KENITRA, ....Port Lyautey d'autrefois.

Citation
Aït Souala

Citation
CIGALOU
par contre le patronyme STENNER ça me parle...

C'est vrai, que si on veut rester rigoureux, et en la matière c'est la meilleure façon de ne pas s'égarer. Il faut respecter pour le moins l'orthographe des noms propres des prénoms également, idem pour les dates si possible.
Alors oui, l'orthographe de STENNER est bien la bonne. Pardon pour ça, je l'ai moi-même mal orthographiée.
Concernant l'autre photo, peut-être alors celle de Haïm BITON, j'ai laissé la légende "Un M.Biton.jpg" exprès pour montrer que Pierre Biton, ne savait peut-être plus de quel oncle il s'agissait.
En tous cas, merci pour la description de la famille BITON ainsi que de la composition du conseil municipal de l'époque. Je suis heureux de mieux les connaître aujourd'hui. Le père de Pierrot : Moïse, était craint et respecté, comme tous les pères de famille de l'époque, je l'apercevais fortuitement lorsqu'il allait à son travail, j'ai davantage connu son épouse, la mère de Pierrot, qui comme toutes les mamans de l'époque gâtaient les copains que fréquentait Pierrot, essentiellement au moment des fêtes.
Je prends en compte les dernières observations de CIGALOU, certainement étayées par les écrits, documents ou autres, davantage que les narrations de la famille et suis désolé de n'avoir pas fait le rapprochement avec tes écrits précédents, au sujet de Haïm BITON.

Servir de l'essence en habit et avec la pochette,LA CLASSE d'antan !
Concernant les BERDOZ, là encore, les seuls souvenirs que je puis en avoir, c'est ceux de la fréquentation à l'école du port, des enfants BERDOZ (frères et soeur), dont les parents tenaient la quincaillerie. Ce n'étaient peut-être que des gérants ou employés.[On allait : "Chez Berdoz", quand il s'agissait d'acheter de la quincaillerie ! ]

Citation
coronado

Citation
Aït Souala

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CIGALOU
par contre le patronyme STENNER ça me parle...

C'est vrai, que si on veut rester rigoureux, et en la matière c'est la meilleure façon de ne pas s'égarer. Il faut respecter pour le moins l'orthographe des noms propres des prénoms également, idem pour les dates si possible.
Alors oui, l'orthographe de STENNER est bien la bonne. Pardon pour ça, je l'ai moi-même mal orthographiée.
Concernant l'autre photo, peut-être alors celle de Haïm BITON, j'ai laissé la légende "Un M.Biton.jpg" exprès pour montrer que Pierre Biton, ne savait peut-être plus de quel oncle il s'agissait.
En tous cas, merci pour la description de la famille BITON ainsi que de la composition du conseil municipal de l'époque. Je suis heureux de mieux les connaître aujourd'hui. Le père de Pierrot : Moïse, était craint et respecté, comme tous les pères de famille de l'époque, je l'apercevais fortuitement lorsqu'il allait à son travail, j'ai davantage connu son épouse, la mère de Pierrot, qui comme toutes les mamans de l'époque gâtaient les copains que fréquentait Pierrot, essentiellement au moment des fêtes.
Je prends en compte les dernières observations de CIGALOU, certainement étayées par les écrits, documents ou autres, davantage que les narrations de la famille et suis désolé de n'avoir pas fait le rapprochement avec tes écrits précédents, au sujet de Haïm BITON.


Concernant les BERDOZ, là encore, les seuls souvenirs que je puis en avoir, c'est ceux de la fréquentation à l'école du port, des enfants BERDOZ (frères et soeur), dont les parents tenaient la quincaillerie. Ce n'étaient peut-être que des gérants ou employés.[On allait : "Chez Berdoz", quand il s'agissait d'acheter de la quincaillerie ! ]

Servir de l'essence habille et avec la pochette,la CLASSE d'antan!

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coronado

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cigalou
Aït Souala,

Je lis,par ci, par là : d'abord "STENEIR" puis "STEINER"..ce nom ne me dit rien...par contre le patronyme STENNER ça me parle...mais je me trompe peut-être

Peut-on y voir plus clair ?

Bonjour CIGALOU,Bonjour a tous
STEINER (mais peut t-etre avec deux N et dire que j'ai travaille tout a cote.L'ensemble s'appellait " Reydon" mais bien des annees avant..

