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Dans la foulée du triomphe du parti Ennahda en Tunisie, le Maroc entre à son tour en période électorale avec, selon les observateurs, une possible "poussée des islamistes" à l'image de leurs coreligionnaires maghrébins.

Le Parti de la Justice et du Développement (PJD), parti islamiste qui ambitionne de devenir, le 25 novembre 2011, date des élections législatives au Royaume chérifien, le premier parti marocain, n’a pas apparemment réagi à la victoire d’Ennahdah. Mais il suffit de voir de plus près pour se rendre compte que c’est loin d’être le cas.

Les instituts Thomas More et Tendances Institut ont réalisé en partenariat une enquête sur la sociologie politique marocaine, à un mois des élections législatives, qui se tiendront le 25 novembre. Cette étude, qui sera publiée le 16 novembre, a essentiellement été conduite sur la blogosphère et montre que les jeunes Marocains sont beaucoup plus impliqués dans la vie politique que leurs aînés. Ils estiment que les réformes engagées par le royaume sont insuffisantes.

Un série de conférences sur l'Holocauste a eu lieu pour la première fois dans le monde arabe, les Juifs et les autres nations, un symposium de trois jours à l'Université d'Al-Akhawan, le génocide nazi, le génocide des Juifs vivant au Maroc et au Moyen-Orient, et des réflexions sur les relations historiques entre les musulmans ont pris part à des présentations et des panels.

L’ancien patron du et son épouse sont partis chercher un peu de calme au Maroc. Ils sont arrivés ce jeudi après-midi à pour un séjour dans leur Riad, situé dans l’ancienne médina de la ville.

Près de deux mille pèlerins juifs se sont retrouvés jeudi soir à la Cité des Alizés à Essaouira pour célébrer la hilloula de Rabbi Haim Pinto. Le premier jour de ce moussem annuel de quatre jours a été marqué par l'organisation d'une réception à laquelle ont été conviés outre les pèlerins venus de différents coins du monde, le gouverneur de la province d'Essaouira, Nabil Kharroubi, les représentants des autorités locales et d'autres personnalités.

Entre les juifs du Maroc et les musulmans du pays, les rapports ont toujours été des meilleurs. L'histoire commune des deux populations témoigne d'une cohabitation parfaite entre deux confessions que les conflits politiques et religieux sévissant ailleurs n'ont pas réussi à entamer. De cette entente, est né un patrimoine commun que les juifs et les Marocains essayent, tant bien que mal, de préserver.
 

C’est un Gad El Maleh très décontracté, taquin, souriant et à l’aise dans ses propos qui s’est présenté ce mardi face à la presse nationale. Un Gad humble et très heureux de retrouver sa ville, celle qu’il n’a jamais oubliée et dont il garde de grands souvenirs : Casablanca.

Vendredi 9 septembre à 23 heures, les rues de Rabat sont vides et une folie souffle sur les trottoirs de l'Agdal. Et pour cause, c'est la rentrée pour les «Lokos». Née il y a un peu plus d'un an, la soirée se voulait privée et rassemblait des amoureux de la fête et de la musique électronique, mais le succès en a décidé autrement. En effet, aujourd'hui la Moroko Loko est une communauté à part entière, un collectif de mélomanes électroniques désirant s'amuser sans bling-bling.

«On est pour le maximum d'échanges». Telle était la réponse du directeur commercial du port Tanger Med à la question du commerce avec Israël, dans les colonnes du Figaro, qui titrait en juillet 2008: «Le Maroc veut être un pays modèle pour l’UPM (Union pour la Méditerranée)». Un point de vue qui demeure tabou pour l'opinion publique, mais les diplomates et les chefs d'entreprises marocains conviennent, en privé, que les routes commerciales avec Israël existent et se développent à grands pas.

Fille de Mohammed V et soeur d'Hassan II (roi du Maroc de 1961-1999), Lalla Aicha était née le 17 juin 1930.

Appelés communément "Ferrachas", les vendeurs ambulants de la plus andalouse des villes du royaume dérangent sérieusement les Tétouanais. On les retrouve partout : dans les quartiers populaires, au centre-ville, aux alentours des marchés… Ils sont à l’affut du moindre client et le plus agaçant est leur technique d’approche jugée « agressive »

En plein mois de Ramadan, une polémique est née au Maroc, qui fait suite à l'adoption prochaine par les forces de l'Ordre du pays d'équipements permettant de vérifier le taux d'alcool au volant des usagers de la route, dans un pays où l'Islam, religion d’État, proscrit toute consommation d'alcool.

