Share |

Litterature

Cette juive orthodoxe est violée par un Noir et se retrouve enceinte. Quel sort sera-t-il réservé à l'enfant à venir ? Quels bouleversements la famille va-t-elle connaître, aujourd'hui comme demain ?

Ce père, Maurice Maman est étudiant en gynécologie à Bordeaux lorsqu'il rencontre Monique Chabrerie, alors âgée de dix-sept ans. De leur amour naît Éric, mais la famille ultra-catholique de Monique s'oppose à leur mariage

Une autre traduction de la Bible que celle de Luther a notoirement eu un impact encore plus considérable dans un univers culturel différent. Il s’agit du monde anglo-saxon, et de la traduction anglaise de l’ouvrage, plus particulièrement l’édition connue comme sous le nom de « King James Bible » (ou « King James Version »), appelée parfois aussi en Grande-Bretagne « Authorized Version ». Cette année, on célèbre le 400e anniversaire de cette édition historique.

Installée à Jérusalem pour étudier, une jeune femme, Sara, juive par son père et musulmane par sa mère, disparaît mystérieusement. Son père Daniel, qui vit à Montréal, décide de partir à sa recherche lorsqu'il constate que l'enquête n'avance pas.

Une conscience toujours en éveil. Un arbitre dont les avis pèsent lourd aux yeux de l'opinion internationale. Un romancier de haut vol qui, dans ses livres, prend ses distances avec ses engagements politiques pour devenir un musicien de l'intime, un symphoniste du monde intérieur.

Après le magnifique « Personne », prix Femina 2009, Gwenaëlle Aubry donne la parole à deux adolescentes, l’une arabe et l’autre juive, dans la Jérusalem d’aujourd’hui.

Le psychiatre et romancier américain Irvin Yalom entrelace les époques et les vies du philosophe Baruch Spinoza et de l’idéologue nazi Alfred Rosenberg.

Imaginez un instant là scène : un ami vous rejoint au café. Dans ses mains il tient un livre dont le titre est : « la Norvège doit-être exister ? ». En le voyant, le type à la table d’à côté interpelle votre ami : « tiens, c’est amusant, je viens de lire un livre presque pareil : « la France doit-elle exister ? » et franchement, j’hésite encore. »

Issu d'une famille d'immigrants juifs-polonais, Maurice Sendak grandit à Brooklyn, New York. Enfant à la santé fragile, il décide de devenir un illustrateur pour enfants sous l'influence du film de Walt Disney Fantasia, à l'âge de douze ans.

L'écrivain dunkerquois Jean-Marc Alcalay, psychologue clinicien de profession, publie ce mois-ci « M. D. la Juive. Les Écritures juives de Marguerite Duras ». Il y met en scène la romancière, disparue en 1996, en proie à un questionnement sur le « peuplement juif de son oeuvre ».

Au départ, j’ai écrit ce livre en réponse à celui de Stéphane Hessel « Indignez-vous », paru en décembre 2011 et édité à plus de 1.900.000 exemplaires, ce qui est un succès stupéfiant vu la vacuité de l’ouvrage.

En Occident, la détestation médiatique et intellectuelle de tout État-nation occidental en général et de l'État juif, occidentalissime par sa pugnacité et ses prouesses techniques, laisse augurer un abandon que toute prochaine crise accentuera.

S’il est tout à fait exact d’écrire "pas de juifs à El Aqsa", il est faux de dire que le Séder de Pessah, la Pâque juive, est fermé aux non-juifs. Combien de chrétiens ou de musulmans, ou de libres penseurs, ne furent-ils invités depuis des décennies à une table de juif observant ou orthodoxe ?

Née en 1958 à Casablanca, Nicole Elgrissy est fille unique. Originaire d'Essaouira, elle a reçu une éducation marocaine traditionnelle en totale opposition avec les écoles de la mission française où elle a étudié de la garderie à la terminale tout en apprenant l’arabe classique. Nicole exploite la franchise internationale Fun Science tout en dispensant des ateliers pédagogiques dans les écoles du Maroc. Elle produit l'émission Bghit Naaraf inspirée du concept "C’est pas sorcier".

