. Et qui rendent la societe civile interieure Israelienne de plus en plus rongee par la violence.
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