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Litterature

Elle a écrit pas moins de vingt livres depuis son premier roman paru en 1996. Eliette Abécassis publie aujourd'hui un thriller théologique impossible à lâcher avant la fin. Et nous a fait le plaisir de venir à Femme Actuelle pour nous en parler.

Le conflit israélo-palestinien suscite beaucoup de passions, et comme pour la plupart des sujets passionnels, il donne lieu à beaucoup d’excès. Mais alors, comment dire l’histoire ? Est-ce encore possible lorsque les affres d’un conflit se déroulent sous nos yeux, depuis tant et tant d’années ?

La bibliothèque nationale du Royaume du Maroc a abrité, jeudi, la présentation du livre "mémoires juives de l'oriental marocain" en présence de personnalités du monde de l'art et de la culture.

En quelques années, Internet a envahi et bouleversé notre quotidien. Facebook, Tweeter, les réseaux sociaux. Qui imaginerait, un seul instant, un retour en arrière où tous ces moyens modernes de communication et d’échanges n’existeraient pas ? 

C’est un retour aux sources, un pèlerinage nostalgique appuyé de photos, dans ce qui fut le berceau extraordinaire d’une brillante communauté juive. Marrakech et son Mellah, ses souks, ses saints, ses ruelles, son intimité et ses secrets. 

Le corps d’un nouveau-né est retrouvé dans les rues du quartier juif. Un meurtre atroce qui réveille les pires fantasmes. La main du Mal a encore frappé selon les Inquisiteurs. Convoqué par Louis IX, le futur Saint Louis, une grande disputation doit statuer : faut-il brûler le Talmud, livre énigmatique et riche de nombreux enseignements secrets ?

Bruno Bartoloni qui porte toujours des chemises liberty afin de ne jamais être pris pour un prêtre est aujourd’hui le dernier journaliste en activité à avoir officiellement suivi le pontificat de sept papes depuis Jean XXIII, c’est-à-dire 1958.

Parce qu’il est un rescapé de la déportation, Aharon Appelfeld – décédé en janvier dernier, à 86 ans – est la voix la plus tourmentée des lettres israéliennes. Hantée par la Shoah, cette voix-là met en scène la barbarie des uns et le martyr des autres, tout en célébrant les mystères de la vie

C’est le récit de différentes expériences autant sociologiques qu’affectives, succès et échecs mêlés, vécues par une personne de confession Juive issue de l’émigration des années 60 à travers son parcours et qui essaye de manière compulsive d’accéder au standard de la réussite socio-économique française, sans toutefois y parvenir de façon sereine.

On peut dire de la honte que c’est un sentiment universel partagé par tout un chacun en diverses l’occasions. Boris Cyrulnik ne manque pas de rappeler que « seuls les pervers ne ressentent jamais de honte, car ils n’accèdent pas à la représentation mentale du monde de l’autre ».

Au lendemain de la Shoah, le monde juif né de l’émancipation, ainsi que le paysage des Lumières dans lequel une époque entière de la condition juive s’était déployée, s’effondraient. Le retour des Juifs dans la citoyenneté et la modernité posait alors un certain nombre de questions vitales pour leur identité

Il y a plus de trente ans, Patrick Timsit a ouvert un livre qu'il n'a jamais refermé depuis : un chant d'amour et de deuil à la gloire de la mère perdue, un monument de mots élevé par l'un des plus grands stylistes français.

« Il y a deux ans, Sa Majesté Felipe VI m’a dit : “Comme vous nous avez manqué !”. En fait, il s’adressait à l’ensemble des séfarades à travers le monde, ces descendants des Juifs expulsés d’Espagne en 1492 par le duo infernal, les rois catholiques Ferdinand d’Aragon et Isabelle de Castille. 

Lauréat du Prix Israël, il était considéré comme le dernier grand écrivain israélien témoin de la Shoah

Voici quelques mots sur "Zarim" ("Étrangers") ma troisième publication d'une trilogie sur l'amour de Jonathan Marciano, un nouvel immigrant du Maroc, ET LA SABRA Nurit Stav.

Défenseur de la cause des déportés juifs de France, l'avocat et historien a demandé mercredi dans L'Obs l'interdiction de la réédition des textes polémiques de l'auteur de Voyage au bout de la nuit.

En feuilletant le beau-livre « L’Oriental marocain: Des siècles d’art culinaire juif », paru en novembre dernier aux éditions « La Croisée des Chemins », à l’initiative de l’Agence de l’Oriental, on se laisse emporter par la magie de ces recettes transmises de génération en génération, et précieusement retranscrites par Maguy Kakon. 

Voici l'histoire de Solika, la fille du marchand de fèves, celle de Moshiko qui ne mange pas de borekas et celle du rabbin et du batelier. Voici encore une disputation entre le pape et un boucher juif et les tribulations d'un roi à la recherche du bonheur.

Dénonçant l’illusion rassurante que la vérité a été donnée une fois pour toute, les auteurs  montrent que la Tradition des deux religions ici concernées a connu de multiples changements dans l’histoire. Y-a-t-il donc une seule façon de se définir comme juif ou comme musulman hier et maintenant?

1946. La guerre est finie depuis quelques mois lorsqu’Alice, huit ans, rencontre pour la première fois sa mère. Après des années à vivre cachée dans une ferme auprès de sa nourrice, la petite fille doit tout quitter pour suivre cette femme dont elle ne sait rien et qui lui fait peur, avec son drôle de tatouage sur le bras. 

La disparition de Josef Mengele" raconte l'histoire vraie de la fuite de Josef Mengele un médecin tortionnaire nazi. Arrivé en Argentine en 1949 et caché derrière de divers pseudonymes, l'ancien médecin à Auschwitz croit pouvoir s'inventer une nouvelle vie à Buenos Aires.

Si Claude Lévi-Strauss a profondément marqué la pensée de son temps, jamais ce dernier n'a recueilli le moindre éloge de la part du grand ethnologue, qui lui a toujours préféré la compagnie des mythes bororo, des opéras de Wagner ou de la prose dix-huitiémiste de Rousseau, le seul maître-penseur qu'il se reconnut vraiment, à l'exception peut-être de l'auteur des «Mémoires d'outre-tombe».

Ces lignes, messieurs, vous sont donc dédiées. Elles sont un hommage à tout ce que peut être un homme. Elles sont un hommage à la virilité, cette qualité tant décriée, et qui n’est rien d’autre que la confiance qu’un homme peut avoir dans son appartenance à son sexe. 

Lundi 19 mars 2012, deux enfants sont tués par balle devant leur école à Toulouse.
Pour David, un médecin parisien, c’est le début d’un long et violent questionnement : qu’est-il advenu de l’Humanité ? Pourquoi tant de haine, tant de haine envers sa patrie, la France, et envers sa religion, le judaïsme ? Peut-on toujours être heureux lorsque l’on est né juif ?

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