Je revois un instant au dessus du magasin "Steiner et Biton",Steiner lui etait au fond de la cour il etait plutot dans la mecanique lui,et .a droite apres le portail en fer,sur le mur "Moran et Coronado" plomberie zinguerie soudure c'est fou quand on fait travailler sa memoir les souvenirs resurgisses.

Bonjour à tous,

Bonjour Aït Souala,

C'est un plaisir de discuter avec toi...tu as beaucoup de qualités notamment celle de faire avancer intelligemment la discussion…

Ce qui permet et c'est le but du jeu de mettre en ligne sur DAFINA un maximum de faits et actes historiques si possible vérifiés,recoupés...faits et actes parfois enfouis dans les "oubliettes de l'Histoire"...parfois hasardeux,approximatifs...parfois franchement travestis pour des raisons idéologiques etc...

Bref je vais reprendre l'Histoire de la rue de la Mamora de KENITRA/PORT-LYAUTEY à ses débuts…

En ce qui concerne l'Histoire de la "quincaillerie centrale" il ne fait aucun doute que les "BERDOZ" n'ont pas été propriétaires-gérants jusqu'à la fin des années 1950...peut-être ont-ils été des employés...jusqu'à ce qu'ils deviennent gérants après le départ de Louis BARREAU.

Bonsoir à tous,

Bonsoir Aït Souala,

Nous savons qu'au début de l'Histoire de la rue de la Mamora à KENITRA nous avions au N°11 l'Hôtel-restaurant DOMINIQUE de Dominique Garguilo.

Au numéro 9 l'immeuble de BENSIMON Emile avec au rez-de-chaussées un local commercial,un "bar",fonds de commerce ayant appartenu à Dominique GARGUILO jusqu'en 1928 puis acheté par Eugène DUFEIX.

Et à la même adresse N°9 l'immeuble mitoyen de Messaoud ABOAB avec au rez-de-chaussées le magasin familial "Maison Aboab",également le siège de la société familiale "Au grenier de la Mamora".

Au numéro 7 une propriété ayant appartenu à Jacob BITON,vendue en 1922 à Francisco PLAZA.Comme on peut le voir sur l'ancienne photographie/cpa il s'agissait,à l'époque,de locaux commerciaux en rez-de-chaussées.

Au numéro 5 la fameux "immeuble BENTATA" avec,au rez-de-chaussées un fonds de commerce ayant appartenu à HEUILLANT jusqu'en 1924 puis racheté par BENTATA sous l'enseigne "Au BAZAR de la Mamora".

Concernant la zone des numéros 3 et 1 de la rue de la Mamora...je rassemble les éléments en ma possession...c'est un peu compliqué...demain il fera jour



Modifié 1 fois. Dernière modification le 27/08/2020 15:00 par cigalou.
Pièces jointes:

En faisant quelques recherches sur le dénommé PLAZA propriétaire au numéro 7 j'ai découvert qu'il avait une propriété jouxtant celle de Jacob BITON à 1km5 de Kénitra sur la route de Fez.

La propriété de 3 hectares de Jacob BITON était dénommée "Jardin BITON"

Jacob BITON était également propriétaire de 8 hectares de terres de culture au bled Bouchtyine,tribu des ouled Naïm,route Kénitra/Petitjean,non loin de la voie ferrée normale et de 5 hectares à l'est de Kenitra prés de l'ancienne voie ferrée en 0,60.

Lors de tous ces achats il se faisait domicilier chez un avocat ce qui était courant lors des transactions...donc j'ai recherché l'adresse domiciliaire.

J'arrive au résultat suivant : Jacob BITON a acheté en mai 1912 un terrain de 3000 m2 dans la zone de ce que l'on appellera "lotissement BITON" puis "village Biton" à la tribu SAKNIA il y a construit,notamment,sa maison d'habitation et il a appelé sa propriété:"JACOB".

Bonjour à tous,

J'ai réuni ma documentation sur les numéro 3 et 1 de la rue de la Mamora de KENITRA à ses débuts historiques...

Au numéro 3 jouxtant l'immeuble BENTATA c'était l'immeuble LAMOUROUX...400m2 avec des locaux commerciaux...propriété de LAMOUROUX Jacques Henri marié le 19/10/1901 à VENDARGUES(Hérault) avec DECAP Léocadie.

A priori(il ne faut pas exclure l'existence préalable d'un autre type de commerce) dés le début il y avait un restaurant avec probablement quelques chambres d'hôtel.