Au Maroc, pendant le ramadan, les fast-foods aux enseignes internationales comme McDonald’s, Pizza Hut ou KFC restent ouverts la journée. Ils ne servent qu’aux «non-musulmans». Mais comment font-ils pour savoir qui est et qui n’est pas musulman?

Le 7 août, le jeune homme de 27 ans s'est aspergé d'essence et s'est fait brûler devant le commissariat de Berkane, dans le nord-est du Maroc. Transféré dans un hôpital de Casablanca, il est mort le lendemain. "C’est la hogra. Ils m’ont méprisé. Mon gagne-pain est perdu", auraient été ses derniers mots, selon un ami qui l'accompagnait dans l'ambulance.

La princesse Lalla Salma, épouse du roi Mohammed VI, s’est retrouvée au cœur d’une polémique en raison d’un présent de grande valeur qu’elle aurait secrètement offert à Tzipi Livni, actuel leader de l’opposition en Israël.

Cette manifestation, qui s'est déroulée en présence notamment du wali de la région de Marrakech-Tensift-Al Haouz, Mohamed Mhidia, ainsi que de plusieurs personnalités, a été l'occasion pour l'assistance d'élever des prières pour le repos de l'âme des victimes du crash de l'avion militaire survenu, mardi, près de Guelmim.

Le Maroc a opposé un démenti catégorique suite aux informations relayées par les médias, selon lesquelles la princesse Selma, épouse du roi marocain Mohamed six, a offert un collier en diamants à Tzipi Livni, ex-ministre des Affaires étrangères israélienne, lors de sa dernière visite au Royaume chérifien en novembre 2009.

La nouvelle fait sensation au Maroc. Lalla Salma, l'épouse du Roi Mohammed VI, a offert à l'ancienne ministre israélienne des Affaires étrangères Tzipi Livni en visite secrète à Rabat en 2009 un collier serti de diamants de très grande valeur. L'information, rapportée par certains sites marocains avec prudence, cite l'édition du jeudi du journal israélien Maariv comme source.

Le riad acheté en 2000 est le havre de paix du couple Sinclair-DSK où ils viennent se reposer deux à trois fois par an, et où a été conclu un certain Pacte de Marrakech avec Martine Aubry et Laurent Fabius.

Les restaurants spécialisés dans la confection du sushi sont de plus en plus nombreux au Maroc. Auparavant, la gastronomie asiatique se limitait à la cuisine chinoise. Aujourd’hui, les célèbres sushis japonais semblent sur le point de prendre le dessus.

C’est l’heure. L’heure bénie où le vent du soir commence à aérer tendrement la fournaise de Marrakech. L’heure où la manif quotidienne vient prendre le frais, sur l’esplanade, devant la porte Bâb Doukkala, l’une des entrées de la médina. Quelques voitures de police se positionnent discrètement. Les représentants de l’ordre sont aussi habitués à cet épisode qu’ épuisés par les 43 degrés qui ont calciné la ville ocre depuis le matin. Et oui, quelques jours après le référendum sur la réforme constitutionnelle, salué dans toutes les capitales occidentales comme une victoire de la « révolution tranquille » de Mohammed VI, la contestation continue au Maroc.

C’est un sujet qui revient avec persistance dans les médias et chez les hommes politiques néerlandais : les jeunes Marocains qui insultent ou menacent des Juifs aux Pays-Bas. En particulier Geert Wilders et son Parti pour la liberté PVV demandent que de sévères mesures soient prises contre "la terreur que les Marocains exercent dans la rue". Comment est-ce d’être à la fois Juif et Marocain aux Pays-Bas ? "Mon fils n’ose pas dire que je viens du Maroc."

"La production de la résine de cannabis (haschisch), est toujours concentrée dans deux pays: le Maroc, fournisseur des marchés d'Europe occidentale et d'Afrique du Nord, et l'Afghanistan, qui alimente les marchés du Sud-Ouest", affirme l’Office des Nations Unies contre la drogue et le crime (ONUDC) dans un rapport publié jeudi 23 juin 2011

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