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Le Maroc est une terre connue pour sa tradition d'accueil. Antoine a décidé d'en tester la véracité. Caméra à l'épaule, il est parti au Maroc là où les habitants, réellement accueillants, l'invitent sans détour à entrer chez eux.

C’était mon rêve depuis de longues années d’aller sur la tombe de Rav ‘Haïm Pinto, grand-père de mon Rav, Rav David ‘Hanania Pinto

Dans un café d’Arazane, un douar près de Taroudant, dans le sud du Maroc, j’ai abordé deux petits vieux pour savoir s’il y avait des juifs ici, avant. À ma question, le visage de l’un d’eux s’est illuminé

Très rares clips de feu SM le Sultan Mohammed V et du Prince Moulay Hassan

L’initiative, lancée il y a quatre ans par l’association Mimouna, a été portée cette année par la communauté juive de la ville ocre et son président, Jacky Kadoch. “C’est la troisième année que nous organisons un ftour pendant ramadan”, raconte-t-il 

Le 13 mai dernier, les députés islamistes du Parti de la justice et du développement (PJD) ont interrogé le ministre de la Santé, Anas Doukkali, (Parti du progrès et du socialisme) au sujet de la normalisation avec Israël lors de la séance hebdomadaire des questions orales à la Chambre des représentants

Je voudrais partager ce que j’ai vécu lors de mon voyage au Maroc la semaine dernière.  J’ai toujours ressenti, dans la manière avec laquelle en parlent mes parents et grands-parents, une certaine nostalgie vis-à-vis du Maroc.

Sur ordre du roi Mohammed VI, « El Mellah » reprend vie pour « préserver la mémoire historique des lieux », renforçant ainsi la petite communauté vieillissante tandis que les relations prospèrent entre Rabat et Jérusalem

Le mois dernier, le roi du Maroc, Mohammed VI, a lancé les travaux de construction du projet qui « sera établi dans une ancienne école située à proximité du Mellah et du cimetière juif de Fès », indiquait le magazine Tel Quel l’été dernier. Le budget pour la construction du musée s’élève à 10 millions de dirhams (924 000 euros).

Un large programme est mis en oeuvre pour réhabiliter et mettre en valeur les sites historiques du judaïsme marocain et ainsi raviver la mémoire millénaire de cette communauté.

Le thème du vivre ensemble au 21e siècle retenu à cette occasion a sans doute bien inspiré Azoulay qui a délivré un message ayant retenu l’attention de toute l’assistance d’ailleurs séduite par le discours du Conseiller du Roi. André Azoulay a en effet mis en exergue la singularité du judaïsme marocain et sa résilience, à travers une histoire de trois mille ans, « nourrie et modelée sur la durée par une proximité et une intimité rarement démenties avec les civilisations berbère et arabo-musulmane »

En septembre 2003, feu Robert Assaraf plaidait pour une actualisation des institutions juives au Maroc. Il affirmait dans une tribune que le «Conseil des Communautés, né du Dahir du 7 mai 1945, est donc définitivement caduc aujourd'hui. Car le Royaume du Maroc est indépendant (1956) et constitutionnel (1962).

En tant que Commandeur des croyants, le roi Mohammed VI se veut le défenseur d’un « islam du juste milieu ». Le royaume marocain montre des signes d’ouverture aux autres religions, même si ses minorités restent discriminées

C’est d’abord l’attachement au Maroc, à ses odeurs et à ses senteurs, à la conviviabilité de ses habitants, à son soleil, à son mode de vie, à ses traditions qui est sans doute le trait le plus marquant de cette fibre. Une flamme jamais éteinte portée hors des frontières et qui renaît sans cesse de ses cendres.

Dans son intervention, M. Azoulay a mis en exergue la singularité du judaïsme marocain et sa résilience, à travers une histoire de trois mille ans, «nourrie et modelée sur la durée par une proximité et une intimité rarement démenties avec les civilisations berbère et arabo-musulmane».

Yoshiyahu Pinto est le premier Rabbin, depuis cent ans, à être installé comme juge rabbinique en chef du Maroc, a rapporté le quotidien israélien « The Jerusalem Post » qui a consacré un article à la cérémonie organisée à cette occasion dimanche à la synagogue Beth-El de Casablanca, en présence de dirigeants de la communauté juive et de hauts responsables marocains.

Le Maroc constitue un cas exceptionnel de convivialité, de coexistence et de cohabitation entre Musulmans et Juifs, qui ont contribué à la culture et au patrimoine du pays, soutient le journal américain New York Times, relevant que le Royaume a, ces dernières années, entrepris des mesures importantes pour renforcer et incarner pleinement cette cohabitation.

34 ans après la visite du pape Jean-Paul II, le souverain pontife François s’est rendu à Rabat les 30 et 31 mars, à l’invitation de Sa Majesté le roi Mohammed VI. Dans ce pays où les trois grandes religions monothéistes trouvent leur place, le chef d'orchestre Jean-Claude Casadesus a dirigé l'Ave Maria de Caccini avec l'Orchestre et les chœurs du Philharmonique du Maroc, trois chanteurs de trois confessions religieuses différentes, chrétienne, musulmane et juive (Caroline Casadesus, Smahi El Harati et Françoise Atlan) et la pianiste Dîna Bensaid, créant une très forte émotion.

De plus, les Marocains, dans leur écrasante majorité – et de fait elle est écrasante et je dirais même etouffante – sont réfractaires à la démocratie, à la liberté et à la solidarité avec les exclus et les opprimés.

Le Maroc est classé parmi les cinq plus importants clients africains d’Israël. Plus concrètement, le volume des importations marocaines d’Israël avoisine les 3,2 millions de dollars, soit environ 14% du total de ses importations.

Le Journal hebdomadaire, vous connaissez? Mais oui, cette publication marocaine qui eut ses heures de gloire, entre sa naissance en 1997 et son décès en 2010… Un journal pas comme les autres, au Maroc. Indépendant et compétent. Gênant, donc. Qui devait mourir, et qui est mort.

Le Secrétaire Général du Conseil de la communauté israélite du Maroc annonce, en avant-première, des projets inédits visant la préservation de la mémoire collective nationale. Berdugo commente aussi le geste de Serero et met en exergue l’exemplarité du Maroc.

La synagogue «Slat Al Fassiyine», qui date du 17e siècle, est classée au patrimoine mondial de l'humanité par l'UNESCO. Inaugurée en février 2018 après deux ans de travaux de restauration, elle se situe dans le célèbre quartier El Mellah, haut lieu de la culture juive dans la médina de Fès.

Les autorités marocaines hésitent entre pointer du doigt le terrorisme et la maladie mentale pour justifier l’existence de ces attentats qui visent autant les touristes chrétiens que la population marocine de confession juive. 

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