Selon mes renseignements ce fonds de commerce appartenait à Lucien VEFOUR...qui sauf erreur de ma part avait acheté dans la seconde moitiè des années 1920 le resto-hôtel du SEBOU à Michel PIQUERAS.
Pièces jointes:

Bonjour à tous, je n'en reviens pas de la précision notariale avec laquelle tu fais ou refais l'implantation quasi cadastrale de cette rue de la Mamora. Pour t'aider à parfaire et situer à la parcelle près des différentes propriétés de cette rue, je vais t'adresser par message privé, une vue aérienne de toute ou partie de cette rue, depuis le marché jusqu'à la place de France (ou pas très loin). (ave. Gouraud)
Ainsi, tu pourras si tu le veux bien, mettre les n° sur les différentes parcelles que tu as déjà identifiées, on pourra ainsi mieux situer les différents propriétaires déjà nommés dans les posts précédents, et localiser la parcelle où devait être la fameuse pharmacie, cible de notre discussion.
J'utilise le message privé, car l'image peut-être trop conséquente pour paraître en entier sur ce site DAFINA. Tu la détailleras au fur et à mesure des posts qui continueront à mieux nous faire connaître cette rue de la Mamora. La photo date d'après 1938 (C'est l'Eglise qui est sur le plan que je possède qui me fait dire ça) et avant 1952-54, (c'est l'absence de l'hôtel Mamora & de l'immeuble consulaire, qui me permet de dire ceci également).
En te souhaitant bonne réception.

Je ne peux pas joindre une image à mon message privé vers ton adresse e-mail, via DAFINA.NET, ! Dommage.



Modifié 1 fois. Dernière modification le 28/08/2020 09:00 par Aït Souala.
Pièces jointes:

Bonsoir à tous,

Bonsoir Aït Souala,

Je raconte l'histoire ancienne de la rue de la Mamora...celle de la seconde moitié des années 1910 et les années 1920.

Il s'agit du tronçon le plus connu de la rue de la Mamora situé entre le boulevard Petitjean et la rue de la Victoire...nous sommes du côté impair.

Le numéro 11 (restaurant-hôtel DOMINIQUE) est le dernier immeuble avant la rue de la victoire...le premier immeuble au niveau du bd Petitjean c'est la propriété de BIGERES(café de Bordeaux et autres)...vient ensuite le numéro 1 dont je vais parler.

Pour ton information du côté impair en traversant la rue de la victoire se trouvait le numéro 13 de la rue de la Mamora qui appartenait alors au domaine public de l'Etat chérifien:un terrain de 1500 m2 avec construction.Un "sequestre de guerre" puisque cela appartenait avant la guerre de 1914 au ressortissant allemand RENSCHAUSEN.

Donc le numéro 1 de la rue de la Mamora de KENITRA était l'immeuble LIGNON,propriété d'Augustin LIGNON marié le 9 janvier 1900à POMEROLS(Hérault) avec RAOUL Augustine.

Augustin LIGNON était le patron des établissements A.LIGNON(siège:1 rue la MAMORA) fabrique de boissons gazeuses,glaces,sirops...mais aussi vente de bières .Les deux succursales se trouvaient à PETITJEAN et à OUEZZAN.

LIGNON a vendu son fonds de commerce au début de 1928 à la fameuse Société des Brasseries du Maroc (siège:Casablanca) très connu pour la bière "La Cigogne".

Pour info la Sociétés des Brasseries du Maroc a acheté,en même temps,les "Glacières du Rharb" d'Aurèlien GAGGINI,commerce situé rue de la République à KENITRA.Commerce de fabrique et vente de bière,eaux gazeuses,siphons et sirops.

Ci-joint sur la photo/Cpa on voit très bien l'immeuble LIGNON,la propriété LAMOUROUX,l'immeuble BENTATA,Plaza,Aboab et Bensimon et enfin la propriété de Garguilo.
Pièces jointes:

Pour les Meknassis qui lisent DAFINA je précise qu'Aurélien GAGGINI était,jusqu'en 1927,propriétaire de l'épicerie du croissant d'or,rue de la République à Meknès.Commerce vendu à la S.A.M.A.

Je remets une précédente photo/cpa afin de préciser que les murs des commerces,situés entre le café de Bordeaux et l'immeuble LIGNON,faisaient partie de la propriété de BIGERES.Donc existence de baux commerciaux.