L'Institut Français d'El Jadida a organisé une rencontre littéraire avec le romancier Jacob Cohen autour de son nouveau roman "Le destin des soeurs Bennani-Smirès" à El Jadida le 25 janvier 2012. Cette rencontre a été animée par le professeur Abdelali Errhouni.

Une exposition inédite est à découvrir au Centre culturel André Neher à Nantes. Elle esquisse les liens entre identité juive et bande dessinée. On y retrouve, présentée de manière ludique, la production d'auteurs juifs, mais aussi les oeuvres de toute une série de dessinateurs qui parlent de judéité, pour certains avec précision historique, pour d'autres avec humour ou dérision.

 

Rescapé de la Shoah, l'écrivain et prix Nobel de la paix Elie Wiesel a frôlé une seconde fois la mort lors d'une intervention à cœur ouvert. L'événement lui a inspiré un livre, "Cœur ouvert", sorti il y a cinq semaines. Michaël de Saint-Cheron, spécialiste de l’œuvre de Wiesel, décode cette introspection.

Edmond Amran El Maleh dont Abdellah Beida écrit joliment qu’il « a choisi les premières heures du lundi 15 novembre 2010 pour tirer sa révérence et comme pour commencer une semaine ailleurs », la revue toulousaine Horizons maghrébins traite dans son numéro 64, en cette fin 2011, des expressions artistiques et littéraires métisses au Maghreb et en milieu postmigratoire.

Lumière des astres éteints est un essai dont le sous-titre La psychanalyse face aux camps explicite l’objet : affronter l’impensable que représente la mise en œuvre par le nazisme de l’extermination des juifs. Gérard Haddad ne pouvait pas trouver plus nette explicitation que celle contenue dans les phrases placées en épigraphe de Lumière des astres éteints

Elle, «the bunch», le «p'tit lot», maîtresse-femme, extravertie, dominatrice dans la vie, possédée au lit (rarement dans le lit d'ailleurs); lui «rabbit», gringalet, timide, refoulé mais chaud lapin dans l'intimité. L'idole de la contre-culture et sa «Jewish American Princess», conspuée comme Yoko Ono. «Juif + Goy = Joy», clame Crumb.

Voici un livre et des travaux que l’on attendait depuis longtemps, et presque, croyait-on, en vain. L’ouvrage s’intitule Le philosophe en guerre, et porte en sous-titre Introduction à la pensée de Bernard-Henri Lévy*.

Croire en Dieu doit rester une affaire intime, une pratique intériorisée. L’excès d’extériorisation du religieux, les rituels qui deviennent sacro-saints, le renfermement sur sa communauté à l’exclusion des autres groupes, est profondément contraire à mon universalisme, à ma philosophie avant tout fondée sur la conviction que nos ressemblances nous unissent.

Lamberto Tassinari, Canadien, n’est sans doute pas le dernier à remettre sur le tapis la question de l’identité de Shakespeare. En effet, de tout temps, face au peu d’informations dont on dispose sur le dramaturge, de nombreuses hypothèses ont circulé. Certains voyaient en lui Christopher Marlowe, d’autres Francis Bacon ou encore le comte Edouard de Vere. Hé bien pour M. Tassinari, il n’en est rien. Shakespeare serait tout simplement John Florio, Juif, traducteur d’origine italienne.

La presse l’a surnommé « le gang des Barbares ». En 2006, un citoyen français musulman d’origine ivoirienne et sa bande de banlieue a kidnappé et assassiné, dans des conditions particulièrement atroces, un citoyen français de confession juive. « J’appelle le premier Yacef, le second Élie. L’un a 25 ans, l’autre 23. J’ai réélaboré ces faits, à travers mon imaginaire, pour en nourrir une création littéraire, une fiction », explique Morgan Sportès

Contenu Correspondant