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Souvenirs

De Tanger à Rabat, de Casablanca à Marrakech un voyage dans le passé ! 

Mon père l’adorait Elle ressemblait trait pour trait à sa mère dont elle portait le prénom: “Myriam” en hébreu.

Lorsqu’elle rencontre en 1984 le photographe Jean Besancenot (1902-1992), Hannah Assouline tombe par hasard sur un portrait de son père, le rabbin Messaoud Assouline, photographié par Besancenot lorsqu’il était enfant dans l’oasis d’Erfoud, au Maroc. Aujourd’hui co-commissaire de l’exposition « Juifs du Maroc, 1934-1937 », elle raconte l’histoire de cette image oubliée et de sa réappropriation par son père, né à Tinghir en 1920, élève du rabbin Baba Salé, qui devint à son arrivée en France rabbin de la rue du Bourg Tibourg (Paris 4e)…

La haine ou les violences antijuives en Afrique du Nord provenaient généralement d'une population de colons européens plutôt que des communautés musulmanes. Les racines de l'antisémitisme ont un lien avec le décret Crémieux de 1870, par lequel la France accordait la citoyenneté aux Juifs d'Algérie. L’antisémitisme se manifestait dans la publication de journaux antisémites, la création de partis antisémites et les rassemblements de rue, surtout en période électorale.

A part sa beaute legendaire, la biodiversité de la mer est unique. Elle regorge de ressources explorées par la cosmétique, pour le plus grand bonheur de notre peau.

Gisèle Halimi naît en 1927 à La Goulette, port de pêche situé à quelques kilomètres de Tunis, dans une famille juive. Son père ne voulait pas de fille, sa mère en aurait souhaité une un peu plus docile. Dès son plus jeune âge, Gisèle Halimi, se bat pour sa liberté, entamant même une grève de la faim à l'âge de 10 ans pour ne pas faire les tâches ménagères de son frère.

Depuis le mardi 30 juin 2020, le Musée d'art et d'histoire du Judaïsme présente sa nouvelle exposition intitulée "Juifs du Maroc (1934-1937)". Hier, je suis allée la visiter ! Et vous ?

La première exposition du musée depuis la crise sanitaire est un témoignage direct sur un monde aujourd’hui disparu, celui des communautés juives rurales du sud du Maroc

Le jasmin est un arbrisseau dont la tige sarmenteuse de plusieurs mètres se divise en rameaux longs, arrondis, vert foncé. Les feuilles, opposées, compte 5 ou 7 folioles ovales, elles sont aiguës, dentées, vert très foncé dessus. 

Les larmes de ma maman ressemblent à des perles fines qui roulent doucement sur ses joues parcheminées. Les années de dur labeur et de solitude ont eu raison de sa forte personnalité, de son caractère et surtout de sa détermination. 

Cette vidéo nous expose en photos, à travers le Maroc et à travers le temps des visages, des personnages, ces gens qui furent notre passé, notre présence judéo - marocaine. Par George Sebat

Datant des années 1934-1937, les photographies de Jean Besancenot offrent un témoignage exceptionnel sur les communautés juives rurales du Maroc, aujourd’hui disparues.

Cette histoire "L'épidémie" est inspirée d'écrits portant sur la vie de la Hara, l'ancien quartier juif de Tunis et sur l'épidémie de choléra survenue dans la ville en 1867. Les mots étranges et étrangers que j'emploie se rapportent, selon le contexte, à la religion juive ou au monde arabo-tunisien.

Les filles de Tonton Simon, le frère de ma mère, étaient belles. Mes sœurs aussi. Mais les plus belles étaient, sans conteste, les filles de Tata Simi, la sœur de ma mère. Solange, qui ressemblait à Elizabeth Taylor, Suzanne, Jacqueline, Viviane, Stella.

Décédée le 19 Février à la suite d’un terrible accident qui a vu la voiture dans laquelle elle était passagère et qui était sur le pont d’un Ferry boat, plonger dans l’océan et couler à pic.. il est difficile d’imaginer les dernières minutes mais j’aimerai penser que si elle le pouvait elle nous enverrait ce message.

Dans la cour de la « Caserne », à la Rue Caporal Beaux, là où en ce temps-là, habitait toute la famille de Elias Azoulay, jouaient Jacky et les enfants de la « Caserne ». 

Parmi sa clientèle, figurait un juif de la ville de Sefrou. Ce client assidu et bon payeur, venait régulièrement s'approvisionner a dar sel3a de Haj Boubker. Il honorait régulièrement et sans délais ses approvisionnements et Haj Boubker lui témoignait son entière confiance. 

J’ai décidé enfin de mettre en partage mon film « Entre Paradis Perdu et Terre Promise », diffusé en 1997 sur ARTE dans « Les mercredis de l’histoire ». Il raconte l’histoire contemporaine des juifs du Maroc à travers celle de ceux de Sefrou où je suis né il y a 60 ans, leur vie ancestrale commune avec les berbères et arabes, puis leur exode.

C'est une rue coincée entre le palais Longchamp et l'avenue des Chartreux. La rue Lacépède (4e). Où l'on passe sans savoir qu'un des plus célèbres Marseillais du siècle passé y a vécu. Elie Kakou ou Madame Sarfati pour les connaisseurs. L'artiste méritait bien que son nom soit immortalisé, à un moment où on commémore le 20e anniversaire de sa mort

L’automne est là me dis-je en observant les oiseaux dans leurs nids, se démenant pour le grand départ... Leurs petits ont déjà appris à voler et ils s’élancent aussi loin que possible dans les cieux suivant les sillions majestueux de leurs parents.

C’était l’époque de Tutti Frutti de Little Richard, d’Only You des Platters, de «Diana» de Paul Anka, des robes sacs et des chignons pièces montées. Celles des baisers et des pommes volées dans le jardin, près de la place Bel Air où nous nous retrouvions toute la bande. Celle des amis maintenant oubliés, éparpillés, diasporisés encore une fois aux quatre coins du monde. Charlie Amiel qui sortait avec Suzie. Tu sais de qui je veux parler, son père avait la villa Boulevard de Bordeaux, ingénieur à Beauvais. Jojo Benzaquine, à Paris.

En couleur resplendissante et chargées d’histoire, ces photos de la Tunisie et du Maroc sont à couper le souffle pour les plus nostalgiques !

Salem est entre dans la vie de ma famille il y a pres de 40 ans. Il avait a peine 14 ans lorsque mon pere l'a engage comme apprenti dans son epicerie de la rue de l' Orillon a Belleville.

Ceci est un extrait du film israélien "Prendre Femme" de Ronit Elkabetz dans lequel on entends le dialecte judeo-marocain, la variété de dialecte arabe parlée par les juifs marocains.

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