On peut voir le restaurant du Glacier et une boulangerie...peut-être celle de "Coll" qui a rejoint Rabat...puis,peut-être, "Gimilio"...mais sur ce point absolument rien de sûr...
Pièces jointes:

Je précise pour les Meknassis qui lisent DAFINA qu'Aurélien GAGGINI de Kénitra était jusqu'en 1927 le propriétaire de l'Epicerie du Croissant d'Or,rue de la République à Meknès.Fonds de commerce vendu à la S.A.M.A.

En ce qui concerne les commerces que l'on peut voir sur cpa situés entre le café de Bordeaux et l'immeuble Lignon...les murs font partie de la propriété de BIGERES...il devait y avoir un bail commercial avec le patron du "Restaurant du Glacier" ainsi
qu'avec le "boulanger"...peut-être le dénommé "Coll" qui a rejoint Rabat puis "Gimilio"...mais absolument rien de sûr.

Bonjour à tous,

Nous savons qu'en 1928 la Société des Brasseries du Maroc a acheté les établissements de fabrique et vente de boissons dénommés A.LIGNON,au numéro 1 de la rue de la Mamora à KENITRA et les Glacières du Rharb d'aurélien GAGGINI,rue de la République à Kenitra.

Pour être complet il convient d'ajouter l'achat en 1929 par la filiale de la SBM,la sarl "Entrepôt de la Cigogne" de l'établissement DEVILLE situé rue Georges V à Kenitra.Jacques DEVILLE fabriquait et commerçait glaces,limonades,bières et vins.

OK Cigalou, bien compris tout ce que tu viens d'écrire au sujet de ce tronçon de rue de la Mamora. Très intéressant, ce qui éclaire ma lanterne au sujet de l'établissement nommé A. LIGNON, vendu par la suite à la Sté. des Brasseries du Maroc, car dans les années 60-63, j'avais connu ce lieu comme celui d'un marchand de vin nommé GUSTIN, où certaines personnes venaient se ravitailler. Autrement dit, jusque dans ces années là, avant le grand départ de 1965, c'était encore un grossiste en boissons (Vins, bières, limonades, spiritueux...)
Peut-être CORONADO, confirmera ou infirmera car j'avoue que ce n'était pas mon quartier personnellement !

A priori il semblerait,au vu d'une ancienne carte postale,qu'avant le "restaurant du Glacier' de la rue de la Mamora de Kénitra...dans le prolongement du "Café de BORDEAUX...il y avait une salle de billards.

Bref concernant les propriétaires du "restaurant du glacier" je ne trouve trace que de Virginie AUJOULAT au début des années 1930...il semblerait qu'elle fut également,à l'époque,propriétaire de l'Hôtel de la Poste...à ne pas confondre avec le Bar de la Poste de Monsieur POGGI situé dans l'avenue CLEMENCEAU...dont les locaux,en 1936,seront transformés en magasin de chaussures BATA...comme on le sait le magasin BATA se trouvait auparavant à l'angle CLEMENCEAU/ALBERT 1ER,en face de la quincaillerie "Aux Forges de France".

Sauf erreur de ma part Madame AUJOULAT résidait toujours à KENITRA à la fin des années 1950...elle était la "patronne" du restaurant "La Chênaie.

Salut Aït Souala,

Est-ce que tu parles de La Vinicole du Rharb ?

Tu as manifesté de l'intérêt pour la grande famille BITON.

Il faut savoir que dans les années 1924/25 la situation financière de Jacob et Haïm BITON s'est dégradée,probablement à cause d'un excès d'emprunts à fort taux d'intérêt…

Bref en 1925 la propriété domiciliaire dite "Jacob" route de Salé (lotissement Biton) a été saisie par la justice à la demande des créanciers(Voldoire et autres) et vendue aux enchères à KENITRA par le tribunal de Paix.

Pour information cette propriété de 3000 m2 comprenait en 1925 la grande maison d'habitation,un grand magasin,des écuries +22 petits appartements construits et 5 en cours de construction.

Il semble que les autres emprunts contractés auprés de Luigi,Michel CACASE,agent maritime et surtout agent consulaire d'ITALIE n'aient pas posé de problèmes particuliers.

Curieusement la même année (1925) le fameux immeuble du TOURING CLUB(Hôtel-Brasserie) situé à l'angle PETITJEAN/ALBERT 1er appartenant à Haïm BITON...a également été saisie par la justice à la demande de la Mutuelle Hypothècaire Franco-sud-américaine,argentine,Paraguay,Uruguay sise à Casablanca.

Pour rappel le terrain avec un bâti en bois avait été acheté vers 1918 à Abraham SPORTES...Haïm BITON y avait construit ce fameux immeuble de 2 étages avec dépendances à usage de brasserie-hôtel.

Il semble qu'Haïm BITON qui était de Rabat,64 rue Oukassa,ait été plus chanceux avec ses emprunts contractés auprés de la BANK of British West Africa Limited,sise à Londres et représentée à Casablanca.

Question facile:

pourquoi en juin 1940 les chaussures achetées au magasin BATA de l'avenue CLEMENCEAU de Kénitra résonnaient plus qu'autrefois?

Citation
Aït Souala
OK Cigalou, bien compris tout ce que tu viens d'écrire au sujet de ce tronçon de rue de la Mamora. Très intéressant, ce qui éclaire ma lanterne au sujet de l'établissement nommé A. LIGNON, vendu par la suite à la Sté. des Brasseries du Maroc, car dans les années 60-63, j'avais connu ce lieu comme celui d'un marchand de vin nommé GUSTIN, où certaines personnes venaient se ravitailler. Autrement dit, jusque dans ces années là, avant le grand départ de 1965, c'était encore un grossiste en boissons (Vins, bières, limonades, spiritueux...)
Peut-être CORONADO, confirmera ou infirmera car j'avoue que ce n'était pas mon quartier personnellement !

Bonsoir AIT SOULA bonsoir a tous.Malheureusement je ne peut ni confirmer ni affirmer,le seul souvenir que j'ai d'un marchant de vin et spitueux c'est de Mr Bartolome et encore il est probable que je confonde.Bonne soiree

Bonjour CIGALOU, je reviens à un de tes précédents messages où tu dis :

Citation
CIGALOU
dans le prolongement du "Café de BORDEAUX...il y avait une salle de billards.

Effectivement, sur la photo que j'ai réduite pour qu'elle puisse passer, on peut lire sur la devanture du Café de Bordeaux, la mention BILLARDS, il y en avait un également dans le Café-Restaurant du Glacier, j'ai également une photo de l'intérieur de cet établissement montrant un billard et des clients entrain de jouer.
Alors, concernant "La viticole du Gharb" ? Ca se pourrait bien que ce soit l'Etablissement tenu dans les années 60 par M. GUSTIN, l'autre marchand de vin se trouvait plus haut dans la même rue que nous connaissions sous le nom d' Epiphane QUESSADA ou même QUESSADA tout court...
Il faut quand même savoir, qu'en tant que Kénitréen/Port-Lyautéen, habitant et vivant dans la ville, les noms commerciaux des sociétés, artisans, commerçants etc. bien souvent nous les ignorions et même si ceux-ci étaient bien affichés sur la devanture, nous disions "Chez Couget" pour "La civette" par ex. ou "Chez Courrouble" pour "Le cochon doré", bien que ces exemples soient quand même mal choisis, alors pour le vin on allait chez Gustin ou encore chez Quessada... Je suis entrain de me renseigner auprès de ceux qui ont vécus dans cette rue, mais c'est dimanche ils ne répondent pas...
Oui, merci au sujet de la famille BITON, je pense que ça va intéresser bien des lecteurs de DAFINA, et personnellement je souhaite ardemment qu'il exista encore des BITON de la lignée des Jacob, Maurice, Haïm qui puissent se joindre à nous, mais ça remonte à tellement loin c't affaire là. Et les jeunes ne s'en soucient guère !
Quant à la devinette de fin : amusante, mais je donne ma langue au chat, je ne suis pas doué pour ce genre de chose, pardon !
Pièces jointes:

Citation
CIGALOU
Est-ce que tu parles de La Vinicole du Rharb ?

Oui, il s'agit bien de la même chose à savoir que la Vinicole du Rharb a été tenue à partir de 1946, date de leur arrivée à Kénitra des GUSTIN.
Renseignements pris auprès d'une demoiselle GUSTIN encore de ce monde.
Sauveur, tu parles de BARTOLOME marchand de vin également, je n'ai pas encore vérifié auprès des sources possibles, mais s'il te plaît, où situerais-tu ce marchand de vins et spiritueux dans ce coin de la ville ? Si tu en as le souvenir, même approximatif, par recoupement on pourrait mieux le situer !